Trugarez. C'est la façon la plus connue et la plus utilisée par les bretonnants.
Vous l'avez deviné, kenavo ne signifie en aucune façon « bonjour » en breton. C'est même l'inverse ! Kenavo est utilisé pour dire « au revoir » en breton. « Ken » se traduit par « jusqu'à », alors que « a vo » signifie « ce qu'il y ait ».
« Je t'aime » se dit « Da garan » en breton.
Da garout a ran ! Da garan !
Alors comment bien saluer un bretonnant ? En allant souvent à l'essentiel : mont a ra ? / mat ar jeu ? / mat an traoù ? / mat ac'h a ? / penaos emañ ?… autant d'expressions qui correspondent à notre « comment ça va ? » en français.
BONSOIR NOZ VAT (deoc'h...) bonne soirée nozvezh vat (& nozad vat).
"Papa" se dit tadig. C'est le mot affectueux pour "père", ou tad. "Bonne fête des pères" en breton s'écrit gouel laouen tad.
OUI YA : ya da (& laouen, 'vat...), loc. EYA (ouais)...
Étymologie. Du moyen breton mam.
GRAND-MERE GRAND-MÈRE : MAMM-GOZH f. -où-k. (loc. mamm-baour), dim.
EMBRASSER (éteindre) BRIATA var. BRIADal (ub.), usu. POKat (var. BO(U)Kiñ) da, fam.
« Au revoir » en breton se dit « Kenavo ».
MAOUEZ , en vannetais bih. -IG b. -ed femme (en gal, loc. bonne femme, compagne...
À demain : Ken arc'hoazh.
Les traductions de Je m'appelle Enora. en breton, entre autres, sont : Enora eo ma anv.
Si vous savez dire Kenavo, Degemer Mat ou Trugarez, sachez que cela ne fait pas de vous un brittophone pour autant. Car le breton n'est pas un dialecte mais bel et bien une langue dans toute sa diversité. On vous l'accorde, ce n'est pas la plus simple à apprendre.
Dans les années 1950, la Bretagne est ainsi la région où le taux de mortalité par alcoolisme est le plus fort en France. « On fabriquait alors beaucoup d'alcools comme l'eau-de-vie ou le cidre dans la région et toute la production était bue sur place », indique Thierry Fillaut.
3. Azen gornek (Âne cornu)
C'est un lichou : un gourmand. On le dit de vous, si vous ne résistez pas à une petite crêpe ou une part de Kouign Amann.
Du moyen breton hoar, issu du vieux breton guoer , du proto-celtique * swesūr, lui-même de l'indo-européen commun * swésōr (« sœur »).
hendad (grand-père) ; T : tad (père) ; M : mab (fils) ; W : wyr (petit-fils) ; B : brawt (frère) ; K : soit nai (neveu), soit nghefnder (cousin) ; C : goroyr (arrière-petit- fils) .
Mat 'walc'h !
Entre 1830 et 1850, parler breton était non seulement interdit, mais aussi puni. Le conférencier a abordé une loi non écrite, laissée à l'appréciation des instituteurs qui a perduré pendant 130 ans en Bretagne. Le climat scolaire était délétère. La carotte, mais surtout, le bâton, était une pratique coercitive.
une belle (fille) KAERENN f.
En breton le mot Crêpe se dit « Krampouez ».