Connectez le réservoir à essence. Dirigez-vous vers la rampe et descendez la remorque. Assurez-vous de ne pas mettre les roues du véhicule dans l'eau. Reculez votre véhicule et votre remorque avec précaution sur la rampe de mise à l'eau en veillant à ce que les roues restent droites.
Faites attention à bien sangler le bateau. Pour ce faire, pas besoin d'accumuler les sangles d'amarrages, 3 sangles suffiront. Une première, à l'avant, passant dans la cadène de treuillage puis sous le timon central. Les deux autres se placeront à l'arrière sur les côtés, fixées d'un taquet d'amarrage à la remorque.
Faites reculer lentement votre remorque en ligne droite jusqu'à ce que les roues touchent tout juste le bord de l'eau. La poupe de votre bateau devrait flotter librement dans l'eau. Si ce n'est pas le cas, continuez à reculer lentement jusqu'à ce qu'elle flotte.
Il vous faudra de préférence une cale de mise à l'eau large, facilement accessible, avec des anneaux d'amarrage le long du quai et un parking à remorque pas trop éloignée. Pour exemple, celle du port du Moulin Blanc à Brest offre la possibilité de réaliser cela tout seul.
Tout navire de plaisance français naviguant en mer doit être enregistré auprès d'une Délégation à la mer et au littoral au sein d'une direction départementale des territoires et de la mer (DDTM - DML).
L'air qui se trouve à l'intérieur d'un navire est beaucoup moins dense que l'eau. C'est ce qui lui permet de flotter! La densité moyenne du volume total du navire et de tout ce qui se trouve à l'intérieur (y compris l'air) doit être inférieure à celle du même volume d'eau.
Si c'est possible, équipez votre voilier d'un anneau d'élingage. La mise à l'eau est bien plus rapide – plus besoin du croisillon et des sangles – et surtout à votre portée. Renseignez-vous auprès des clubs de voile, qui disposent le plus souvent d'une petite grue. Moins chère et toujours dispo !
Évitez de rester dans votre cabine et restez sur le pont, à l'air libre. Vous pouvez également vous placer au centre du bateau, qui est l'endroit le plus stable. Si vous sentez arriver le mal de mer, sortez de votre cabine et fixez la mer, le ciel ou tous les éléments fixes qui se trouvent à votre portée.
Détachez la sangle de proue du bateau et desserrez les sangles de poupe. Vous pouvez également retirer toutes les sangles d'arrimage supplémentaires ou les supports qui retiennent le bateau à la remorque. Reculez lentement la remorque dans l'eau jusqu'à ce que le bateau commence à flotter hors de la remorque.
Le voilier est assemblé à l'extérieur, tous les mâts et les haubans sont repliés horizontalement. La coque et son gréement sont introduits dans la bouteille, et déployés à l'intérieur à l'aide d'une ficelle reliée à la mâture.
Elle se place en hauteur, à un endroit bien visible, lorsque le bateau est au mouillage.
Faites descendre votre ancre lentement sans la jeter par-dessus bord pour éviter d'emmêler la ligne. Commencez toujours par mouiller l'ancre à l'avant et ne jeter l'ancre par l'arrière que si vous avez vraiment besoin d'embosser. Vous risquez en effet de faire chavirer le bateau à mouiller une ancre par l'arrière.
Pour garantir une bonne tenue du mouillage, il faut que l'ancre pénètre au fond. Alors qu'elle était jusque-là simplement posée sur le sol, l'équipier bloque le mouillage pour que le bateau tire dessus et que l'ancre s'enfouisse.
Être détendu·e pour éviter le mal de mer
Avant de partir naviguer, que ce soit pour une longue durée ou non, au préalable, le repos est essentiel. Privilégiez une bonne nuit de sommeil plutôt qu'une nuit courte pour limiter les risques. La fatigue et le stress sont des facteurs qui vont amplifier le mal de mer.
Utilisez des sangles de remorquage : Utilisez des sangles de remorquage pour attacher votre bateau à la remorque de manière sécurisée et éviter tout dommage. Déplacez lentement : Déplacez lentement votre bateau hors de l'eau en utilisant la remorque et en vous assurant que votre bateau est centré sur celle-ci.
Au mouillage, il est indispensable de mouiller une longueur de chaîne comprise entre 3 à 5 fois la hauteur d'eau maximale suivant les conditions météo. Le bon compromis est d'avoir dans sa baille à mouillage entre 25 et 30 m de chaîne et au moins autant de câblot du bon diamètre.
Il faut retenir que le poids sur la boule doit être le suivant de 50 Kg pour un PTAC < 500 kg et 80 kg pour un PTAC > 500 kg. Vous pouvez utiliser un pèse personne pour mesures le poids sur la boule. Il conviendra donc soit d'avancer ou reculer le bateau soit de déplacer quelque peu l'essieu de la remorque.
En règle générale, il faut naviguer à des vitesses créant le moins de vagues possible et éviter d'utiliser le sillage d'un autre bateau dans le but d'effectuer des acrobaties. Cela contribue à réduire les risques d'accident et le sentiment d'inquiétude ou de malaise pour les usagers.
Saisissez le bord inférieur du volant (= l'arrière de la remorque) et commencez à effectuer une marche arrière en maintenant une trajectoire rectiligne. Roulez peu à la fois. Si vous voulez que la remorque aille vers la gauche, dirigez la main vers la gauche. Petits mouvements du volant.
Les antihistaminiques : dimenhydrinate (Mercalm®, Nausicalm®) ou diphénhydramine (Nautamine®) Ces médicaments diminuent les risques de nausées.
En effet les cabines intérieures sont plutôt situées dans les étages les plus proches du niveau de la mer, et dans le centre du navire. Elles sont donc moins exposées que leurs cousines pourvues de balcon aux mouvements du navire en cas de grosses vagues, et votre mal de mer s'en trouvera d'autant atténué.
Le mal de mer apparait lorsque les informations transmises à l'oreille interne sont perturbées par les mouvements du bateau. L'équilibre n'est donc pas aussi stable que sur terre ferme, les informations sensorielles sont perturbées, ce qui amène des nausées.
Les bateaux ont souvent des formes de lit assez éloignées du rectangle habituel de nos lits de maison. Il faut donc pour chaque modèle de bateau, pour chaque cabine, découper le sommier et le matelas sur-mesure. Il faut notamment que le matelas habille les formes de la coque, qu'il suive bien le bordé.
Sous un voilier se trouve le plan anti-dérive. Il est constitué par la quille (ou la dérive) et le (ou les) safran. Ces appendices créent un frein dans l'eau qui limite le glissement du bateau sur l'eau. Ils créent une force anti-dérive.