Parlez presque en chuchotant. Parlez à voix basse jusqu' à ce que votre interlocuteur vous demande de parler un peu plus fort. Essayez d'augmenter le volume de votre voix uniquement quand vous voulez insister sur des mots. Exemple, cette pizza était la meilleure !
Il s'agit tout simplement de prendre des respirations très profondes : vous faites entrer le maximum d'air dans vos poumons et vous le relâchez très, très lentement. Pendant que vous le faites, concentrez vous sur ce que vous ressentez : l'air qui entre dans votre corps, le trajet qu'il fait, comment il ressort.
Selon la psychologue Mélanie Fouré, ce genre de comportement s'explique : "Si l'on exclut les problèmes ORL, le fait de parler plus fort que les autres dénote paradoxalement un besoin de sur-compenser un sentiment d'insécurité, et bien souvent la peur de ne pas avoir la capacité d'attirer l'attention de son ...
Parler vite c'est souvent un mécanisme lié au stress, c'est aussi une mauvaise habitude que l'on prend lorsque l'on vit à un rythme effréné ou lorsque l'on n'aime pas parler en public (manque de confiance en soi, peur d'être « coupé »…). « Plus je parle vite, plus « vite » j'en aurais terminé avec cette épreuve ».
Observez le langage corporel de votre interlocuteur.
Ou est-ce que votre interlocuteur vous ignore simplement et initie une conversation avec une autre personne ? Il s'agit de signes évidents que vous avez tendance à trop parler et que cette situation soit frustrante ou ennuyante pour votre interlocuteur.
Les personnes logorrhéiques parlent beaucoup et longtemps avec un discours qui peut être décousu et passer du coq à l'âne : on parle parfois de fuites des idées. Elle s'accompagne souvent de tachyphémie, une accélération du flux de parole, en particulier en cas de pathologie psychiatrique.
N'entamez pas la conversation comme si vous tentez de convaincre la personne que votre opinion, votre point de vue ou votre façon de faire est la bonne. Essayez plutôt d'apprendre et de tirer des leçons de ce qu'il dit. Ne manipulez pas la conversation afin de parvenir à vos fins et d'écraser l'autre personne.
Une personne volubile, du latin volubilis, « qui tourne », s'exprime avec facilité et rapidité, ce qui est plutôt une qualité. Exception faite pour Littré qui considère qu'on est volubile quand on parle trop et trop vite (ex. : un enfant volubile).
Perspicace : Définition simple et facile du dictionnaire.
Inspirez profondément. Avant de commencer à parler, calmez-vous afin que vos poumons ne manquent pas d'air. Distillez vos pensées, ne les crachez pas toutes en même temps. Si vous prenez la parole avant de prendre le temps de vous poser, vous risquerez de parler trop vite et de mal articuler vos mots.
Le fait de parler, marmonner, rire ou crier en dormant s'appelle somniloquer. Un phénomène assez fréquent dans l'enfance et qui ne serait pas exceptionnel non plus à l'âge adulte.
Se parler à soi-même est lié à la pleine conscience, une pratique très en vogue de nos jours. Selon Sheri McGregor, “cette approche est primordiale parce qu'elle permet non seulement de prendre conscience de ses pensées, mais aussi de la façon dont on les formule intérieurement”.
"La vitesse de la parole est le seul facteur qui apparait lié à l'intelligence, confirme Sébastien Bohler. Un débit important indique une personnalité qui n'hésite pas, compétente et dotée d'un cerveau qui va vite."
La dysarthrie est une incapacité à articuler les mots de façon normale. L'élocution peut être saccadée, hachée, chuchotante, irrégulière, imprécise ou monotone, mais les personnes peuvent comprendre le langage et l'utiliser correctement.
Parler à nous-mêmes, cela veut dire avant tout qu'on a confiance en nous-mêmes et qu'on a une certaine autonomie. En général, on note que les personnes qui ont cette habitude sont plus efficaces et prolifiques, et ils peuvent compter sur eux-mêmes pour résoudre leurs problèmes…
Pour améliorer sa diction, il est essentiel de chauffer et d'entraîner sa voix mais aussi et surtout de "muscler son masque facial". Bien connue des chanteurs et comédiens, cette technique a pour objectif de mieux se faire comprendre par son public et d'avoir ainsi plus d'impact donc de succès lors des représentations.
La logorrhée correspond à une surproduction verbale caractérisée par un flux de paroles rapide, long et diffus. Ce terme médical est souvent utilisé en psychiatrie. La logorrhée est souvent le signe d'un trouble psychiatrique et survient généralement lors d'accès maniaques.
Autres conseils des experts de l'écoute : éviter de mettre nos solutions sur la table, car cela sert surtout un objectif, celui de montrer combien on est futé ; tenter de se mettre à la place de la personne en face de nous, et pour cela, se calquer sur son attitude corporelle, garder le contact visuel, se retenir de ...
Les raisons. Le self-control est une réaction de défense qui permet à la personne de lui donner la sensation d'agir sur les choses et non de les subir. Ce comportement qui peut être excessif, les rassure.
Les bavards paraissent "plus sympathiques"
“Les deux premières études ont mesuré l'existence du 'biais de réticence', c'est-à-dire l'idée selon laquelle parler moins dans une conversation vous rend plus sympathique”, rappellent les chercheurs.