Habituellement, le cancer du côlon évolue silencieusement, parfois des années durant, avant de provoquer le moindre symptôme. Lorsque les symptômes apparaissent, il s'agit essentiellement de douleurs abdominales, d'une modification du transit intestinal et de la présence de sang dans les selles.
Cette dernière présente ainsi des lésions et a tendance à davantage saigner au contact d'aliments. Le sang dans les selles peut être rouge clair ou au contraire rouge très foncé. "La présence de sang dans les selles est un symptôme d'alerte et doit pousser à consulter un médecin, insiste l'experte.
Il y a 3 facteurs de risque nutritionnels identifiés pour le cancer colorectal : la consommation d'alcool, le surpoids et la consommation excessive de viande (rouge) et surtout de charcuteries qui sont des aliments ultra transformés et dont la consommation doit être très limitée.
Pour le cancer du côlon :
Un tiers le sont à un stade avancé Cette répartition varie avec l'âge : les cancers diagnostiqués à un stade précoce sont plus fréquents chez les 40-74 ans (48 %) alors que ceux de stade avancé le sont davantage chez les moins de 40 ans (38 %) et les plus de 74 ans (37 %).
L'importance du dépistage reste primordiale. En effet, plus un cancer est diagnostiqué tôt, plus il a de chance d'être guéri. La prise de sang est l'un des examens qui aident à diagnostiquer un cancer.
Le symptôme le plus généralement répandu est la douleur. Celle-ci peut irradier dans le dos ou à la racine des cuisses et occasionner une simple gêne ou une sensation très violente.
L'ascite se manifeste le plus souvent en présence d'un cancer de l'ovaire, de l'utérus, du col de l'utérus, colorectal, de l'estomac, du pancréas, du sein ou du foie. Un cancer qui se propage au foie peut aussi causer l'ascite.
Détecté à temps, lorsqu'il est encore limité à la surface interne du côlon et du rectum, ce cancer se guérit dans 90% des cas, selon l'INCa. Mais les chances de survie tombent à 70% lorsqu'il a atteint les ganglions proches et à 13% quand il touche déjà d'autres organes.
Il pratiquera un examen clinique, vous demandera un bilan sanguin et les examens d'imagerie en fonction de vos symptômes. Puis, il vous orientera vers un spécialiste selon les résultats. Le diagnostic de certitude de cancer repose sur le prélèvement d'un fragment de la tumeur (biopsie).
De nombreuses raisons peuvent expliquer un gain de poids durant un traitement du cancer. Le gain de poids est souvent lié au type de traitement, aux effets secondaires qu'il entraîne, à des changements des habitudes de vie ou bien au type de cancer.
Dans la première catégorie s'inscrivent ainsi les cancers de l'estomac, du foie, de la vésicule biliaire, du pancréas, des ovaires, de la thyroïde mais également les méningiomes (tumeur au cerveau) et les myélomes (cancer de la moelle épinière).
L'appétit est très fréquemment affecté suite au diagnostic du cancer et à ses traitements. Identifier les raisons permet de trouver des solutions pour conserver une alimentation équilibrée. La maladie et ses traitements peuvent provoquer une diminution voire une perte de l'appétit.
la douleur abdominale est le symptôme le plus fréquent. Elle se manifeste sous forme de spasmes ou de crampes. Souvent localisée au niveau des fosses iliaques droite et gauche ou de la région ombilicale, elle peut être soulagée par l'émission de selles ou de gaz. les ballonnements y sont également souvent associés.
en apprendre davantage ) ou de leur consistance (molles ou grumeleuses et dures), une distension abdominale, la présence de mucus dans les selles et la sensation d'évacuation incomplète après l'exonération.
Les causes
Chaque fois que de l'air est avalée dans l'estomac, celle-ci doit s'évacuer et cela peut entrainer des flatulences. Par exemple, en mangeant ou buvant trop rapidement, en fumant, en mâchant des chewing-gums ou en consommant des boissons gazeuses. Mais la cause principale des flatulences est l'alimentation.
Fréquents aussi bien chez l'homme que chez la femme, les cancers colorectaux sont en partie évitables car des facteurs de risque modifiables ont été identifiés : l'alcool, le surpoids, l'obésité, le tabac, l'alimentation, la sédentarité.
Les examens de radiologie diagnostique et de médecine nucléaire sont particulièrement utiles pour dépister les cancers, déterminer leur stade (c'est-à-dire leur étendue, par exemple la taille des tumeurs et leur éventuelle propagation au-delà du site primaire), et assurer le suivi, la planification thérapeutique, l' ...
Les tumeurs ayant une densité particulière par rapport aux tissus voisins normaux, le scanner sert à les détecter et à les localiser avec une grande précision.
L'échographie est très intéressante dans le cadre du cancer, car non seulement elle n'entraîne aucune douleur, mais en plus elle permet de détecter d'éventuelles tumeurs ou métastases, de les localiser avec précision et d'en évaluer le volume.
La prise de poids au niveau du ventre peut provenir de différents facteurs : une mauvaise alimentation, un manque d'activité physique, l'âge, des facteurs hormonaux comme la ménopause ou l'andropause. En général, les kilos pris au niveau du ventre sont plutôt difficiles à perdre.