Le trac est une émotion liée à la présence d'un public. Si la nature de nombreuses causes du stress et du trac sont les mêmes, le stress : est un syndrome développé sur de longues périodes (de plusieurs jours à plusieurs mois). oblige celui qui en est victime à prendre trop et trop longtemps sur soi.
Ancrez-vous dans le sol, tenez-vous droit, respirez profondément. Regardez votre auditoire en souriant. Prenez votre temps. Pendant votre intervention, restez concentré sur votre idée forte et respirez tranquillement, cela vous aidera à poser votre voix.
1/ Dédramatiser la situation
S'exprimer en public doit être un moment d'échange agréable entre votre auditoire et vous. Comme lorsque vous communiquez avec vos amis. L'erreur serait de vous prendre trop au sérieux. N'en faites rien.
Avoir une bonne respiration
Prendre le temps de bien respirer rendra votre prise de parole plus fluide et plus intelligible. Une respiration calme et profonde est essentielle pour prendre la parole. On parle de respiration abdominale ; respirer « avec le ventre » fluidifie les mouvements du diaphragme.
Ce malaise s'explique principalement par un manque de confiance en soi que l'on peut toutefois résorber. Yasmina Hardi, coach chez Ha. Y. Coaching Carrière à Lyon, recommande ainsi d'identifier des situations positives et de les exploiter.
Si le public ne ressent aucune émotion, cela veut dire que la promesse n'a pas été tenue ! Pour gérer ses émotions en situation de prise de parole en public, rien ne vaut une bonne préparation de soi et une bonne intégration de l'autre.
Après avoir gonflé volontairement votre ventre, yeux fermés et sourire aux lèvres, vous relâcher lentement l'air accumulé en prononçant "Chhhh". Une pratique régulière de cet exercice permet de s'exprimer plus doucement et aide à se sentir plus calme au moment de parler en public.
Vous rencontrez ces symptômes de stress bien souvent à l'approche de la prise de parole en public ? Cette peur de s'exprimer en public a un nom : la glossophobie. En effet, ce n'est pas si facile de supporter le regard des autres braqué sur vous alors que vous devez exprimer avec aisance vos idées ou un projet.
La respiration avant de monter sur scène est primordiale. Prenez quelques secondes pour vous, en inspirant et surtout en expirant profondément afin d'évacuer tout le stress accumulé dans votre métabolisme.
Poussez volontairement la voix, sans crier, forcez vous à parler à la limite du supportable pour vous. C'est à ce moment là que vous atteindrez le niveau sonore optimal pour que vos interlocuteurs puissent vous entendre correctement. Une conversation normale tourne autour de 60 décibels.
Tout d'abord, pour apprendre à parler, il est bien de commencer par l'écriture des textes. Mettre nos pensées sur la feuille nous discipline énormément. Autres choses, nous pouvons mettre un cadre concernant le volume de notre travail, ce qui nous aide à apprendre à parler plus court et plus clairement.
« Arrivez la tête haute, avec le sourire et regardez l'assemblée pour capter son attention », explique Philippe Janiaux. Et si vous ne vous sentez pas à l'aise, mieux vaut le dire. « Il faut éviter de masquer son émotion à tout prix, soyez honnête et dites à votre auditoire que cet exercice n'est pas évident pour vous.
Il faut pour cela effectuer des respirations abdominales: inspirez calmement avec le ventre et expirez avec la bouche. Votre respiration est correcte si votre abdomen se soulève à l'inspiration. Pour l'expiration, lorsque vous parlez, l'air est naturellement expulsé par la bouche, inutile donc de s'en préoccuper.
C'est l'hormone du stress. Votre cerveau, inquiet, donne l'ordre à des petites glandes situées au dessus des reins, les glandes surrénales, de sécréter cette adrénaline. Normalement elle a pour but de nous mettre en éveil pour fuir le danger. C'est un réflexe salvateur en cas de danger.
Il faut manier un juste équilibre entre le lu et le parler. Le texte doit être entouré, contextualisé, conté aux auditeurs. La lecture impose aussi un certain dépouillement. C'est le texte qui ouvre la porte de l'imaginaire, non le décor qui le perd.