Le prix moyen d'un terrain nu peut varier de 50€ le m² dans les zones très rurales jusqu'à parfois atteindre plus de 500 € le m² dans les zones urbaines.
Discuter pour obtenir un meilleur prix
Bien que le taux de négociation soit de l'ordre de 5%, il est préférable d'aller au-delà pour proposer son prix. Mais avant, il est primordial de se renseigner sur le prix du marché, mais aussi sur la valeur réelle du terrain à acheter pour faire sa proposition.
En moyenne, le taux de négociation est aux alentours de 5 %. Mais vous pouvez aller bien au-delà ! Tout dépend de vous. Si le vendeur veut 100 000 € pour son terrain et que le prix du marché est plutôt 90 000 €, demandez 80 000 € voire 75 000 € !
Le prix du terrain non viabilisé est donc très inférieur à celui du terrain constructible raccordé. La différence peut aller jusqu'à 50 %. Mais la somme des travaux et des diverses démarches peut rapidement faire oublier cette économie de départ.
Qui règle la note ? C'est au propriétaire du terrain, qu'il s'agisse d'un particulier, d'un lotisseur ou d'un promoteur immobilier, d'entreprendre les démarches de viabilisation. Il doit aussi prendre en charge le coût des travaux et coordonner la réalisation de ceux-ci lorsqu'ils font intervenir plusieurs entreprises.
Viabilisation d'un terrain : entre 5.000 et 15.000 euros
Pour le raccordement à l'électricité, comptez + 200 € par mètre linéaire au-delà de 30 mètres, Pour le raccordement au gaz, comptez + 100 € par mètre creusé au-delà de 30 mètres, Pour le raccordement à l'eau, comptez + 45€ par mètre, au-delà de 10 mètres.
Concrètement, il vous suffit de vous rendre sur le site: app.dvf.etalab.gouv.fr/. En cliquant sur la maison ou le bâtiment souhaité sur la carte interactive, le prix de vente du bien en question est affiché.
Il est donc tout à fait possible d'accepter une offre d'achat, même lorsqu'elle est inférieure à vos attentes initiales. Dans ce cas, vous pouvez envoyer une lettre recommandée à l'acquéreur pour accepter son offre.
Il peut s'agir d'un gestionnaire local ou bien d'ERDF. Quant au raccordement au réseau de gaz, il fait intervenir le gestionnaire du réseau de distribution au niveau local ou national (GRDF).
A fortiori donc, lorsqu'un terrain n'est pas viabilisé, il suppose nécessairement d'être constructible car les opérations de viabilisation constituent des travaux de construction, d'après les règles d'urbanisme. Pour pouvoir procéder à la viabilisation d'un terrain, il faut donc qu'il soit constructible.
Il s'agira de faire votre demande de raccordement auprès de votre mairie par le biais d'un formulaire. Puis, une deuxième demande devra être émise à l'adresse de la société des eaux locale. Une fois leur devis accepté et le paiement effectué, la viabilisation du terrain pourra démarrer.
Pour ce qui est de la formule de calcul, la voici : Calcul du prix au m² d'un terrain constructible = Prix de vente global du terrain / Nombre de m² totaux.
Généralement, on estime qu'un terrain non occupé de 100 m² compte pour 10 à 20 m² de surface habitable. Ainsi, si votre maison mesure 100 m² et votre terrain 200 m², vous obtenez une surface potentielle de 140 m² (100 + 200*20 %). au maximum que vous devez multiplier par le prix moyen du mètre carré du secteur.
Un compromis de vente peut très bien être signé "sous seing privé" (entre deux particuliers ou devant un agent immobilier). Il n'y a pas d'obligation d'impliquer son notaire. Cependant, c'est la méthode la plus sécurisante pour le vendeur comme pour l'acheteur.
Pour obtenir une bonne remise, les phrases les plus simples fonctionnent bien : – « Si je prends plusieurs articles, vous pouvez me faire un prix ». – « Pour que je ne dépasse pas mon budget, vous pouvez me faire un geste sur cet article ».
Pour réaliser cette opération, il vous faudra contacter la mairie et remplir un formulaire de demande de raccordement. Une fois cette formalité obligatoire acquittée, vous devrez contacter la société des eaux de votre lieu d'habitation pour introduire la même demande auprès d'eux.
La viabilité d'un terrain signifie qu'il est aménagé et que celui-ci est raccordé aux réseaux d'électricité, d'eau, de gaz, de téléphone et d'assainissement.
Comme pour l'électricité, le raccordement au gaz d'un terrain non viabilisé commence par le dépôt d'une demande auprès du gestionnaire de réseau. Dans la majorité des cas, il s'agit de GRDF. Cependant, certaines communes ont choisi une ELD (Entreprise Locale de Distribution). Renseignez-vous auprès de votre mairie.