et ensuite on les combine : dix + sept se dit dix-sept, vingt + neuf se dit vingt-neuf, cinquante + deux, c'est cinquante-deux.
(diz'-sè ; voy. SEPT pour la prononciation) adj.
Mais alors pourquoi ne dit-on pas “sept-dix” mais “dix-sept”"? La réponse est: parce que l'usage l'a voulu ainsi! En fait, parce que dix-sept donnait septemdecim, puis septemdece, puis septze… trop proche de seize.
En latin, onze se disait undecim, mot composé issu de unum (un) et de decem (dix). Douze se disait duodecim, combinant duo (deux) et de decem (dix) ; et ainsi de suite. Comme bien d'autres, ces termes se sont transformés au fil des siècles : undecim est devenu undece, puis untze, puis unze, et enfin onze.
seize : Du latin sedecim « seize », composé de "sex" « six » et "decem" « dix ».
Définition de seize adjectif numéral invariable et nom masculin invariable. cardinal Dix plus six (16).
comment adv. interr. et exclam. Interroge sur la manière ou le moyen (suivi en langue courante de est-ce que).
Plusieurs explications concernent Louis XIV. Selon une première version, le Roi-Soleil ne supportait pas l'idée de quitter la soixantaine pour devenir septuagénaire. Sa mégalomanie lui aurait fait décider que l'on dirait dorénavant soixante-dix et non septante.
Parce que les gaulois comptaient de 20 en 20 (comme de nombreuses autres civilisations, à la différence des romains qui comptaient de X en X), bref utilisaient un système vicésimal (et non pas un système décimal comme les romains), et que la langue française a su conserver cette habitude.
Quatre-vingts (80) provient probablement de l'ancien système vigésimal de numération (4×20) utilisé par les Vascons, premier peuple qui aurait colonisé l'Europe après la dernière glaciation il y a 20 000 ans, depuis l'actuel Pays Basque.
Au Moyen-Age, les gens comptent par paquet de vingt : vingt-dix (30), deux vingt (40), deux vingt-dix (50), trois vingt (60), trois vingt-dix (70), quatre vingt (80), quatre vingt dix (90). L'origine de ce comptage remonterait aux Celtes, qui auraient influencé les Gaulois.
La différence la plus connue entre le français de Belgique et le français de France vient de la façon de dire les nombres 70 et 90: là où les Français disent soixante-dix et quatre-vingt-dix, les Belges disent septante et nonante.
Par le passé, l'aire d'utilisation de huitante était plus étendue. Il était employé dans d'autres régions arpitanes, notamment dans toute la Savoie. En savoyard et en valdôtain, 80 se dit huitanta. Étymologiquement, le terme est une évolution de la forme latine octoginta et une recréation du XVII e siècle.
Pourquoi 7 s'écrit sept ? L'écriture du chiffre 7 vient du mot latin "septum". L'écriture du chiffre 7 maternelle commence par un trait vertical, suivi d'un arc de cercle, puis d'un trait horizontal et enfin d'un autre arc de cercle.
Le nombre 17 (dix-sept) est l'entier naturel qui suit 16 et qui précède 18.
« Sept », adjectif numéral cardinal, est invariable, même lorsqu'il est employé comme nom. C'est le cas ici. On n'écrit donc pas « trois septs de pique », mais « trois sept de pique ».
En Belgique ou au Luxembourg, « 70 » se lit septante et « 90 » se lit nonante. Dans certaines régions de Suisse, se rajoute « 80 » qui se lit huitante.
Ils sont officiels en Belgique et en Suisse (sauf, cependant, octante, qui a été supplanté par quatre-vingts et huitante – en Suisse – tant dans l'usage courant que dans l'enseignement ou les textes administratifs).
OCTOGÉNAIRE : Définition de OCTOGÉNAIRE.
En Belgique comme en France, 80 se dit quatre-vingts ; tandis qu'en Suisse, si tout le monde comprend quatre-vingts, on préfère dans certains cantons la forme concurrente huitante.
Pour la petite histoire, à Malmedy (en Belgique), on peut entendre: soixante, septante, ottante, nonante.
C'est la réponse d'Arnaud sur le système vigésimal qui est la bonne piste : c'est issu de la façon de compter des Gaulois qui comptaient de 20 en 20. C'est à dire que c'était (pour parler en termes mathématiques) un système en base 20. Seul 4 x 20 (quatre-vingt) est resté.
Synonyme : par quel moyen, de quelle façon, de quelle manière.
Parce que le verbe pouvoir, ici à la première personne du singulier (je) peux ne s'accorde pas avec le pronom on. La forme correcte est peut-on.