Comment traiter une peur des maladies ou hypocondrie ? Le traitement de l'hypocondrie repose essentiellement sur un abord psychothérapique. Les psychothérapies cognitives et comportementales sont particulièrement recommandées, mais d'autres abords peuvent aussi avoir leur place comme l'EMDR ou un abord systémique.
Si vos inquiétudes ne peuvent s'expliquer par une autre affection, comme un trouble anxieux généralisé, un trouble panique ou un trouble obsessionnel compulsif, cela peut être un signe d'hypocondrie ou d'anxiété liée à la santé.
Pour traiter l'anxiété et la dépression, les psychothérapeutes prescrivent souvent des TCC (thérapies comportementales et cognitives). En dehors de cela, les séances de psychanalyse sont également très efficaces pour aider à faire face à la cancérophobie. L'hypnothérapie est une autre option.
Pratiquer une activité physique. Pratiquer une activité physique participe à une bonne hygiène de vie. Elle est en outre très importante pour l'équilibre psychique de l'hypocondriaque qui en ÉPROUVANT son corps, va se le réapproprier et en reprendre le contrôle.
À l'idée de s'exposer au risque d'attraper une maladie, certaines personnes se trouvent paralysées d'angoisse. Ce trouble, qui se manifeste aussi par la peur d'avoir contracté quelque chose de grave au premier symptôme, s'appelle la nosophobie.
Selon un sondage diffusé ce lundi par la Fondation Arc, 57% des Français placent le cancer comme la maladie la plus à "craindre" et "qui fait le plus peur", devant la maladie d'Alzheimer (19%), le sida (8%) et les maladies cardiovasculaires (8%).
Les troubles anxieux constituent une maladie psychique fréquente qui s'exprime sous diverses formes (anxiété généralisée, phobies, trouble panique...) et perturbe fortement la vie quotidienne. De nombreux facteurs psychologiques, biologiques et environnementaux peuvent favoriser leur survenue.
L'hypocondrie se soigne.
Toutefois, sa prise en charge et sa guérison demeurent un défi, aussi bien du côté médical que de celui du patient. Une fois le diagnostic posé, deux approches sont préconisées : le traitement médicamenteux (dans certains cas) et la psychothérapie (indispensable).
L'hypocondrie peut se développer sur une période bien précise de sa vie, à la suite d'une maladie ou d'un décès dans la famille, ou encore du développement d'une hypocondrie dans son entourage. La personnalité est un facteur entrant grandement en compte dans le développement d'une telle pathologie.
L'hypocondrie peut se développer suite à un évènement psychologique particulier (généralement brutal et difficile à vivre) et a parfois tendance à se renforcer avec l'âge.
Problèmes de vue ou d'audition. Nausées ou vomissements récurrents. Sang dans l'urine. Sang dans les selles (visible ou détectable par des examens de laboratoire)
Une toux et des enrouements inexpliqués depuis plus de 4 semaines, une difficulté à déglutir, des nausées et des vomissements, une plaie qui ne guérit pas en 3 semaines, de la diarrhée ou de la constipation depuis 6 semaines ou plus.
Ne pas ignorer les signes d'alerte
Avant tout, il faut consulter devant tout phénomène inhabituel qui persiste : toux, douleurs, grosseur, tache sur la peau, problèmes digestifs, urinaires, plaie, saignements, perte de poids inexpliquée, etc. Le premier examen, clinique, est fait par le médecin.
Dans un cas extrême, une maladie rare peut toucher une seule personne dans le monde. Cela semble être le cas pour la déficience en ribose-5-phosphate isomerase, une maladie métabolique pour laquelle le seul patient connu est né en 1984, ce qui en fait virtuellement « la maladie la plus rare ».
L'un des signes les plus courants de la maladie d'Alzheimer est la perte de mémoire, notamment le fait d'oublier des informations récemment apprises.
Le stress ou l'anxiété chronique peuvent exacerber cette tension, ce qui entraîne des maux de tête, des épaules raidies, des douleurs au cou et parfois même des migraines. Les gens constamment stressés sont d'ailleurs plus à risque de souffrir de troubles musculosquelettiques chroniques.
L'hypocondrie se manifeste sous forme de "crises" ou de façon constante. Douleurs, palpitations, crampes, fourmillements, boutons suspects, retards de règles... Les moindres signes physiques sont interprétés par l'hypocondriaque comme les symptômes d'une maladie grave, potentiellement mortelle.
Contrairement à un professionnel de santé, les sites Internet et autres moteurs de recherche, ne connaissent ni vos antécédents médicaux ni vos autres symptômes, c'est pourquoi ils doivent être utilisés avec un maximum de prudence.
Les benzodiazépines sont les principales substances utilisées pour traiter l'anxiété aiguë (effet dit anxiolytique, voire sédatif). Le médicament agit après une seule prise, en 5 à 15 minutes environ, selon la dose absorbée et la sensibilité du patient.
L'apparition de l'hypocondrie peut être causée par différents facteurs tels qu'un traumatisme survenu durant l'enfance, le décès d'un proche à la suite d'une longue maladie ou l'expérience même d'une maladie. Il peut donc être, dans certains cas, difficile de comprendre exactement pourquoi devient-on hypocondriaque.
engourdissements ou picotements; difficulté à se concentrer; sentiment d'inquiétude; peur de mourir.
L'Organisation mondiale de la santé considère la SLA comme l'une des maladies les plus cruelles au monde. Le journaliste-romancier Bertrand Poirot-Delpech l'a décrite en employant les termes d'« emmurement vivant ». L'esprit du patient reste vif dans un corps qui, petit à petit, ne peut plus bouger.
Le National Health Service, le système de santé publique britannique, a listé les pathologies les plus douloureuses pour le corps humain. La migraine, la sciatique, l'appendicite, la fracture osseuse ou encore l'attaque cardiaque: autant de pathologique provoquant des douleurs insupportables.