Prévoyez un réveil jour/nuit
Un réveil jour/nuit peut les aider à prendre conscience du moment où ils vont pouvoir réveiller leurs parents. Une petite veilleuse s'allume quand il est l'heure de se lever.
Les siestes
Dès le retour à la maison, essayez de dormir en même temps que votre bébé et faites aussi souvent que possible la sieste en vous adaptant à son rythme. La sieste permet de réduire le stress et de récupérer beaucoup plus vite son manque de sommeil.
Allez faire une promenade. Si votre enfant dort dans la poussette, vous pourrez profiter d'un moment agréable avec votre partenaire. Si votre bébé ne dort pas, mettez des livres et des jouets à sa disposition afin qu'il puisse s'occuper seul.
L'âge de 8 mois environ est à éviter car c'est une période sensible. L'enfant a du mal à gérer la séparation à ce moment-là. Vers 1 an, votre enfant vivra plus facilement votre absence, d'autant plus qu'il aura créé des liens avec son père, ses grands-parents, d'autres personnes que vous.
Les câlins sont indispensables au bon développement sensoriel et cognitif de bébé. Le sens du toucher (avec les bisous, les câlins) stimule notamment les hormones du bien-être et de la croissance. Quant à son petit cerveau, il a besoin de vos bras pour développer les bonnes connexions.
La préadolescence, période compliquée pour les parents
C'est donc entre 11 et 12 ans que les parents vivraient le plus mal la grande aventure de la parentalité. Pour en venir à ces affirmations, les chercheurs ont interrogé 2200 mères d'enfants de tous âges, aussi bien nourrissons que majeurs.
Comme le souligne Bernard Geberowicz, "l'arrivée de bébé provoque une crise, il modifie l'équilibre du couple. Mais cela ne débouche pas forcément sur une séparation. Au contraire, cela peut être positif…". Néanmoins, bébé peut ainsi agir comme un catalyseur, révéler ou exacerber des problèmes existants.
Bébé babille, montre son bien-être ou quand ça ne va pas du tout… Son côté expressif aide à mieux cerner ce qui lui convient ou non, rendant, du même coup, les journées plus simples à gérer.
On peut commencer par marcher le plus possible avec bébé et prendre les escaliers plutôt que l'ascenseur. On optera ensuite pour des sports doux comme la marche, le yoga, le pilates ou la natation. On évite les sports d'impact et on ne porte pas de charge lourde.
Évitez de lui donner trop à manger, bercez-le, promenez-le, faites-lui écouter de la musique douce, ou donnez-lui un bain d'eau tiède… Vous pouvez aussi le poser à plat ventre contre votre épaule ou lui masser doucement le ventre. Dites-lui au creux de l'oreille que vous savez qu'il a mal au ventre.
Il réagit simplement sous l'impulsion de ses besoins primaires. Il a peur, il ne se sent pas en sécurité : c'est un véritable besoin. Et si on le comble (au lieu de le frustrer davantage), on arrivera sans doute à le rassurer et il se calmera.
Faites un massage à votre enfant. Ce contact tendre renforce l'attachement et facilite la relaxation. Par exemple, vous pouvez masser doucement la nuque, le front, les tempes ou les pieds de votre tout-petit.
Habituez-le à voir du monde et à ne pas rester systématiquement seul avec vous. Il vous faut éviter de former avec votre enfant un couple fusionnel. Vous pouvez très tôt le confier à votre mère, puis l'habituer à dormir chez des gens en qui vous avez confiance (famille ou amis), et à partir en week-end sans vous.
Miser sur des activités apaisantes, que nous pouvons partager : massage, pâte à modeler, histoire avant de les coucher, musique douce...
Se disputer devant bébé peut avoir un impact négatif sur son développement dès son plus jeune âge. Confronté régulièrement à des conflits familiaux, ton petit bout de chou peut développer une hypersensibilité aux émotions négatives.
Alors, pour limiter les risques de baby clash, il faut penser, en couple, à bâtir un projet de vie avec bébé et penser à certaines choses : Revoir l'organisation de votre emploi du temps et le partage des différentes tâches dans la maison (les courses, le ménage, les biberons de la nuit si la mère n'allaite pas...).
Nous pouvons donc dire que l'ennui fait partie du quotidien du bébé, et avec la curiosité, l'intérêt et le plaisir constituent les motivations du bébé.
L'enfant est souvent agité avant de dormir durant les trois premiers mois. Cette situation peut s'expliquer par le fait qu'il est encore en phase d'apprentissage du sommeil. En effet, durant cette période, les bébés s'adaptent progressivement au rythme de veille-sommeil. Ainsi, cette situation est normale.
Ils semblent être une période normale d'activité du nouveau-né: quand on enregistre l'activité physique et cérébrale d'un fœtus on retrouve déjà cette phase d'activité entre 18-20h et minuit. La plupart des mamans savent que leur fœtus est agité à cette période de la journée, au moment où elles se couchent.
Vers 4 mois, le bébé commence à rire.
À cette étape, les rires sont surtout provoqués par les stimulations qui lui viennent de ses sens, soit la vue, l'audition ou le toucher.
Ce qu'un bébé comprend à partir de 6 mois
Votre bébé commence habituellement à reconnaître des mots vers l'âge de 6 mois. Par exemple, il reconnaît son prénom et il se retourne quand il l'entend. Mais c'est vers l'âge de 8 à 9 mois que votre bébé associe vraiment un sens aux mots.
La psychanalyste Catherine Bergeret-Amselek partage ce point de vue : « On doit éviter d'embrasser son enfant sur la bouche, même lorsqu'il est tout-petit, en tout cas ne pas en prendre l'initiative car cela lui procure une excitation qui n'est pas la bienvenue ».