Derrière le complexe d'infériorité d'origine psychologique ("Je suis nul") se cachent des problèmes d'estime de soi, avec surestimation des autres (vus comme plus beaux, plus intelligents, plus courageux...).
L'émoussement des émotions.
Le sentiment d'être inutile, la dévalorisation de soi. C'est la composante dépressive du burn out. Un mal être qui fait tache d'huile pour gangrener tous les éléments de la vie et qui est accompagné d'une remise en question de sa famille et de sa vie sociale en générale.
Pour vous sentir à la hauteur, vous devez vous appliquer à éviter la comparaison avec les autres ou l'image de l'individu soi-disant parfait et adéquat que renvoient les médias à longueur de temps.
La susceptibilité est liée chez vous à un sentiment d'imperfection et à un manque de confiance en vous. Vous cherchez souvent à être parfait(e) et à apparaître aux yeux d'autrui comme un être génial. Du coup, vous vivez les remarques comme des preuves évidentes de votre imperfection.
Nous ne nous sentons pas digne d'être aimé comme on le mérite, et d'une certaine manière nous repoussons et rejetons inconsciemment l'autre. Ce comportement est une forme d'auto-sabotage inconscient comme pour confirmer que nous ne sommes pas dignes d'amour, même si consciemment nous le recherchons éperdument.
Quand le quotidien s'enlise, que les objectifs deviennent flous et que l'on manque d'entrain, comment retrouver l'envie d'avancer ? En se fixant des objectifs qui nous enthousiasment. Et pour cela, il faut commencer par savoir vraiment ce qui nous motive, au plus profond de nous.
Pour contrer le sentiment de vide, il faut non seulement parvenir à se connecter à soi-même, mais également avec les autres. Ainsi, parmi les pistes de solutions, il faut accepter les autres tels qu'ils sont pour arriver à vivre harmonieusement.
Certains se sentent décalés parce qu'ils ont du mal à écouter et à comprendre ce que l'autre ressent. Ce manque d'empathie peut avoir une double origine. « Il peut venir du fait que, enfants, leurs émotions n'ont pas été écoutées, si bien qu'ils n'ont pas appris à le faire à leur tour, explique le psychiatre.
La solitude n'est pas une maladie, mais plutôt le symptôme d'une difficulté à s'adapter à son environnement. Cela peut parfois résulter d'un problème de santé mentale préexistant. Dépression, anxiété, troubles du sommeil ou bipolarité, peuvent se manifester également par un sentiment profond de solitude.
Aurore Issartel : il y aurait beaucoup à dire, mais en quelques mots : cette idée que personne ne nous aime vient tout droit d'une estime de soi malmenée, et aussi d'une trop grande dépendance vis-à-vis du regard des autres.
Il peut s'agir d'une déprime ou bien d'une dépression. La première est un mal-être passager ; la seconde est une maladie qui nécessite une prise en charge médicale et psychothérapeutique.
Ont une peur exagérée de se tromper. Pensent qu'elles sont incapables, qu'elles ne savent rien. N'ont pas conscience de leur talent. Ont peur de la nouveauté et évitent de prendre des risques.
La timidité, ne pas se faire confiance : Même si vous savez ce que vous voulez et ce qui vous passionne, cela peut parfois être difficile à exprimer aux autres si vous êtes de nature introvertie ou si vous manquez actuellement de confiance en vous.
Se sentir vide est associé à la tristesse, à la peine. Ce sentiment est souvent dû à une rupture du quotidien, comme nous l'explique Joëlle DENOYER, notre psychologue. On peut alors ressentir l'abandon, la solitude et une sensation de rejet. Un sentiment qui se situe dans le ventre et le thoraxe.
Chez certaines personnes, en particulier chez les personnes âgées, la pression artérielle baisse de façon excessive lorsqu'elles s'asseyent ou lorsqu'elles se lèvent (une affection appelée hypotension orthostatique ou posturale).
C'est un symptôme clinique commun à de nombreuses pathologies mentales comme la schizophrénie, le burn-outou le trouble de la personnalité borderline… Le sentiment de vide s'accompagne parfois de comorbidités. Il peut déclencher des compulsions alimentaires de type hyperphagie ou boulimie.
Qui est misanthrope, qui éprouve de l'hostilité, voire de la haine envers le genre humain.
Vous devez prendre conscience que vous avez le droit de vous sentir respecté. Les pressions sociales et culturelles que vous subissez vous poussent peut-être à croire qu'il est malpoli de dire « non » lorsque l'on vous demande quelque chose.