L'âge avancé, l'origine ethnique, et les antécédents familiaux de cancer de la prostate sont des facteurs de risque individuels de cancer de la prostate. Le poids, l'obésité et la taille sont également des facteurs de risque de survenue de cancer prostatique (WCRF, 2018). Ce sont les seuls facteurs de risques avérés.
Les aliments à favoriser ont différentes propriétés agissant sur la prostate pour la protéger ou lutter contre le cancer. On identifie les légumes crucifères, les poissons gras et les huiles végétales, la tomate, le thé vert, le curcuma, les aliments à base de soja, l'avocat, les graines de courges et l'eau.
La prostatite est une inflammation de la prostate, souvent due à une infection bactérienne. Le plus souvent, c'est la bactérie E. Coli qui est en cause (plus de 80 % des cas).
L'âge : exceptionnel chez les hommes de moins de 50 ans (0,5% des cas), le cancer de la prostate touche principalement les plus de 70 ans (âge moyen au diagnostic 74 ans ; 45% diagnostiqués après 75 ans).
L'hypertrophie bénigne de la prostate a un effet négatif sur la sexualité. Les médecins savent depuis longtemps qu'un cancer de la prostate peut entraîner des troubles sexuels chez l'homme, en particulier des problèmes d'érection et d'éjaculation. Ces troubles sont liés autant à la maladie qu'aux traitements.
Des études ont démontré que la consommation de la viande rouge ou transformée, comme les saucisses, les hamburgers, le bacon, les charcuteries et le jambon, pourrait augmenter votre risque de cancer de la prostate.
Le chlordécone, pesticide largement utilisé dans la culture de bananes aux Antilles, pourrait multiplier jusqu'à trois fois le risque de récidive de cancer de la prostate.
Remplacer 30 grammes/jour de viande rouge par 30 grammes de volaille ou de poisson réduit significativement le risque de récidive du cancer de la prostate selon une étude menée auprès de 971 hommes ayant fait l'objet d'une prostatectomie radicale pour traiter un cancer de la prostate primaire.
difficulté à uriner (besoin de pousser, miction difficile à commencer ou arrêter, jet d'urine faible ou qui s'interrompt), sensation de ne pas avoir complètement vidé sa vessie après avoir uriné, brûlure ou douleur en urinant, présence de sang dans l'urine ou le sperme.
Une prise de sang permet de connaître le taux d'une protéine naturellement produite par la prostate, l'antigène spécifique de la prostate ou PSA. Une élévation de ce taux par rapport aux valeurs normales (inférieures à 4 ng/ml) peut être le signe d'une anomalie.
Le chocolat contient de la caféine
Ingérée à forte quantité, la théobromine est susceptible d'augmenter les risques du cancer de la prostate chez les hommes. Elle agit aussi comme une drogue sur le corps et peut créer une action de dépendance.
De fait, l'équipe a constaté que boire une quantité modérée de vin rouge avait même un effet légèrement protecteur, et pouvait faire diminuer le risque de cancer de la prostate d'environ 12%.
Le patient peut donc avoir des rapports sexuels normaux (érection normale, orgasme normal) mais sans éjaculation.
Si on considère les patients qui, dix ans après la prostatectomie, ont un taux de PSA se maintenant à 0,4 ng/ml ou en dessous, 40 % d'entre eux vivent avec ce taux parfaitement satisfaisant. En ce qui concerne des patients en vie après dix ans, présentant un taux de PSA élevé, ils sont 75 à 80 % à toujours être en vie.
Si vous êtes souvent embêtés avec des soucis de cystites (pour ces dames) ou de prostate (pour ces messieurs), le miel de bruyère sera votre meilleur allié. Il est très riche en sels minéraux et aide à la dissolution des calculs rénaux.
Ces éléments font que 95 % des hommes diagnostiqués avec un cancer de la prostate auront une espérance de vie supérieure à 15 ans. Et, même en cas de cancer avancé, la survie a largement progressé, atteignant 5 à 6 ans en cas de cancer métastatique.
Lors d'hypertrophie bénigne de la prostate, uriner devient difficile : l'émission d'urine est lente à démarrer, le flux est faible et saccadé, et des gouttes d'urine continuent à s'écouler pendant une minute ou deux. Après avoir uriné, l'impression que la vessie n'est pas vraiment vide persiste.
Des études sur des patients atteints de cancer de la prostate ont révélé que: jusqu'à 74 % des patients souffrent d'une fatigue associée à la maladie. la fatigue est associée à tous les traitements du cancer de la prostate.