L'hypertrichose est le symptôme d'un dérèglement lié à des mutations génétiques (pouvant potentiellement devenir héréditaire) qui se manifeste, chez l'homme ou la femme, par une pilosité envahissante sur une partie du corps ou sa totalité. Le terme est issu du grec hyper : « avec excès », et thrix, trikhos : « poils ».
On trouve ces poils plus précisément au niveau de ce qu'on appelle la marge anale et plus largement, toute cette zone entre les deux fesses qui trace une sorte de ligne et qui est appelée le sillon interfessier, le "sif" pour les intimes.
La tricophilie (ou plus certainement trichophilie) est une paraphilie dans laquelle un individu est sexuellement attiré par la pilosité humaine ; plus communément les cheveux selon la classification DSM.
Glabre signifie « sans poils » (et non « pâle, sans couleur »). Un visage glabre, sans barbe, rasé.
Le pubis désigne aussi la zone du corps située entre le bas du ventre et les organes génitaux. C'est à ce niveau que les poils dits pubiens apparaissent à la puberté. Chez la femme, le pubis est surmonté d'une bosse de graisse appelée communément « Mont de Vénus ».
La pilosité pubienne chez la fille débute habituellement quelques mois après le début de la puberté (caractérisé par le début du développement mammaire), mais peut parfois précéder le développement mammaire. L'âge physiologique se situe entre 8 et 13 ans.
Établir un diagnostic est primordial
Le diagnostic s'établit grâce à une prise de sang et à l'évaluation du degré de pilosité sur neuf zones habituellement peu poilues chez les femmes.
D'accord, mais en quoi est-ce important ? Figurez-vous que cela permet d'éviter d'attraper des IST (Infections Sexuellement Transmissibles) comme herpès. Par ailleurs, le fait de raser vos poils les plus intimes augmente le risque d'abcès.
Dans un second temps, elle apporte une hygiène plus saine, les poils favorisant le développement des bactéries et des mauvaises odeurs, l'épilation intime est conseillée !
Malheureusement, l'épilation et le rasage du pubis peuvent constituer un risque important de micro-blessures, qui de par leur emplacement, peuvent entraîner une infection et/ou transmettre des IST (infections sexuellement transmissibles) comme la chlamydia, la gonorrhée et les infections à papillomavirus (HPV).
Pour une zone si sensible et inaccessible, mieux vaut privilégier la tonte de près. Munissez-vous donc d'une tondeuse sans sabot, et attaquez le travail ! Vous n'avez pas nécessairement besoin de crème à raser, un peu d'eau pour humidifier devrait suffire.
Si les poils pubiens poussent en bouclettes, c'est à cause de leur bulbe qui, comme pour les cheveux frisés, est incurvé et prédéfinit leur forme future. Une permanente pubienne utile en phase de séduction. Car sous ces poils se dissimulent des glandes sudoripares particulières.
En réponse à la hausse des niveaux d'hormones androgènes (la testostérone essentiellement) pendant la puberté, la peau de l'abdomen commence à produire des poils plus épais, plus longs et plus pigmentés (poils terminaux).
L'hypertrichose touche à la fois les hommes et les femmes, et se trouve être héréditaire !
L'hirsutisme est le développement excessif d'une pilosité foncée et épaisse chez la femme dans les endroits qui sont plus typiques de la pilosité masculine (p. ex., moustache, barbe, thorax, épaules, partie inférieure de l'abdomen, dos, partie interne des cuisses).
La première raison est donc esthétique. Si vous rasez, taillez vos poils pubiens, des testicules soyeuses et lisses seront plus harmonieuses et esthétiques. Certains hommes et/ou leurs partenaires préféreront donc des testicules ultra lisses. L'hygiène est également une raison à prendre en considération.
Avant l'épilation, on désinfecte à l'aide d'un antiseptique incolore qui ne pique pas type mercryl ou hexomédine. Ainsi on évite les petits boutons. Si on s'épile à la cire chaude ou tiède, on talque un peu la zone pour protéger la peau et redresser les poils, dès lors plus faciles à attraper.
On ne recommande pas non plus de se raser les cuisses ou les bras, régions du corps aux poils plus fins, car la repousse risquerait d'être très drue.
Elle est généralement due à une production excessive d'hormones mâles (les androgènes comme la testostérone ) ou à une sensibilité augmentée de la peau à des taux normaux d'androgènes. L'évaluation clinique de l'hirsutisme est subjective. Elle est généralement quantifiée par un score (dit de Ferriman et Gallwey).
55% d'entre eux avouent même avoir commencé avant leurs 24 ans. Du côté de la gent féminine, 84 % des femmes pensent que les hommes se rasent le corps plus facilement qu'avant et 65 % d'entre elles considèrent que c'est une bonne chose.
Enfin, sous l'effet du stress, une stimulation hormonale peut aussi provoquer la pousse soudaine de poils.
Cette « poussée de croissance » se produit très rapidement. En général, les filles grandissent d'environ 3 pouces (8 cm) par année pendant la poussée de croissance. Les filles arrêtent habituellement de grandir environ deux ans après avoir eu leurs premières menstruations.
Chez les filles, un pic de croissance survient au début de la puberté, en moyenne à l'âge de 10–11 ans. Ce pic dure jusqu'aux premières règles, moment où la croissance ralentit puis s'arrête, en général vers l'âge de 14–16 ans.
Les pertes blanches surviennent généralement quelques mois avant l'arrivée des premières règles. Une fois apparues, elles accompagneront normalement jeunes filles, jeunes femmes et femmes tout au long de leur vie. Ces pertes peuvent parfois devenir plus abondantes, changer de couleur et d'aspect selon les périodes.