La France s'est engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 40 % entre 1990 et 2030 et, avec la loi Énergie et Climat adoptée en 2019, à atteindre la neutralité carbone en 2050 en divisant les émissions par un facteur supérieur à six par rapport à 1990.
Le cycle des Carbonates-Silicates, ou cycle du Carbone, stabilise le climat sur Terre. Si la Terre a été capable de conserver de l'eau liquide pendant 4 milliards d'années, c'est très certainement grâce à un certain nombre de mécanismes physiques et chimiques stabilisants.
Les jeunes deviennent le visage de l'engagement et de la lutte contre les changements climatiques. Ce mouvement, qui unifie la jeunesse, tend à créer de nouveaux espaces de rencontre, de partage et d'échange, mais aussi de construction pour les adolescent·es.
C'est sans doute la plus célèbre des jeunes engagés : Greta Thunberg. Elle est suédoise, aujourd'hui âgée de 19 ans. Mais elle est déjà une figure reconnue du militantisme contre le changement climatique depuis 2018. Elle n'avait alors que 15 ans.
Investir dans des solutions durables : les subventions aux combustibles fossiles doivent cesser, et les pollueurs doivent commencer à payer pour la pollution dont ils sont responsables. Lutter contre tous les risques climatiques. Coopérer : aucun pays ne peut réussir seul.
La politique climat. La politique de lutte contre le changement climatique repose sur deux piliers : l'atténuation, avec pour objectif la réduction des émissions de gaz à effet de serre ; l'adaptation, car des changements sont inévitables compte tenu de l'inertie du système climatique.
L'atténuation — limiter le changement climatique — consiste à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à les éliminer de l'atmosphère ; méthodes incluant le développement et le déploiement de sources d'énergie à faible émission de carbone telles que l'énergie éolienne, le solaire et le nucléaire mais aussi l' ...
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Selon une étude relayée par la Nasa, l'agence spatiale américaine, le réchauffement climatique pourrait rendre complètement inhabitables plusieurs zones géographiques sur la planète, et ce, dès 2050. Le niveau de stress thermique engendré par les fortes chaleurs peut en effet s'avérer mortel pour les êtres humains.
Pour se limiter à 1,5°C, il faudrait diminuer nos émissions de 7 % chaque année jusqu'à 2030. En France, cela correspondrait à réduire le trafic routier de 25 %. Le problème, c'est qu'il faut s'y mettre tout de suite.
Ce sera le cas du sud de l'Asie, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), et des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen) dès 2050. L'est de la Chine, une partie de l'Asie du Sud et du Brésil devraient également dépasser régulièrement un indice wet bulb de 35 °C d'ici 2070.
intensification des précipitations (fortes pluies et grêle) augmentation des cyclones tropicaux violents. augmentation des périodes d'aridité et de sécheresse. recul de la glace de la mer Arctique et de la couverture neigeuse.
L'augmentation du dioxyde de carbone dans l'atmosphère due aux activités humaines est la principale cause du réchauffement climatique, tandis que les émissions de méthane et de protoxyde d'azote, de puissants gaz à effet de serre, augmentent également dangereusement.
Pour protéger l'environnement, l'État dispose principalement de trois types d'instruments : la réglementation, la taxation et le système de permis échangeables.
Enfin, les pouvoirs publics peuvent instaurer des marchés de quotas d'emission de gaz à effet de serre afin de diminuer la pollution en utilisant les mécanismes de marché. Des « permis à polluer » en quantité limitée (quotas) sont attribués aux entreprises qui polluent en fonction de leurs caractéristiques.
Pour agir contre le réchauffement climatique, l'État dispose de ces trois instruments : la loi (contrainte), la taxe (désincitation) ou la subvention (incitation) et le marché de quotas d'émission par lequel l'État attribue des « droits à polluer » qui pourront ensuite être échangés sur ce même marché.
Chauffage, climatisation, énergies renouvelables, salle de bain, tous corps d'etat.
L'effet de serre est déséquilibré par les activités humaines, en particulier l'utilisation des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon). Celles-ci provoquent artificiellement l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère et, par conséquent, accentuent le réchauffement de notre planète.
«Il nous reste 1028 jours à vivre» : tel est le message que prônait la manifestante écologiste de 22 ans qui a pénétré sur le court Philippe Chatrier et qui s'est attaché le cou au filet.