Pour muscler la région du garrot et les abdominaux de votre cheval, vous pouvez lui faire passer des barres au sol soit en surélevant les deux côtés de la barre, soit en surélevant un seul côté (en gros, surélever la première barre à droite, la deuxième barre à gauche, la troisième barre à droite, et ainsi de suite).
Travail sur les pentes : La marche en main ou en selle en montant et descendant des côtes permet de renforcer le dos et les postérieurs. Travail avec des barres : L'utilisation de barres au sol à la longe ou en selle est un moyen stimulant de faire travailler les muscles de la ligne du dos.
Les montées et descentes présentent beaucoup d'intérêt pour muscler votre cheval, car elles « entraînent les muscles en préservant les membres ». Elles sont dans beaucoup de cas préférables aux galops rapides qui nécessitent de très bons terrains et augmentent les risques de traumatismes.
Faites quelques tours sur le petit cercle puis laissez le cheval repartir sur un plus grand cercle. Répétez cela plusieurs fois, votre cheval va rapidement demander à descendre son encolure, dès qu'il le demande réduisez la tension dans la longe et laissez le agrandir le cercle.
Le gogue fixe, une fois placé, forme donc un triangle. S'il lève la tête, la disposition triangulaire du gogue lui sera inconfortable. Le cheval comprend donc facilement qu'il est dans son intérêt de travailler l'encolure basse, ce qui va muscler son dos.
Pour muscler la région du garrot et les abdominaux de votre cheval, vous pouvez lui faire passer des barres au sol soit en surélevant les deux côtés de la barre, soit en surélevant un seul côté (en gros, surélever la première barre à droite, la deuxième barre à gauche, la troisième barre à droite, et ainsi de suite).
Il y a beaucoup de façons différentes de muscler son cheval : On peut le muscler sans le monter. On peut muscler son cheval en balade. L'obstacle et le dressage sont aussi excellents moyens pour muscler l'arrière-main, le dos et les abdos du cheval.
Il ressemble davantage au dessin. Il a de la masse musculaire, car ses efforts sont davantage « explosifs » : intense, mais sur une durée « courte » (quelques minutes). On se rapproche de la morphologie du gymnaste humain.
Exercice #1 – La descente d'encolure
En fait, en baissant sa tête dans un exercice dynamique (pas juste en broutant), l'avant-main du cheval va se trouver surchargée. Les pectoraux et les dentelés vont donc se contracter de manière excentrique pour résister à la surcharge imposée, et donc se développer !
La première règle pour mettre, ou remettre, un cheval en condition physique est de fractionner le travail. C'est à dire alterner entre les temps d'efforts et les temps de récupération. Au cours d'une même séance, on peut demander 3 ou 4 séries d'efforts entrecoupés de temps de pause rênes longues.
De l'huile de laurier : elle nourrit, hydrate et assainit le pied du cheval. Elle permet de garder sa souplesse et donc l'amortissement, tout en évitant le dessèchement et donc l'apparition de seimes. Elle stimule aussi la pousse de la corne.
Quand vous mettez des jambes, le cheval se pousse vers l'avant et vous sentez qu'il se pousse de l'arrière vers l'avant, que toute cette force vient dans la bouche du cheval qui se tend alors sur ses rênes pour céder et s'arrondir.
L'équitation, un sport qui améliore le tonus musculaire
Monter à cheval ne demande pas d'efforts musculaires intenses mais une tonicité contrôlée des jambes, des fesses, du dos, de la ceinture abdominale et des bras.
Les sauts au pas sont extraordinaires pour muscler l'arrière main de votre cheval. Par rapport aux sauts au trot ou au galop, les sauts au pas ont cet avantage de nécessiter beaucoup plus de force à cause de l'absence de vitesse à l'abord.
Installez 2 paires de rênes sur le mors.
Ainsi, dès que vous mettrez trop de tension, la rêne se détachera. Montez avec des rênes très détendues, et remontez dessus petit à petit jusqu'à ce que le cheval fasse ce qui est demandé. Commencez sur des choses simples d'abord : des transitions, se poser sur le mors, etc.
Une bonne main c'est une main dont les actions sont voulues par le cavalier et donc forcément précises et justifiées. La bonne main est fixe, elle ne tire pas plus fort que le cheval et elle ne recule pas vers le cavalier. Elle agit progressivement et cède dès que le cheval répond favorablement à son action.
Le plus grand signe d'affection que peut vous donner un cheval est sa confiance. Vous le remarquerez à son attitude détendue et calme. Le cheval exprimera son bien-être, ce sentiment de sécurité, en vous suivant en liberté, tête basse et les oreilles relâchées.
La reconnaissance mutuelle du maître et son compagnon. Le cheval reconnait celui qui s'occupe de lui. Si vous êtes la personne qui le nourrit, le panse, discute avec lui, le fait jouer, il sera plus fortement susceptible de témoigner d'une certaine reconnaissance.
Au Moyen-Âge, les chevaliers, majoritairement droitiers, portaient leur épée sur le côté gauche, afin de pouvoir la saisir rapidement en cas de besoin. Ils se mettaient donc en selle, montant par le côté gauche du cheval, pour ne pas être gênés. Cette tradition aurait traversé les siècles et perduré jusqu'à nos jours.
Pour muscler le dos de son cheval, il faut donc d'abord muscler ses abdominaux. Vous l'avez compris, quand il y a contraction des abdominaux il y a fléchissement de la hanche. Il y donc ramener des postérieurs “sous la masse”.
Il s'agit du longissimus dorsi, le muscle long dorsal. C'est le muscle sur lequel, nous cavaliers, nous nous asseyons. Il s'attache sur les dernières vertèbres cervicales et va jusqu'au bassin et au sacrum. C'est le muscle principalement sollicité lorsque le cheval tourne, saute, rue, ou se cabre.