« La motivation pour un enfant dépend de l'attrait de la nouveauté, du plaisir de la compétition, de la reconnaissance, du goût du dépassement de soi... Le parent peut l'aider à développer une motivation propre, comme pratiquer une activité ou un travail pour le plaisir et la satisfaction qu'il en retire.
Valorisez ses gestes et ses efforts avec des phrases comme : « Tu as travaillé fort pour faire ton casse-tête sans aide » ou « Tu as essayé plusieurs fois de mettre ton manteau et tu as réussi ».
Offrez à votre enfant des encouragements précis et concrets, comme : « Je t'ai trouvé très dynamique lors de ta pratique d'exposé oral », plutôt que « Tu es bon! ».
Pendant la crise d'ado, les adolescents peuvent faire l'expérience d'une variété d'émotions intenses, telles que la confusion, l'irritabilité, l'anxiété et la tristesse. Ils peuvent également avoir du mal à gérer leurs émotions et à faire face aux pressions de la société, de leurs pairs et de leur propre développement.
Comment donner l'envie à son enfant de travailler ?
Première étape : Connectez-vous à votre enfant et identifiez ce qui le motive ! Communiquez avec lui de sorte qu'il comprenne et ressente ce que vous lui dites. Il faut créer chez lui une envie de travailler, car il saura que ça lui apportera quelque chose. Votre rôle, c'est d'amorcer cette envie.
Pour l'aider, ressortez les jeux, lisez avec lui chaque jour un chapitre d'un livre pour lui donner envie de connaître la suite, faites-le participer aux activités de la maison et permettez-lui de sortir voir un copain ou d'en recevoir un régulièrement.
En fait, cela consiste simplement à « écouter » notre enfant sans porter de jugement, ni chercher immédiatement de solution. En adoptant une posture d'écoute et en ne prenant la parole que lorsque c'est nécessaire (pour lui faire préciser sa pensée par exemple, ou reformuler ce qu'il vient de dire).
Selon Ajuriaguerra, en 1974, dans le refus scolaire anxieux, « il s'agit d'enfants ou d'adolescents qui, pour des raisons irrationnelles, refusent d'aller à l'école et résistent avec des réactions d'anxiété très vives ou de panique quand on essaie de les y forcer ».
Coopérer avec les enseignants pour éviter que son enfant décroche. Pour lutter contre la déscolarisation et l'exclusion, il est important de favoriser une collaboration étroite école-famille. Un dialogue régulier entre les équipes éducatives et les parents d'élèves permet en effet d'éviter l'abandon scolaire précoce.
L'échec scolaire d' élèves de primaire est souvent dû à un trouble de l'apprentissage: dyslexie, dyspraxie, dysorthographie, dyscalculie, TDAH ou précocité. Pour le savoir, il faut consulter un neuropsychologue . Il vous aidera à y voir plus clair et vous conseillera des aménagements à mettre en place en classe.
Comment convaincre son enfant de faire ses devoirs ?
Même si par bienveillance, vous souhaitez aider votre enfant à faire ses devoirs, ne les faites surtout pas à sa place. Laissez-le commettre des erreurs puis prenez le temps de lui expliquer ce qui ne convient pas sans vous énerver. Car c'est en apprenant de ses erreurs qu'on avance !
Vers 13 ou 14 ans, le pénis grossit également tandis que la peau des testicules s'assombrit légèrement. C'est dans ces périodes que surviennent les premières éjaculations nocturnes. C'est aussi à cette période que la voix commence à muer et que le corps de votre enfant connait un pic de croissance.
En fait si les spécialistes de l'adolescence (psy, pédiatres, sociologues etc…) parle de crise, c'est parce qu'entre 13 et 18 ans (grosso modo) beaucoup de changements surviennent. Ces changements sont d'abord physiques (liés à la puberté), mais aussi psychologiques (quitter l'enfance pour approcher la vie adulte).
Une définition qui peut se rapprocher de la fatigue. Et à l'adolescence, sous l'influence des hormones, tu peux te sentir épuisé·e par ce corps qui grandit et qui te demande beaucoup d'énergie. Bref, t'as la flemme, et ce n'est même pas de ta faute.