Faut-il écrire eu ou bien eut avec un t à la fin ? Ou peut-être eue , eus , en faisant un accord ? Toutes ces formes existent et sont bien des conjugaisons du verbe avoir , mais la seule orthographe correcte pour cette formule est il y a eu , sans aucune lettre muette à la fin.
Il faut écrire eut et fut, sans accent quand on peut dire au pluriel : eurent et furent. ex : Quand il eut fini son travail, il partit. ( quand ils eurent fini....) Il faut écrire eût et fût avec accent quand on peut dire au pluriel : eussent ou fussent.
On n'accorde pas « eu », car « les examens » est en réalité COD de l'infinitif « subir » et non du verbe « avoir ». Faux. Il faut écrire : Les comptes rendus que j'ai eu à rédiger ont été un vrai pensum. « Eu » reste invariable, car « les comptes rendus » n'est pas son COD mais celui du verbe « rédiger ».
Eu. Eu est le participe passé du verbe avoir. Dans la mesure où le verbe avoir se conjugue avec l'auxiliaire avoir (!), eu reste en principe invariable, sauf si un COD précède le verbe (vous pouvez relire les règles d'accord du participe passé ici).
L'e dans l'o « œ » est un digramme, c'est-à-dire un groupe de deux lettres employé pour transcrire un phonème (un son). Au contraire, les lettres « oe » qui se suivent transcrivent deux phonèmes distincts. En typographie, on parle de ligature, c'est-à-dire la soudure de deux ou plusieurs lettres en un seul caractère.
– Les difficultés qu'elles ont eu (ou : qu'elles ont eues) à surmonter les ont fait mûrir.
« Chance » est donc bien le COD de avoir, même si l'on dit « J'ai eu DE la chance ». Comme « chance » est placé avant l'auxiliaire, le participe passé s'accorde donc.
Le passé composé est un temps composé : auxiliaire être ou avoir au présent + verbe au participe passé. On l'utilise pour raconter un événement passé, terminé et limité dans le temps.
Donc : quelle idée j'ai eue. Quelle idée que j'ai eu n'est pas correct. Personnes ayant répondu : jean bordes le 17 juin 2020. « Quelle idée » est bien COD, antéposé, et vous devez donc accorder : « eue ».
Et avec le sujet on , le singulier et le pluriel sont théoriquement possibles mais il vaut mieux employer le pluriel car ce pronom on désigne plusieurs personnes. On écrit alors on s'est eus ou on s'est eues au téléphone .
On écrira "a eu lieu", car lieu n'est pas le verbe.
La réponse simple
On écrit toujours « ce fut un plaisir ».
Dans cette expression qui apporte une pointe d'humour à une phrase, il ne faut pas oublier l'accent circonflexe sur le « u » de l'auxiliaire « avoir ». Qui l'eût cru ? Le verbe « croire » est ici au conditionnel passé deuxième forme. Il a exactement les mêmes terminaisons que le plus-que-parfait du subjonctif.
On écrit par exemple la discussion que nous avons eue en accordant au féminin, les échanges que nous avons eus au pluriel, les difficultés que nous avons eues au féminin pluriel. Cet accord se fait lorsque le mot qui désigne ce que nous avons eu est situé avant le verbe.
On écrit "les pommes que j'ai mangées", mais on n'orthographie pas "les heures que j'ai passées". On note plutôt "les heures que j'ai passé" et on rédige aussi "le chat qui a mangé la souris".
Dans ils ont lieu , on trouve l'expression avoir lieu . C'est une expression figée synonyme de se dérouler . Dans cette expression, le verbe avoir peut se conjuguer, et il s'accorde toujours avec son sujet, mais le mot lieu est invariable.
Dans vous avez eu , le mot eu est le participe passé du verbe avoir . Quelques exemples : vous avez eu le temps d'y réfléchir , vous avez eu un retour suite à votre question ? , vous avez eu la gentillesse de m'aider .
Je les ai eus (mes examens).
C'est le verbe "avoir" conjugué à la deuxième personne au subjonctif présent (que tu aies). Exemple : "J'aimerais que tu aies une vie heureuse." Au subjonctif passé, temps peu usité, "aies" devient un auxiliaire (que tu aies eu).
Le son [ɛ] peut s'écrire avec la lettre ê comme dans fenêtre, avec la lettre è comme dans mère, avec les lettres ai comme dans balai ou avec les lettres ei comme dans reine.
Le son [ɛ̃], qui se prononce avec les lèvres un peu plus écartées que le son [œ̃], peut s'écrire : in : écrin, indécis. im devant un m, un b ou un p : immangeable, imbattable, improbable. ain : pain, complainte.
Cette interrogation est au passé simple, le verbe ne prend donc pas d'accent : « fut ». Faux. Il faut écrire : Il ne revient pas souvent nous voir, ne fût-ce qu'en raison de la distance. On pourrait formuler cette phrase déclarative avec « ne serait-ce que », on écrit donc « ne fût-ce que ».