Prenez des notes avant l'appel, respirez, et fixez une limite de temps en informant poliment l'autre personne du temps dont vous disposez pour parler. Bien que cela semble contre-intuitif, la solution pour surmonter l'anxiété téléphonique est de… parler davantage au téléphone.
Dans ce cas, la peur du téléphone peut témoigner d'une phobie sociale ou d'une dépression. Elle peut venir d'une anxiété généralisée ou d'un trauma, survenu il y a longtemps, comme une mauvaise nouvelle apprise au téléphone.
Décidez quand vous passez des appels.
Il est important que vous déterminiez le meilleur moment de la journée pour passer des appels. Parlez au téléphone lorsque vous vous sentez au mieux. Par exemple, vous pourriez vous sentir plus sûr de vous et plus reposé le matin ou juste après avoir fait de l'exercice.
Pendant un entretien : Se focaliser sur son rythme et son débit de parole, penser à sa position : Ouvrir le thorax et mettre les épaules en arrière, se tenir droit, respirer lentement. Porter son attention sur le contact avec le sol dans ses chaussures.
La peur du conflit, la peur de donner une mauvaise image de soi, ou tout simplement le manque de confiance en soi sont autant de raisons pour ne pas oser s'affirmer. On peut éprouver la sensation qu'on n'a pas la légitimité nécessaire pour s'opposer, ou tout simplement craindre le regard des autres.
Les principaux signaux d'alerte de l'anxiété sociale sont les suivants : les signes physiologiques propres à l'angoisse lors d'interactions sociales (palpitations, jambes en coton, plexus serré, tremblements…) l'évitement systématique de relations sociales au point de ne plus voir ses amis.
Faites suffisamment de pauses en parlant – pas uniquement pour reprendre votre souffle, mais aussi pour donner à votre interlocuteur l'occasion de saisir votre message. Modulez votre voix, ne parlez pas à voix trop haute ni trop basse. Au téléphone aussi, veillez à votre langage corporel.
La peur du téléphone (phobie du téléphone, peur téléphonique ou téléphonophobie) est une peur ou angoisse de passer ou de prendre des appels téléphoniques.
La peur est comme l'excitation, mais sans la respiration. Le fait de bien respirer va donc atténuer les sensations et sentiments qui nous font perdre le contrôle. Le plus : Faire un pas de côté pour prendre de la distance est un petit rituel, une démarche psycho-corporelle très forte.
L'anxiété est une émotion désagréable qui combine des symptômes physiques (le cœur bat vite et fort, la respiration semble difficile, présence de sueurs, tremblements, étourdissements ou de mains moites, corps crispé, muscles tendus) et des pensées anxieuses (inquiétudes, ruminations, obsessions, doutes, craintes).
Faites suffisamment de pauses pendant que vous parlez – non seulement pour reprendre votre souffle, mais aussi pour donner à votre interlocuteur une chance de faire passer votre message. Modulez votre voix, ne parlez pas trop fort ou trop bas. Au téléphone également, faites attention à votre langage corporel.
«Le sourire affecte notre façon de parler, au point que les auditeurs peuvent identifier le type de sourire en se basant uniquement sur le son…» Et comme vous le savez, votre ton de voix transmet 84% du message par téléphone. Par conséquent, avoir un «ton souriant» est un impératif commercial.
Au téléphone, ne parlez pas trop lentement !
La concision est de rigueur au téléphone, sauf avec un proche où tout est permis. Vos propos doivent être clairs, cohérents et courtois. Dès les premières secondes d'une conversation au téléphone on peut séduire ou agacer. Tant qu'à faire jouez le charme !
A la croisée des chemins entre l'anxiété, la timidité et l'introvertisme, l'anxiété sociale est à la fois un trouble à part et un savant mélange des trois. Laurie Hawkes, psychothérapeute, nous guide pour mieux comprendre les subtilités de l'anxiété sociale.
Pour retrouver votre bien-être, pratiquez une activité au grand air (vélo, marche…) : le soleil améliore l'humeur et dynamise. Veillez à respirer profondément quelques minutes par jour et mettez-vous à la relaxation. L'alimentation n'est pas à négliger.
Les troubles anxieux sont aussi souvent associés ou majorés par les événements de vie (professionnels, affectifs et familiaux) et l'environnement. Certaines maladies peuvent déclencher une anxiété. On parle alors « d'anxiété secondaire » comme dans l'hyperthyroïdie, la dépression, les psychoses et le trouble bipolaire.
Personnalité anxieuse
Ces personnes ont tendance à toujours penser que le pire est probable ou du moins plausible et s'entourent alors d'un maximum de précaution pour éviter les difficultés auxquelles elles ont songé.
La pantophobie, ou « peur de tout » est souvent associée à un état dépressif. Cette phobie, qui touche plutôt les hommes, est liée à un manque de confiance en soi et peut trouver sa source dans un traumatisme soudain et violent (deuil, accident).