troadeg (pers.)
Les régionaux : missia-mina ou babbone-mammona (en corse), aitatxi-amatxi (en basque) ou tad-kozh-mamm-gozh (en breton) mais c'est quand même un peu réservé aux initiés…
tad-kozh — Wiktionnaire.
mabig, merc'hig, & dim.
Hollgaret : Chéri(e) Ma ael : Mon ange. Ma kalon : Mon cœur. Ma boudig koant : Ma jolie fée.
OUI YA : ya da (& laouen, 'vat...), loc. EYA (ouais)...
pain en breton. Le dictionnaire français - breton contient 6 traductions de pain , les plus populaires sont : bara, baraenn, labour .
L'indispensable “je t'aime” se dit “da garan”. Et comme on dit en breton, n'eus netra kreñvoh eged ar garantez (rien n'est plus fort que l'amour).
Forme de nom commun. Forme mutée de genoù par adoucissement (g > cʼh). Tais-toi (Ferme la bouche) !
Si Papy, Pépé, Papilou sont les surnoms pour grand-père les plus connus en France, Dada, Abuelo, Papé, Opa ou encore granpapa sont des surnoms qui apportent un vent de nouveauté.
Comment dire bonjour en breton ? « Demat », « mont a ra » ou encore « salud ».
hendad (grand-père) ; T : tad (père) ; M : mab (fils) ; W : wyr (petit-fils) ; B : brawt (frère) ; K : soit nai (neveu), soit nghefnder (cousin) ; C : goroyr (arrière-petit- fils) .
Dans un style plus original, nous pouvons appeler nos grands-parents avec des noms étrangers comme Nonna, Oma, Opa, Nanny, Abuelo, Abuela, Grany, Dada, Papé, Yaya, Mamita, Babouchka. Ces surnoms nous font voyager, ils sont à la fois originaux, créatifs et remplis de tendresse.
EMBRASSER (éteindre) BRIATA var. BRIADal (ub.), usu. POKat (var.
MAOUEZ , en vannetais bih. -IG b. -ed femme (en gal, loc. bonne femme, compagne...
JOLI -E, -MENT KOANT, (fig.) BRAV(IG) /& -K (parf. iron.), anc. jolif (nf.)
SUCRE SUCRÉ : -E SUKRET, souv. DOUS air sucré BEG SUKRET m.
« Amann » est la traduction bretonne du mot « beurre ».
Du breton heol (« soleil »).
Entre 1830 et 1850, parler breton était non seulement interdit, mais aussi puni. Le conférencier a abordé une loi non écrite, laissée à l'appréciation des instituteurs qui a perduré pendant 130 ans en Bretagne. Le climat scolaire était délétère. La carotte, mais surtout, le bâton, était une pratique coercitive.
Ty et Ker en breton
Kêr est tout simplement un lieu où il y a de la vie : une maison, une ferme, un hameau, voire même une ville ! Ti signifie également « maison ».