Il consiste à retirer la peau de l'animal. Cette étape a lieu le plus tôt possible après la mort de l'animal, avant qu'il ne soit abîmé. Pour cela des incisions sont faites, sous le ventre et à l'intérieur des pattes.
Le principe de la taxidermie consiste à construire une structure ou squelette (en métal ou en bois) sur laquelle on reconstitue les formes de l'animal. Cette reconstitution se faisait initialement en paille, d'où le terme d'empaillage pour désigner l'opération. On parle aussi de naturalisation.
Sel ou borax pour déshydrater. Fil résistant.
L'intérieur du corps est également nettoyé. A la suite de cette étape, la dépouille est recouverte d'un sel permettant de dessécher la chair. Il faut environ 2 mois pour que le cadavre soit parfaitement sec. Le corps est ensuite enduit d'une pluralité de substances aux odeurs diverses, comme la myrrhe.
Pour éliminer efficacement l'odeur désagréable, des produits qui rafraîchissent l'air peuvent être utilisés. Des bougies parfumées, des huiles essentielles, des encens ou des désodorisants à suspendre sont idéaux.
La conservation se fait avec du formol 10% et / ou de l'éthanol 70° (idéalement les deux successivement). Pour bien fixer la peau (ou l'animal entier), il faut qu'elle (il) soit immergé(e) entièrement dans le liquide fixateur (si une partie est mal trempée dans le produit, elle se détériore et devient irrécupérable).
Pas de soucis, vous pouvez le conserver plus longuement. Les taxidermistes recommandent tout de même de leur confier un animal dans l'année de son prélèvement. Durant cette période, placez l'oiseau dans un sac isotherme, positionnez lui la tête sous l'aile, placez le tel-quel dans le sac.
Le taxidermiste naturalise des animaux, c'est-à-dire qu'il redonne une apparence naturelle à une dépouille. Il peut s'agir d'oiseaux, de chiens ou de chats, de félins... Ses clients sont des particuliers, des chasseurs ou des musées.
Aussi appelée taxidermie (du grec taxis : ordre, et derma : peau) la naturalisation est l'art de préparer la peau des vertébrés et de réaliser le support nécessaire à sa mise en forme. Par extension, on parle de naturalisation pour d'autres groupes d'organismes (insectes, crustacés…).
Concrètement, la technique consiste à congeler le corps de l'animal, auquel on a préalablement donné la posture souhaitée. Une fois congelé, le corps est placé dans une machine à lyophiliser, dont le rôle est d'aspirer l'air contenu dans l'organisme, créant ainsi un vide quasi parfait.
Personne qui empaille les animaux.
1. Garnir, bourrer ou envelopper de paille un objet, un siège, etc. 2. Préparer la peau d'un animal et la rembourrer de paille ou de laine de verre pour lui conserver sa forme naturelle.
Personne qui empaille les animaux morts pour les rendre propres à être conservés avec l'apparence de la vie.
Le terme taxidermie (1846) renvoie à taxis (arrangement-ordre) et à derme (peau). Taxis est « le nom d'action de tassein » qui exprime l'idée de « placer où il convient ». Taxidermiste, d'usage didactique pour le terme empailleur, apparaît en 1872.
Le taxidermiste est chargé de rendre l'apparence du vivant à la dépouille d'un animal, en vue de sa conservation ou de son exposition. Il travaille pour des musées scientifiques ou pour des particuliers naturalistes ou collectionneurs.
Ce qu'il faut vérifier avant d'acheter
Les animaux ont une traçabilité, un certificat "Cites", la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction. C'est important car il existe un trafic non-négligeable d'animaux naturalisés, notamment sur internet.
zoophile . Qui aime les animaux, manifeste de l'intérêt pour eux; qui révèle cet intérêt.
Vous devez être majeur. Vous pouvez déposer votre demande dès l'âge de 17 ans. Si votre demande est acceptée, vous obtiendrez la naturalisation à partir de vos 18 ans. La naturalisation peut être accordée à un enfant mineur resté étranger bien que l'un de ses parents soit devenu français.
Chevreuil, cerf : découper la peau de l'animal après les épaules, l'ouverture peut ensuite se faire au niveau de la crinière (voir schéma) et comme pour le sanglier, sectionner au niveau du cou.
De nombreuses autres méthodes permettent également de conserver les plantes et les animaux des collections : le simple séchage à l'air libre des plantes et des insectes, la conservation dans des liquides tels que l'éthanol, ou même, la lyophilisation, un service offert au Musée.
Si vous ne souhaitez naturaliser que la tête « il faut garder environ 1/3 du poisson, on ne coupe jamais à ras des ouïes, mais 6 à 7 cm derrière, et comme pour le poisson entier, mettre la tète dans un linge humide au congel ».
Désormais, il est également interdit d'enterrer son chien si il fait moins de 40 kilos. Au regard de la loi, il n'est donc plus possible d'enterrer votre chien de moins de 40kg dans votre jardin ou en forêt. Les seules solutions autorisées sont : la crémation ou l'inhumation en cimetière animalier.
Autrefois, on ajoutait de la chaux pour éloigner les charognards, éviter les mauvaises odeurs et ralentir la décomposition. Si les cadavres sont correctement enfouis, ils n'attireront pas les charognards et ne dégageront pas de mauvaises odeurs.
Les sacs plastiques et autres bâches ou toiles cirées utilisées en guise de linceul sont à bannir car non biodégradables et sources de pollution pour les sous-sols. On privilégiera un linge (éviter les fibres synthétiques), une couverture ou une boite, de carton ou de bois.