On peut aussi bien lire «ce qu'il lui restait à faire» chez Romain Rolland, que «ce qui restait d'élèves» chez Marcel Pagnol. Aussi, il est important de retenir que lorsque le verbe est suivi de son complément («à», «de», etc.), l'on écrit automatiquement «qu'il».
Ce qui reste ou ce qu'il reste ? (sommaire)
La nuance entre les deux possibilités est parfois indiscernable. Ainsi : ce qui restait d'élèves… (Pagnol) ; ce qui lui reste de sainteté (Maurois) ; ce qu'il lui restait à faire (R. Rolland) ; ce qu'il vous reste à découvrir (Duhamel).
Ce qui reste ou ce qu'il reste ? Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
✓ Qui l' comprend le pronom interrogatif sujet ou le pronom relatif sujet qui et le pronom personnel élidé l' : Pierre parle d'un tableau qui l'intéresse : qui l'a vu ? ✓ Qu'il est la conjonction que ou le pronom relatif que élidés devant le pronom personnel il.
Ce qui se passe ou ce qu'il se passe ? Faut-il écrire Jean se demande ce qui se passe ou Jean se demande ce qu'il se passe ? Disons-le tout net : les deux formulations sont acceptées (car on ne peut savoir exactement ce que recouvre « ce qui » ou « ce qu'il »).
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Lorsqu'on a un verbe qui est toujours impersonnel (c'est-à-dire un verbe qui ne s'utilise qu'à la troisième personne du singulier, comme falloir), on dira toujours ce qu'il.
Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
« Fais ce qui te plaît » : fais ce qui te donne ou te donnera du plaisir. En revanche, « Fais ce qu'il te plaît » sous-entend l'infinitif du verbe précédent : Fais ce qu'il te plaît de faire. Mais dans les deux cas on veut dire : Fais ce que tu voudras.
Faux. Il faut écrire : J'exige qu'il ait fini son rapport avant demain. Remplaçons « est » par « était » : « J'exige qu'il était fini son rapport avant demain. » Cela ne veut rien dire. Il ne s'agit donc pas ici du verbe « être », mais du verbe « avoir » : il faut écrire « ait ».
Si l'on dit « je mange ce qui me plaît », le sujet de « manger » est « je » : le verbe est donc personnel et on peut employer « qui ». Si l'on dit « ce qu'il me plaît de manger, ce sont les sucreries », le sujet de « manger » redevient impersonnel (« il me plaît de… »), et on revient vers « qu'il ».
Qu'est-ce qui t'arrive est faux. "Qui" est utilisé pour les personnes avec la formule Qui est-ce qui ... ? Vous devrez dire : qu'est-ce qu'il t'arrive.
On écrit "qu'elle(s)" quand on peut remplacer par "qu'il(s)" : Il faut qu'elle rentre tôt. / Il faut qu'il rentre tôt. Dans tous les autres, cas on écrit quel(s) au masculin ou quelle(s) au féminin : Quelle bonne idée ! / Quelles bonnes idées !
Locution conjonctive
Dans l'éventualité où ; à supposer que.
Verbe impersonnel : on emploie toujours « ce qu'il ». Verbe rester et sembler bon : on emploie « ce qui » ou « ce qu'il », au choix. Verbes se passer, arriver, pouvoir, advenir, prendre, résulter, convenir : on emploie plus fréquemment la construction « ce qu'il » mais on peut aussi employer « ce qui ».
- le passé antérieur après quand, lorsque, après que, etc. quand le verbe principal est au passé simple.
Il m'arrive une malchance. La malchance qu'il m'arrive. Ce qu'il m'arrive. Avec un antécédent nominal, l'emploi personnel (la malchance qui m'arrive) est plus fréquent que l'emploi impersonnel (la malchance qu'il m'arrive).
Vous plaise avec -e
Si le sujet du verbe plaise est au singulier, le verbe prend un e . Exemples : en espérant que cela vous plaise , je suis content que ça vous plaise , ravie qu'il vous plaise , nous sommes heureux que le cadeau vous plaise . Dans ces phrases, le sujet du verbe est cela , ça , il , le cadeau .
Placée en général en fin de phrase, la formule de politesse est constituée du pronom personnel invariable il. Le pronom qui suit peut être décliné de deux manières : avec une forme de vouvoiement (s'il vous plaît) ou une forme de tutoiement (s'il te plaît).
Quand un homme dit "tu me manques" c'est qu'il est excité ou coupable de quelque chose. Sinon rien ne manque à un homme. #GbaneyQuand un homme dit "tu me manques" c'est qu'il est excité ou coupable de quelque chose. Sinon rien ne manque à un homme.
Tu peux répondre "Pas moi" ou "Sans toi, je me sens seule" … ou 'Reviens' …
Une personne vous manque quand seul, elle ne quite pas un instant vos pensées. Une personne vous manque quand votre envie prioritaire est de la retrouver. Vous savez qu'une personne vous a manqué à l'instant ou vous la retrouvez. C'est simplement…si bon de vous retrouver dans ses bras.
Tout indique que c'est parce qu'elle vous manque que vous en avez rêvé. Votre cerveau en construisant le rêve a du trouver en vous une impression de manque. Il a associée à cette idée la personne qui vous manque. Vous pouvez vous demander pourquoi elle vous manque si vous voulez chercher à mieux vous comprendre.
Tu m'as beaucoup manqué. Vous m'avez beaucoup manqué. Auxiliaire avoir, pas de COD avant le verbe (" m' " est COI). Donc le participe passé ne s'accorde pas.