C'est la perception la plus répandue chez les Québécois. A leurs yeux, les Français transforment la moindre conversation en joute verbale, critiquent tout, comparent toujours avec l'Hexagone, sont prompts à s'énerver pour rien, se disputent en public...
En gros, les Québécois trouvent les hommes français simultanément machos, galants, romantiques et volages. Ils ont moins d'idées préconçues sur les Françaises, sauf qu'ils sont déçus qu'elles ne ressemblent pas plus à Amélie Poulain.
On nous fait toujours comprendre que nous avons un accent, mais cela fait partie des sujets d'intérêt des Français. Ils aiment parler de la langue, donc c'est normal. Aujourd'hui, les Québécois sont perçus comme modernes. Donc l'accent l'est également.
Chez nous, on dit gougounes. Les « tongues » françaises sont ce qu'on appelle dans la Belle Province des gougounes.
Il ne faut pas confondre français québécois et français canadien. En effet, à strictement parler, le français canadien constitue un ensemble qui comprend le français québécois et les français de diverses autres régions et origines.
en Europe : France et Monaco. en Afrique : Bénin, Burkina Faso, République démocratique du Congo (RDC), Congo, Côte d'Ivoire, Gabon, Guinée, Mali, Niger, Sénégal et Togo.
Bisoune : Désigne un sexe masculin, un pénis. Généralement, c'est une expression un peu infantile.
La tolérance
Elle constitue un fond historique de la mentalité canadienne-française. On peut vivre comme on veut, on peut penser ce qu'on veut, et chacun fait à peu près ce qu'il lui plaît.
Le français est une langue indo-européenne de la famille des langues romanes dont les locuteurs sont appelés francophones, également surnommé la langue de Molière.
La raison principale pour laquelle les Québécois parlent de moins en moins le français est la qualité inacceptable de la version de cette langue qui est pratiquée au Québec. On ne parle pas ici de la langue d'une petite élite cultivée.
Voici quelques comportements à bannir dès que vous franchissez le sol canadien. Première règle à respecter : évitez de fumer ou de boire de l'alcool dans un lieu public comme dans la rue, à la terrasse d'un restaurant ou d'un café ou encore dans un parc.
Français canadien : je t'adore (pour dire je t'aime). Français canadien : je t'aime (pour dire je t'aime bien). Féroïen : eg elski teg.
L'expression « Maudit Français », au singulier comme au pluriel, trouve peut-être son origine dans le sentiment d'abandon ressenti par les Québécois, après la défaite française lors du Siège de Québec de 1759 et la perte du Canada.
1. Les Québécois sont des hédonistes. Ils privilégient les plaisirs de la vie, l'humour et la fête : 76 % considèrent qu'il est plus important d'“avoir du plaisir” que de “faire son devoir”.
Si la langue commune semble faire pencher la balance, ce sont surtout les possibilités d'épanouissement professionnel qui attirent la majorité d'entre eux. Chaque année, ils sont plus de 4000 Français à préparer leurs bagages, à faire leurs adieux et à traverser l'océan Atlantique pour immigrer au Québec.
Au Québec, pour bien “cruiser” (draguer), un Français doit impérativement comprendre qu'il aura plus de chance de séduire une Québécoise s'il lui laisse de l'espace, s'il accepte qu'elle soit indépendante et qu'elle paie sa part à chaque fois qu'ils sortent. Bref, lâchez-lui la grappe.
Les Québécois sont très conviviaux, accueillants et rassembleurs. Ils aiment s'entourer des gens qu'ils apprécient pour partager un bon repas ou simplement pour discuter autour d'un verre ou d'un café. Ne soyez pas surpris s'ils vous posent des questions sur votre culture et votre pays.
Nom commun. (Québec) (Argot) Sexe des femmes, vulve. → voir chatte et con, etc. J'y ai mangé a plotte, c'tait tout un lunch !
chum n. Au Canada, ami, copain, copine. chum n.m. Au Canada, petit ami, amoureux ou conjoint.
Comme ailleurs dans la francophonie, les Québécois utilisent le mot minou pour parler des chats de façon affectueuse ou comme appellatif amoureux. Toutefois, le minou québécois se distingue de son cousin français lorsqu'il désigne une petite pelote de mousse, de peluche. — Mon maillot est couvert de minous.
Exclamation d'étonnement, de surprise ou aussi de mécontentement.
Cellulaire : Au Québec, on ne parle pas de téléphone portable, on utilise le mot cellulaire.
Le 25 décembre : Joyeux Noël tabarnak !