Se reposer pour apaiser le corps et l'esprit du stress
Apprendre à déléguer, limiter les longs déplacements, faire des pauses régulières, sont autant d'attitudes essentielles pour évacuer le stress et conserver son énergie intacte le jour de l'accouchement.
Marcher entre les contractions et changer fréquemment de position stimulent la progression du travail, facilitent la descente du bébé dans votre bassin, diminuent votre perception de la douleur, réduisent également la durée du travail et augmentent votre confort ainsi que le bien-être de votre bébé.
La tocophobie primaire est observée chez les femmes n'ayant jamais accouché. Chez ces femmes, la peur de l'accouchement provient habituellement d'expériences traumatisantes issues de leur passé – qui comprennent les sévices sexuels.
Avoir peur de l'accouchement est normal, surtout si c'est ton premier enfant. Peur d'avoir mal, de ne pas être à la hauteur ou crainte de complications, l'angoisse avant un accouchement touche beaucoup de femmes. L'accouchement est une épreuve à la fois psychique et physique.
C'est une technique d'anesthésie pour un accouchement sans douleur. Se reposer lors de la grossesse et éviter les situations stressantes. Pratiquer des techniques de relaxation. Des séances de yoga, de relaxation et des exercices dans l'eau peuvent réduire le stress et l'anxiété.
Lors de l'accouchement, la douleur est présente, intense, mais pas insurmontable! L'accouchement se vit une contraction à la fois. La douleur est temporaire et progressive, elle n'est pas continue. Entre chaque contraction, il y a une pause pour permettre à la femme de relaxer et de refaire le plein d'énergie.
L'idéal si on peut le faire, c'est de se reposer lorsque « la fatigue » apparaît (si vous travaillez, n'hésitez pas à dormir dès votre retour du travail même s'il est 18h. N'hésitez pas non plus à vous coucher bien plus tôt que d'habitude, le sommeil étant bien plus récupérateur en début de nuit).
Calculer sa date d'accouchement
Prenez la date de début de vos dernières règles. Ajoutez-y 14 jours. Puis ajoutez 9 mois au résultat, et vous obtiendrez votre date d'accouchement !
Se questionner, douter, ressentir de l'anxiété à l'idée de vivre une grossesse, un accouchement, et de bientôt devenir mère, surtout s'il s'agit d'un premier enfant, est tout à fait normal.
Accouchement : une douleur éminemment variable
Dans certains cas, la tête du bébé est orientée de telle manière dans le bassin qu'elle provoque des douleurs lombaires plus difficiles à supporter que les douleurs ordinaires (c'est ce qu'on appelle accoucher par les reins).
La douleur est plus forte pendant une contraction, et l'intervalle entre les contractions peut vous permettre de récupérer. Pour certaines femmes, c'est le début du travail qui est le plus difficile, alors que pour d'autres, il s'agit du moment de la poussée.
Encore tabou et peu étudiée, la tocophobie, ou phobie de la grossesse, touche pourtant une à deux femmes sur dix. Les scientifiques commencent peu à peu à s'intéresser à ce phénomène pouvant entraver un désir d'enfant. «La tocophobie recouvre en fait plusieurs craintes intenses, qui peuvent se superposer (...)
Dès que vous sentez venir une contraction, inspirez profondément par le nez pendant 4 secondes. Commencez par gonfler l'abdomen, puis terminez par la cage thoracique. Expirez ensuite fortement durant 8 secondes en prenant soin de garder la bouche molle.
En effet, si vous êtes une maman stressée en permanence, votre bébé le ressentira et cela pourrait être nuisible pour lui. Le stress peut créer divers problèmes comme des infections, mais aussi un accouchement prématuré. En outre, cela peut avoir un effet négatif physique, psychologique ou social sur votre enfant.
Pour un premier bébé, la sage femme conseille de venir à la maternité apprès deux heures de contractions espacées de cinq minutes. Pour un second bébé, ou plus, mieux vaut venir plus rapidement, après une heure de contractions espacées de cinq minutes.
Bébé descend
« La descente du bébé dans le bassin est indéniablement un signe d'accouchement imminent, dit Mme Tremblay. Cependant, ce dont parlent les femmes, c'est de cette sensation de pression exercée sur le plancher pelvien, susceptible de survenir en fin de grossesse ».
Dès qu'il y a des contractions, il y a une diminution des mouvements actifs fœtaux", souligne le Dr Stéphane Bounan. Dans ce cas, vous vous rendrez davantage compte des contractions du fait que le bébé bouge moins. En revanche, si vous ne sentez juste plus votre enfant bouger, c'est un motif de consultation en urgence.
Pour cela, allongez-vous sur le dos, les jambes repliées, et agrippez vos cuises qui sont un peu écartées. Inspirez et soufflez, puis inspirez et bloquez l'air, pendant 5 à 10 secondes en poussant doucement.
Cela remonterait à notre vie ancestrale, à l'époque où l'Homme était encore nomade, et serait lié à l'instinct de survie. En effet, la nuit était le moment où les femmes pouvaient accoucher à l'abri des prédateurs et des dangers. Elles pouvaient alors reprendre la route dès le matin et veiller sur le nouveau-né.
Être active pourrait favoriser le début du travail. En effet, par gravité, la marche favorise une pression du bébé sur le col, ce qui stimule la libération d'ocytocine. En théorie, les relations sexuelles à la fin de la grossesse pourraient provoquer le travail de plusieurs façons.
Accoucher dans l'eau
L'accouchement dans l'eau est une méthode d'accouchement par voie basse qui permet de réduire les douleurs liées aux contractions tout en facilitant la dilatation du col. La mère est placée dans une baignoire d'eau à 37°C lorsque les contractions s'intensifient.
Elle est de durée variable, en moyenne 8,6 heures chez la primipare et 5,3 heures chez la multipare. Avec un maximum de 20 heures chez la primipare et de 14 heures chez la multipare.
Petit à petit, la mère va avoir besoin de se détendre pendant les contractions : elle va expirer profondément, bouger son bassin debout ou sur le ballon et, en général, elle va préférer être debout qu'en position assise.