Comment est-ce possible ? Il s'agira d'être rapide au moment de frapper l'adversaire dans l'œil. Ce coup similaire à un coup de fouet fera machinalement tourner la tête à votre agresseur. Profitez-en pour le frapper de l'autre côté du visage, dans la mâchoire ou au menton.
Si la tempe est ciblée avec précision, le coup de poing fera que le cerveau à se balancer violemment contre la paroi du crâne, causant le KO. Serrez votre poing et prolongez-le. Il est parfois possible d'utiliser la paume de votre main pour frapper, mais dans ce cas un coup de poing est plus précis.
Réussir à mettre KO, dépendra de la précision de vos frappes. Un joli crochet à la pointe du menton, même peu puissant, fera tomber n'importe qui. Même un costaud de plus de 100 kilos. Un bon coup de pied dans le plexus, coupera la respiration de celui qui le reçoit pendant plusieurs secondes !
Pour pouvoir provoquer le KO, encore une fois le vrai KO, cela veut dire perte de connaissance complète, il faut frapper sur les côtés. Frapper sur les côtés, cela se passe avec n'importe quel membre, cela peut être la paume de main, cela peut être le poing, cela peut être le coude, cela peut être le dessous du poing.
Il faut surprendre son adversaire pour le mettre KO. Pour une raison simple : quand on voit arriver un coup, que l'on sache boxer ou non, on va activer instinctivement certains muscles et nous mettre dans une position qui vont nous permettre de mieux encaisser.
Visez des points faibles comme la mâchoire ou le menton.
Les points sensibles comme le nez, le visage, les reins, le ventre et les tempes sont des cibles de choix à frapper pour immobiliser temporairement votre adversaire.
Pour un KO rapide, viser les tempes, le foie ou le menton. Les amateurs du travail de sape préfèrent s'acharner sur le nez.
Utiliser l'élan de son agresseur contre lui est une bonne manière d'affronter une personne qui est beaucoup plus grande que soit X Source de recherche . Penchez-vous en arrière de sorte à éviter l'attaque. Attrapez la personne par le bras ou saisissez sa chemise lorsqu'il vous attaque ou essaie de vous porter un coup.
Faites tourner votre poing à 180 degrés vers votre cible. Gardez l'autre main devant votre visage. Ne laissez pas votre visage vulnérable à une attaque. Ramenez votre bras en arrière en position de départ.
Lorsque l'une de ses zones est touchée assez fortement et de manière non-anticipée, cela a pour effet de provoquer un mouvement du cerveau au sein de la boite crânienne. Baignant dans le liquide cérébro-spinal, celui-ci va alors heurter la paroi, ce qui va causer une sorte de "déconnexion", autrement dit le KO.
Rationalisez la position de votre bras et de votre poing.
Au moment où vous ressentez le contact et de votre adversaire, resserrez votre poing. Un poing détendu se déplace plus facilement alors qu'un poing bien serré donne un coup plus puissant. Combinez-les. Donnez votre coup de poing en ligne droite, sans détour.
La gifle, démonstration sur le vif
Ce dernier est en garde passive, main droite le long du corps pour pouvoir protéger la partie basse de son torse tandis que son avant-bras gauche protège sa gorge et son visage (il existe une variante intéressante avec le bras droit à l'horizontale au niveau du plexus).
Frapper à la gorge permet de couper temporairement la respiration de son agresseur. Un coup bien placé au niveau du genou lui fera perdre l'équilibre, lui provoquera une forte douleur et peut même l'empêcher de se relever ou de marcher.
La pointe du menton, la tempe et le foie
Mais si vous arrivez à les toucher, vous avez de grandes chances de mettre KO l'agresseur. Pour le coup au foie, vous pouvez y aller avec le poing fermé. Mais pour le menton et la tempe, privilégiez les frappes avec la paume de main.
Il faut déjà commencer par fermer correctement le poing. Pour cela replier tous les doigts sauf le pouce, puis venez poser votre pouce sous les autres doigts. Si vous enfermez votre pouce dans les autres doigts vous risquez de vous casser au démettre le pouce lors des impacts.
Le coup de poing marteau : tout en gardant le poing serré, frappez avec le côté, le « marteau » de la main. Utilisez autant de force que possible, en criant à chaque impact. Le coup de poing de revers : avec le dos du poing, frappez le sac avec vos deux premières phalanges.
Vous pouvez comme exercice travailler ce relâchement et cette flexibilité en vous plaçant en posture de garde face à un mur à une distance d'un bras et main tendu, ensuite il suffit d'aller chercher à toucher le mur, vous pouvez petit a petit augmenter la distance entre vous et le mur pour améliorer votre flexibilité.
Restez calme et froid, même si vous voulez réagir. Ne soyez jamais en colère. Entrainez-vous à imaginer votre ennemi occupé à faire quelque chose de parfaitement ridicule, comme de chanter un air d'opéra dans les toilettes ou de boxer avec une pieuvre quand il cherche à vous affronter.
Il est plus difficile de lutter contre 2 personnes en même temps que contre une seule. Restez hors du groupe des attaquants et essayez de les obliger à se battre contre vous un par un. Utilisez une arme si vous la maitrisez. Dégainer une arme peut terminer le combat avant même qu'il n'ait commencé.
Les pertes de poids trop brutales peuvent ainsi aggraver les commotions cérébrales. Le cerveau se déshydrate tout comme les tendons ou d'autres organes chargés d'eau. C'est pour cela que l'on observe plus de tendinites chez les boxeurs qui ont mal géré leurs pertes de poids.
Si tu veux vraiment viser le foie, le mieux c'est de faire un crochet gauche à droite de ton adversaire au dessus de la ceinture. Je dis crochet mais c'est pas vraiment un crochet, ça s'apparente plus à un uppercut, tu ne dois pas le prendre de coté mais faire remonter ton poing pendant l'impact.
Calcul des points dans la boxe professionelle
Le gagnant du round obtient généralement 10 points, le perdant obtient généralement 9, en cas d'un compte, généralement 8, en cas de 2 comptes, généralement 7. Si un round est considéré nul, les deux boxeurs obtiennent 10 points.
Traiter directement la peur
La seule façon de faire face à la peur est de l'aborder de front. Le déni est une tendance naturelle de la nature humaine. Se forcez à faire face à une situation de peur dans la vie renforcent l'estime et la confiance en soi.