Un chien ne peut pas dominer son maître, et même si c'était le cas il ne pourrait pas être dominant pour tout. Il est important d'être cohérent avec son chien, sous peine de voir se développer du stress et des effets indésirables chez son chien (de même si le maître use mal de sa « supériorité », à l'ancienne).
Avec les autres chiens, un individu dominant pourra se montrer agressif, provocateur ou bagarreur, et exprimera sa dominance par des attitudes caractéristiques : posture du corps droite et rigide, oreilles et queue dressées, regard insistant, défiance, bousculades, morsures...
L'animal se tient bien droit, est assez rigide, et il porte ses oreilles dressées tout comme sa queue. Son regard est parlant lui aussi. Il est généralement insistant. En tout cas le chien dominant ne baisse pas les yeux, ne regarde pas de côté et ne se tapit pas au sol face à son maître ou à un congénère.
Respecter les besoins de son chien, est le tremplin vers une bonne cohabitation. Il a besoin de voir régulièrement d'autres congénères bien dans leurs pattes (pour ne pas qu'il devienne agressif), de faire des balades tous les jours même s'il a un jardin, de jouer avec son maître et de se sentir en sécurité.
Le chien dominant
Un chien dominant résulte d'un instinct primitif et surtout du comportement de ses propriétaires. Ce genre de chien veut dominer tous ses congénères ainsi que les membres de son foyer. La faute à des maîtres qui l'ont laissé faire la loi à la maison par négligence ou trop grande gentillesse.
7 - Votre chien fait preuve d'empathie
De même, si vous avez peur ou si vous êtes plus stressé que d'habitude, alors votre chien est plus câlin. Il peut même vous lécher ! L'empathie d'un chien est également avérée quand votre compagnon bâille en même temps que vous.
Un chien peut se montrer agressif envers des étrangers quand ils se situent en dehors du foyer où vit le chien en question. Ainsi, lorsque votre toutou va apercevoir des étrangers en dehors de son terrain, il aura pour attitude de vous défendre et donc, d'aboyer à l'encontre de la ou des personnes en question.
Le passage
Astuce : Sortir / entrer avant le chien, le chien doit suivre son maître et non le précéder, lui demander de s'assoir avant de l'autoriser à monter sur le canapé ou passer la porte, s'il est autorisé à monter sur le lit il faut aussi pouvoir lui demander de descendre lorsque vous le souhaitez.
La meilleure façon d'y parvenir est d'utiliser la méthode d'éducation canine positive, en récompensant l'animal chaque fois qu'il a le comportement souhaité, par exemple en le caressant ou en lui donnant une friandise pour chiens.
Ne vous dites pas « si mon chien n'obéit pas et ignore chaque « assis », « reste » et « au pied », c'est simplement parce qu'il est têtu ». Même si c'est difficile à entendre, sachez que le manque d'obéissance du chien vient uniquement du comportement du maître et d'une mauvaise éducation.
Ignorez un chien c'est : ne pas le regarder, ne pas lui parler, ne pas le toucher. En clair : tournez-lui le dos ! Puis, lorsqu'il est passé à autre chose, vous pouvez l'inviter à venir vous voir pour lui proposer ce qu'il souhaitait à la base : séance de jeu, caresses, etc.
Rester paisible, s'éloigner doucement si le chien semble ne pas vouloir passer à l'attaque ou au contraire rester immobile ; ne pas fixer le chien dans les yeux, car il peut prendre cela comme une provocation, se laisser sentir sans bouger, sans crier…
Un chien dit soumis a tendance à obéir au chef de la meute et a un fort besoin de grégarité : il cherche donc à obtenir la satisfaction de son maître en exécutant les ordres, en réalisant des tours et en accomplissant des tâches. Pour ces raisons, il est facile à éduquer et convient bien à un maître peu expérimenté.
Choisissez les zones appréciées par l'animal : l'avant du cou, le dessus de la tête, la nuque, le dos les flancs... Chaque chien a des zones plus ou moins sensibles, tout comme le maître aime caresser certains endroits et pas d'autres." Plus que les mots prononcés, c'est surtout l'intonation qui est importante.
dire un “non” incisif à votre chien. Dès que votre chien détourne le regard, félicitez-le d'un ton joyeux avec un “ouiii !” et donnez-lui la friandise. Le but est que votre chien comprenne que renoncer c'est gagner. Cet exercice est à répéter, et surtout à compliquer petit à petit.
L'exemple qui me vient immédiatement en tête est celui de la friandise. Si vous avez demandé plusieurs fois le “assis” à votre chien alors qu'il connaît la position et qu'il ne veut pas la faire. Et qu'au bout de plusieurs fois vous lui sortez une friandise, vous récompensez alors son “attente”.
«Caressez votre chien sur le dessus de sa tête, il comprend ainsi que vous le dominez.» Nos chiens préfèrent être caressés sur le poitrail, le ventre… Il est outrant que certains dresseurs utilisent même la caresse, qui est censé être un moment complice et agréable, pour soumettre leur chien.
Les règles d'or d'une punition juste et intelligente
La première règle à respecter repose sur un principe simple et indiscutable : le chien doit être puni dans le moment présent, c'est-à-dire si et seulement si vous le prenez en flagrant délit !
Le chien qui n'a jamais mordu peut mordre en vieillissant, s'il a mal par exemple. Et un chien qui a mordu ne remordra pas forcement car il peut avoir réglé son problème ou ne pas avoir obtenu satisfaction en mordant !
Une technique consiste, lorsque l'on joue avec lui avec les mains et qu'il mord, à pousser un gémissement aigu ou à lui ordonner d'arrêter. Si le chiot continue, arrêtez le jeu et ignorez l'animal.
En effet, dans la liste des chiens les plus "mordeurs", on retrouve des rottweilers, des bergers allemands ou des pitbulls mais également des labradors, des Jack Russel ou des teckels. Ces derniers font pourtant partie des races privilégiées par les familles et plébiscitées par les enfants ou les retraités.
Elles sont d'ailleurs associées à l'animal de compagnie. Pour montrer votre affection à votre chien, il faut prendre le temps de le caresser et de le câliner chaque jour. Mais pour vraiment lui montrer que vous l'aimez et qu'il s'en rende compte, attardez-vous sur la zone des oreilles.
Lorsque vous parlez à votre chien, vous êtes persuadés qu'il a tout compris ? Vous avez bien raison ! Une étude hongroise publiée dans la revue américaine Science (29/08/2016) démontre que le cerveau des chiens prête attention à la fois à ce que nous disons et à la manière dont nous le disons.