Mesurez du milieu de l'empreinte gauche jusqu'au milieu de l'empreinte droite. Ainsi vous mesurez la distance entre vos ischions.
Le 1er critère, c'est l'écartement de ses ischion. La mesure de cet écartement permet déjà de se faire une bonne idée de la largeur de selle qu'il vous faut et d'en éliminer un paquet. La moyenne chez les hommes est d'environ 12cm, et ça peut pas mal varier (entre 9 et 15cm).
La moyenne statistique a déterminé comme écart référence : 118 mm pour un homme et 130 mm pour une femme. C'est la raison pour laquelle les selles pour dames sont généralement plus larges que celles des hommes. Ensuite, il y a les tissus dits “mous” qui entourent les ischions.
Si la distance mesurée entre vos deux ischions est de 120mm, il serait recommandé dans votre cas de prendre une selle de taille 143mm.
Pour régler cela, il faut trouver une selle dont la largeur correspond à la taille du bassin, ou plus exactement à la distance entre les deux pointes de l'os ischiatique (la partie qui « pointe » sous chaque fesse), et une selle dont le profil correspond à la distance entre les deux cuisses.
le deport de la tige de selle se mesure entre l'axe de la tige et l'axe de la piece qui tient la selle . Les déport s vont de 0 a 45 mm . Généralement un deport de 15 a 25 mm est ideal . Le fait de passer de 25 a 37 va reculer la zone de fixation de la selle sur son chassis .
En règle générale, le sommet de la potence doit être plus bas de 1 à 2 cm que le plan horizontal de la selle.
La première cause de ces douleurs là, c'est souvent un mauvais choix de selle. Sur le vélo, le cycliste a tendance à tourner sur son siège de manière involontaire mais naturelle et cela crée des échauffements sur la zone, ce qui engendre des douleurs au niveau des os situés sous le bassin.
Par simple calcul : la longueur d'entrejambe multipliée par 0,885 donne la distance entre l'axe du pédalier et le creux de la selle. En fonction de sa pratique, le cycliste peut faire varier la hauteur de selle ainsi obtenue.
La selle Brooks B17 Standard est un des modèles les plus utilisés pour le voyage à vélo, elle convient aussi bien sur route comme sur terrains escarpés. Sortie en 1896, elle demeure 120 ans après la « best-seller » pour les voyages à long terme car s'adaptant rapidement à la morphologie de son propriétaire…
Au banc des accusés, une largeur de selle incompatible avec la largeur des ischions, les os sur lesquels on s'appuie. Ainsi, une selle trop étroite vient s'appuyer directement sur le plancher pelvien et créer des engourdissements, tandis qu'une selle trop large occasionne des frottements sur l'intérieur des cuisses.
L'ischion est l'un des trois os qui constitue le bassin. En position assise, c'est cet os qui supporte le poids du corps. Il est attaché à l'avant au pubis et à l'arrière à l'ilion.
Afin de ne pas recourber la colonne vertébrale, assurez-vous d'être bien assis sur les ischions, les os pointus en bas du bassin. Si vous sentez que votre buste est posé sur les fesses, redressez-vous. Balancez-vous d'un ischion sur l'autre afin de vous assurer que votre dos est bien droit.
La housse de selle en mousse ou en gel représente une solution intermédiaire. Elle vous permet de profiter de plus de confort d'assise à moindres frais. Vous pouvez également équiper votre vélo d'une tige de selle suspendue : la suspension intégrée absorbe les chocs de la route et renforce la sensation de confort.
La position sur les vélos de ville, dite droite, est idéale lorsque l'on roule à vitesse modérée ou que les arrêts sont fréquents. Avec le guidon plus haut que la selle, on adopte une position presque verticale par rapport au sol. Le tronc reste bien droit, conservant les courbures naturelles de la colonne vertébrale.
Certaines selles sont pourvues d'un dégagement périnéal, le trou présent au milieu. Présent sur les selles masculines et féminines, il sert à soulager ce muscle sensible chez les personnes ressentant une gêne à cet endroit précis. Il existe plusieurs types de revêtements : Le nylon, sur les selles entrée/moyenne gamme.
Une potence plus courte rapproche le cintre du pivot, et donc de l'axe autour duquel il pivote. Il en resulte un feeling plus “connecté”, plus en phase avec l'avant du vélo, qui augmente considérablement la confiance et les performances du pilote.
En réalisant un test très facile, il est possible de vérifier que la potence vélo est adaptée. Pour cela, il faudra disposer une manivelle parallèlement au tube diagonal et, les mains au bas du cintre, s'assurer le genou vienne effleurer le coude. Pour un usage coursier, on favorisera une potence longue.
Pour un vélo de route, la formule qui fait foi est la suivante : longueur de l'entrejambe (en cm) X 0,66 = taille idéale du vélo (en cm). Pour un VTT, la formule adéquate serait celle-ci : longueur de l'entrejambe (en cm) X 0,59 = taille idéale du vélo (en cm).
On peut calculer cette longueur par la formule : (Bu + Br) / 2,4. En théorie, la longueur peut être augmentée de 1 à 2 cm si l'on diminue corrélativement la longueur de la potence de la même quantité.
En règle générale, on estime que la position du cintre est égale ou inférieure à la hauteur de la selle dans une mesure comprise entre 0 et 6 cm en-dessous de la partie supérieure de la selle.
La potence choisie doit également correspondre au diamètre du pivot de votre fourche. Sur un vélo de route, il est bien souvent compris entre 25,4 mm soit 1 pouce (1”), et 28,6 mm soit 1 et 1/8ème de pouce (1”1/8).