rieuse. Personne qui rit ou qui aime rire.
Personne qui aime à rire. C'est un grand rieur, une grande rieuse.
Personne qui ne sait pas rire.
gai, gaie
Qui est enjoué, souvent prêt à rire, toujours de bonne humeur : Un garçon gai. Un caractère gai. 2. Qui rit, s'amuse, est joyeux, de bonne humeur ; qui manifeste cette gaieté : À la fin du repas tout le monde était très gai.
Il existe un mot pour qualifier un tel atrabilaire. Un terme qui apparaît dans l'œuvre de François Rabelais: «agélaste». Comprenez: un individu «réfractaire à l'humour».
Le rire prodromique, késako ? Décrit pour la première fois dans la Revue Neurologique en 1903 par Charles Féré (1852-1907), un neurologue français ayant exercé à l'hôpital Bicêtre, ce trouble désigne un rire pathologique, irrésistible et sans objet, annonçant la survenue d'un accident vasculaire cérébral.
rieuse. Personne qui rit ou qui aime rire.
Le nom calme a donc aussi pour contraires nervosité , agitation , stress , angoisse , anxiété , affolement , panique , bouleversement , tourment et trouble .
Définition de cocasse adjectif
familier Qui est d'une étrangeté comique, qui étonne et fait rire. ➙ burlesque.
1. Se manifester avec force, causer des ravages : La sécheresse a sévi en certaines régions d'Afrique. 2. Être malheureusement en usage et avoir des effets nuisibles : Cette doctrine sévit encore dans les milieux économiques.
Personne qui a une attirance pour les fesses humaines.
outrancière. Qui tend à exagérer une chose jusqu'à son point de rupture pour en abuser ou en obtenir un profit quelconque.
Dodeliner. Signification : balancer doucement. Drôle parce que : ce mot sonne comme un doudou et porte le rythme du balancement uniquement en le prononçant. Mise en situation : sa moumoute dodelinait d'une oreille à l'autre.
Le rire pathologique s'observe notamment en cas de sclérose en plaques, de paralysie pseudobulbaire (par atteinte du bulbe rachidien qui relie le cerveau et la moelle épinière), de tumeur, de sclérose latérale amyotrophique (ou maladie de Charcot, affection dégénérative de la moelle épinière).
Une infinité d'adjectifs permettent de qualifier le rire, quelle que soit sa nature. Quand le rire est « positif », il peut être : bon, bon enfant, débonnaire, naïf, franc, spontané, gai, joyeux, fin, gracieux, léger, intelligent, spirituel, bruyant, sonore, éclatant, énorme, tonitruant, convulsif, contagieux…
Qui divertit ou porte à rire par son originalité, sa singularité. Histoires, mots drôles; personnage drôle en société; faire une plaisanterie (très, assez) drôle. Quasi-synon. amusant, cocasse, comique, marrant, rigolo (pop.); anton.
LE « RIRE » D'où qu'il vienne, le rire manifeste une distance prise par rapport aux choses : le rieur s'abstrait des situations où les autres se ridiculisent; il manifeste surtout, par le recul qu'il sait prendre, le pouvoir supérieur de l'homme face à tout ce qui menace de le déterminer.
Le rire fait chuter les hormones de stress et augmente les neurotransmetteurs sérotonine et endorphine, ce qui contribue à notre bonheur et notre plaisir. En riant, nos muscles se détendent, notre pression diminue, le sang s'oxygène et notre système immunitaire est renforcé.
On peut citer bête , stupide , idiot , pas doué , imbécile , abruti , crétin , sot , bêta , nigaud ou, plus vulgairement, con .
affection, attachement, camaraderie, complicité, confraternité, cordialité, entente, familiarité, fraternisation, fraternité, intimité, sympathie. Contraire : animosité, antipathie, aversion, désaffection, haine, hostilité, inimitié.
Contraire : assuré, audacieux, cynique, décidé, désinvolte, dynamique, effronté, entreprenant, fanfaron, fier, hardi, impertinent, impudent, insolent, intrépide, résolu. – Familier : crâneur.
On peut mourir de rire
L'expression mourir de rire peut aussi se révéler dramatiquement exacte puisque la littérature médicale rapporte des cas de fous rires ayant entrainé la mort par arrêt cardiaque. Se tordre de rire est tout aussi préjudiciable puisque dans ce cas, c'est l'œsophage qui trinque et se tord.
Pour certains ce sont des "expressions dimorphes" de l'émotion. Nous pleurerions quand nous ririons autant parce que le corps essaie de s'autoréguler en réponse à des émotions fortes. Certains indices suggèrent également que la même partie du cerveau contrôle à la fois les pleurs et le rire.
Rassurez-vous, cette réaction est tout à fait normale. Elle est liée aux relâchements des tensions nerveuses et surtout aux hormones.