Il peut s'agir de : médicaments antiarythmiques comme les bêtabloquants, l'amiodarone et d'autres antiarythmiques ; les anticoagulants parfois prescrits afin d'éviter éventuellement la formation de caillots provoqués par l'arythmie.
Bien que la majorité des arythmies ne se guérissent pas, il est possible de les maîtriser avec un traitement adéquat. Le choix du traitement dépendra de plusieurs facteurs, dont le type d'arythmie et les symptômes associés.
Aujourd'hui les recommandations françaises, européennes et américaines placent majoritairement l'ablation par radiofréquence ou par cryothérapie en première intention de traitement, car elle seule garantit une guérison définitive de l'arythmie cardiaque et notamment de la fibrillation atriale.
le diabète ; les troubles endocriniens, comme un dysfonctionnement des glandes thyroïdes ; la consommation excessive de certaines substances, comme le tabac, la caféine, l'alcool ou les drogues ; le stress.
"Lorsque l'on a une arythmie cardiaque, il faut vivre normalement. Si on commence à mettre des barrières partout à cause de l'arythmie, la qualité de vie se dégrade et on prend un coup de vieux assez rapidement. Cela correspond d'ailleurs au côté maléfique de l'arythmie. Il faut donc vivre normalement.
Les sports d'endurance tels que la marche, le jogging, la natation ou le cyclisme sont particulièrement bénéfiques en cas de maladies cardiaques car ils améliorent de façon progressive le système cardiaque et respiratoire.
Les personnes touchées se sentent très mal, ont la sensation que leur cœur s'emballe, des vertiges, des dyspnées et une pression au niveau de la poitrine. La tachycardie ventriculaire est une situation d'urgence car elle peut déboucher sur la fibrillation ventriculaire, menant à un arrêt cardio-circulatoire.
Le stress intense et ses effets sur le cœur
Ces changements accélèrent le rythme cardiaque, provoquent des arythmies cardiaques sévères ou encore peuvent provoquer une contraction des artères coronaires.
L'arythmie cardiaque peut causer une fatigue du cœur, car elle empêche le cœur de battre de manière efficace. Lorsque le rythme cardiaque est irrégulier ou accéléré, le cœur doit travailler plus dur pour pomper le sang dans tout le corps.
L'une des solutions les plus efficaces consiste à pratiquer la relaxation, la respiration profonde et la méditation. Vous pouvez par exemple aller vous promener dans la nature, ou bien effectuer vos entraînements en pleine conscience. Prendre une douche ou un bain bien chaud peut également faire des merveilles.
L'eau est la seule boisson indispensable ; il faudrait en boire au moins un litre et demi par jour, telle quelle ou sous forme de boissons chaudes. Limitez la consommation des graisses, surtout saturées (viennoiseries, pâtisseries, charcuteries, beurre, sauces, fromages, lait entier…).
La mélisse régule le rythme
Grâce à ces actifs, la mélisse diminue le stress et régule le rythme cardiaque. Comme elle calme le système nerveux qui commande la contraction de l'intestin, elle est aussi antispasmodique. Pourquoi ? On la préfère en cas de palpitations assorties de spasmes digestifs.
Le poisson contient de l'ADH et de l'AEP, deux membres de la célèbre famille des oméga-3. Ces gras aident à stabiliser le rythme cardiaque et à abaisser la tension artérielle. Ils empêchent aussi les plaquettes sanguines de s'agglutiner pour former des caillots.
Les antiarythmiques ayant des effets de classe III (sotalol, amiodarone, dronédarone, quinidine, disopyramide) allongent la durée de l'intervalle QT/QTc de l'ECG et l'amplitude de cet effet sur l'ECG permet de suivre l'exposition à ces médicaments.
Le cœur bat normalement entre 50 et 80 fois à la minute au repos. Une arythmie peut ralentir les battements cardiaques (bradycardie, soit moins de 50 battements à la minute), les accélérer (tachycardie, soit plus de 100 battements à la minute) ou provoquer un rythme irrégulier (fibrillation auriculaire, extrasystole).
Alors qu'une fibrillation auriculaire non traitée peut nuire considérablement à la qualité de vie, la majorité des patients traités pour cette affection mène une vie active et normale.
D'une part, il est vrai que certains patients peuvent voir leur arythmie disparaître complètement, notamment grâce à un traitement médicamenteux efficace, à des interventions chirurgicales réussies ou à des changements profonds dans leur mode de vie.
Le premier symptôme ressenti lors de l'insuffisance cardiaque est l'essoufflement. Il est provoqué par un engorgement du sang dans les poumons. Autre symptôme évocateur, la fatigue provient d'un déficit d'irrigation des muscles, ainsi privés d'un apport suffisant en nutriments et en oxygène.
Les palpitations cardiaques correspondent à une perception anormale des battements du cœur. Celui-ci paraît battre trop vite, trop fort ou irrégulièrement. Plusieurs facteurs peuvent être à l'origine des palpitations : effort intense, troubles émotionnels, tabac, alcool, certains médicaments, etc.
Une extrasystole ventriculaire est un battement cardiaque supplémentaire dû à une activation électrique anormale, dont l'origine se situe dans les ventricules (les cavités inférieures du cœur) et qui survient avant un battement cardiaque normal. Le symptôme principal est la perception d'un battement manqué.
Pour les personnes souffrant de problèmes cardiaque, la banane est souvent une bonne alliée.
[Quatre pictogrammes – Essoufflement inhabituel, Prise de poids rapide, Pieds et chevilles gonflés, Fatigue excessive – apparaissent à l'écran.] Ces 4 symptômes ne doivent pas être pris à la légère. C'est peut-être le signe que votre cœur ne fonctionne plus correctement.
Si le cœur est normal, c'est en général sans conséquence. Mais, si le cœur n'est pas normal, cela peut entraîner de l'essoufflement et de la fatigabilité au cours d'un effort physique. La gêne est d'autant plus nette que l'arythmie est rapide, à partir de 120-130/min, voire plus.