Créer une dynamique d'appropriation des objectifs de développement durable par les territoires, la société civile, le secteur privé et les citoyens. Favoriser un contexte de coopération : diffuser les bonnes pratiques et construire un cadre de coopération entre les acteurs pour mener des actions conjointes.
Investir dans des solutions durables : les subventions aux combustibles fossiles doivent cesser, et les pollueurs doivent commencer à payer pour la pollution dont ils sont responsables. Lutter contre tous les risques climatiques. Coopérer : aucun pays ne peut réussir seul.
Les 3 piliers du développement durable
Les trois piliers du développement durable qui sont traditionnellement utilisés pour le définir sont donc : l'économie, le social et l'environnement. La particularité du développement durable est de se situer au carrefour de ces 3 piliers.
Elles répondent aux objectifs généraux suivants : éradiquer la pauvreté sous toutes ses formes et dans tous les pays, protéger la planète et garantir la prospérité pour tous (voir : trois piliers du développement durable).
Il sert à préserver les ressources pour garantir l'avenir de l'Humanité : réduire l'empreinte laissée par l'homme sur l'environnement et lutter contre le réchauffement de la terre et le changement climatique.
Le projet territorial de l'Agglo doit répondre aux cinq finalités de développement durable suivantes : Lutter contre le changement climatique. Préserver la biodiversité, protéger les milieux et les ressources. Assurer une cohésion sociale et une solidarité entre les territoires et les générations.
Citoyens, entreprises, collectivités territoriales, gouvernements, institutions, associations, scientifiques : pour réagir et agir face aux menaces qui pèsent sur les hommes et la planète, toutes les parties prenantes doivent se mobiliser.
17 Objectifs de développement durable (ODD) ont été fixés. Ils couvrent l'intégralité des enjeux de développement dans tous les pays tels que le climat, la biodiversité, l'énergie, l'eau, la pauvreté, l'égalité des genres, la prospérité économique ou encore la paix, l'agriculture, l'éducation, etc.
C'est effectivement une façon de traduire le développement durable qui est né d'une triple inquiétude : la poursuite de la croissance, la persistance des inégalités entre les hommes et la reconnaissance des dangers que nos modes de vie font peser sur la planète.
Ces indicateurs se rapportent aux quatre piliers du développement durable : économique, social, environnemental et institutionnel.
La Commission mondiale sur l'environnement et le développement (CMED) définit le développement durable comme un fait qui répond aux besoins des générations actuelles, sans compromettre la capacité des générations futures à satisfaire les leurs.
L'adaptation et l'atténuation sont deux stratégies complémentaires pour réduire et maîtriser les risques liés au changement climatique. L'atténuation a pour objectif de limiter fortement les émissions de CO₂ et ainsi de réduire les risques climatiques dans le futur.
- L'éveil de conscience de l'état de sous-développement du pays ; - L'identification des problèmes majeurs qui bloquent le décollage du pays ; - La détermination des projets globaux et spécifiques à court terme et à long terme.
L'Afrique perd 4 millions d'hectares de forêts par an, soit deux fois plus que la moyenne mondiale. Si la déforestation peut permettre d'augmenter les surfaces arables, la productivité qui en résulte n'est pas durable, du fait de l'épuisement des sols qui perdent leurs substances nutritives.
Le développement durable est « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs », citation de Mme Gro Harlem Brundtland, Premier Ministre norvégien (1987).
Pour réussir, le développement économique local a besoin de pouvoir compter sur la collaboration du gouvernement, du secteur privé, des organisations de travailleurs et de la société civile. L'ensemble de la société peut profiter des types d'investissements réalisés dans une localité donnée.
Le plan local de développement (PLD) est un outil de priorisation et de programmation des investissements sociaux et économiques à l'échelon local.
Il est « Brundtland » parce qu'on y réalise aussi des actions touchant, entre autres, la démocratie, le partage, la coopération, l'équité, la solidarité, le respect, la paix et les droits humains, autant de préoccupations majeures apparaissant dans le Rapport Brundtland ».
Les enjeux économiques du développement durable
Autrement dit, l'un des enjeux économiques du développement durable est d'avoir une vision à long terme afin de satisfaire les besoins des générations actuelles tout en préservant la planète pour les besoins des générations futures.
Les Objectifs du Développement Durable (ODD, en anglais SDGs pour Sustainable Development Goals) constituent le principal élément de l'« agenda 2030 », adopté en septembre 2015 à New-York en ouverture de la 70 e Assemblée générale des Nations unies.
L'histoire du développement durable. C'est en 1987 que l'expression « développement durable » apparaît pour la première fois, dans le rapport Brundtland rédigé par la Commission mondiale pour l'environnement et le développement de l'ONU – Organisation mondiale des nations unies –, intitulé Notre avenir à tous.