Dans l'espace, il n'y a rien du tout, ni atmosphère ni oxygène. Personne ne peut donc y respirer. C'est pourquoi les astronautes qui travaillent à l'extérieur de la Station Spatiale Internationale doivent revêtir un scaphandre dans lequel ils reçoivent de l'air. Sur la Lune, il n'y a pas d'atmosphère.
Selon le plan initial, l'équipage de la Station spatiale devait dormir dans un module d'habitation. Mais les six astronautes qui composent notre équipage dorment à divers endroits dans la Station. Pour dormir, on doit se faufiler dans un sac de couchage accroché au mur, ou au plafond.
Vous ne pouvez pas verser d'eau dans un verre, mais vous pouvez l'aspirer d'un sac à l'aide d'une paille. Et c'est délicieux : après tout, cette eau provient vraisemblablement de transpiration et d'urine des membres de l'équipage.
Contrairement à ce que vous pouvez penser, il y a bien de l'air dans l'espace! Mais cet air est extraordinairement dilué. Ainsi, dans l'air que nous respirons, il y a environ 30 milliards de milliards de molécules d'air (azote + oxygène) par centimètre cube.
L'oxygène et l'azote, qui constituent l'air que nous respirons, ont chacun une masse qui est un peu supérieure à un kilo pour un mètre cube, à pression ordinaire. Comme tout corps qui a une masse, l'air subit l'effet de l'attraction terrestre et reste donc prisonnier de notre planète.
En raison de l'extrême rareté de l'oxygène (environ 1,45%) dans l'atmosphère martienne, les scientifiques ont eu tendance à considérer que la planète rouge n'était pas capable de produire des environnements avec suffisamment d'oxygène pour permettre la respiration aérobie.
En effet, la Lune est souvent considérée comme dépourvue d'atmosphère, car elle n'absorbe pas de quantité mesurable de radiations, elle ne se décompose pas en couches et ne circule pas à la surface de la Lune.
Dans l'espace, il n'y a rien du tout, ni atmosphère ni oxygène. Personne ne peut donc y respirer. C'est pourquoi les astronautes qui travaillent à l'extérieur de la Station Spatiale Internationale doivent revêtir un scaphandre dans lequel ils reçoivent de l'air. Sur la Lune, il n'y a pas d'atmosphère.
Certains satellites sont en orbite géostationnaire (GEO), à environ 36 000 km de la Terre. Ils se déplacent à la même vitesse que cette dernière et se maintiennent donc toujours au même endroit par rapport à un pays donné.
Leurs poumons captent de l'oxygène (appelé plus justement dioxygène) quand il est sous sa forme gazeuse. Mais les humains ne peuvent pas utiliser ce même dioxygène quand il est dissout dans l'eau.
L'entraînement sous l'eau permet de simuler les conditions d'impesanteur sur Terre. Ainsi, les astronautes portent des scaphandres entièrement équipés afin de s'approprier les techniques requises lors d'une sortie extra-véhiculaire.
Le système russe de traitement de l'eau issue de la condensation (SRV-K) récupère la vapeur d'eau contenue dans l'air à bord de la SSI (humidité provenant de la transpiration), mais ne recycle pas l'urine comme. L'ECLSS récupère environ 90 % de l'eau utilisée par les astronautes et la transforme en eau potable.
– l'urine est collectée dans un réservoir, – chauffée dans une chaudière grâce à l'énergie solaire, – puis filtrée par une membrane qui sépare l'eau des nutriments : potassium, azote et phosphore. Le système permet donc d'obtenir de l'eau potable, au goût parfaitement neutre, et un excellent fertilisant.
LE SOMMEIL DES ASTRONAUTES DANS L'ESPACE
Dans l'espace, il n'y a pas de « haut » ou de « bas », mais une microgravité. Cela signifie que les astronautes sont en apesanteur et peuvent dormir dans n'importe quelle position.
Dormir debout!
Mais comme les astronautes ont passé leur vie sur Terre à dormir sur un matelas, leur sac de couchage est doté d'un coussinet rigide à l'arrière, pour exercer une pression sur leur dos.
La Nasa accorde ainsi une échelle de rémunération allant de 5 099 euros et 11 160 euros par mois tandis que le Canada offre un salaire mensuel allant de 5 013 à 9 805 euros.
Les larges distances qui séparent les étoiles et les planètes sont remplis d'énormes quantités de gaz et de poussière diffuses. Même les parties les plus vides de l'espace contiennent au moins quelques centaines d'atomes ou de molécules par mètre cube.
La Fédération aéronautique internationale (FAI), qui catalogue les standards et les données en matière d'astronautique et d'aéronautique, considère également que l'espace débute à 100 km au-dessus du niveau de la mer.
Aujourd'hui, on sait que l'espace est essentiellement constitué de vide. On sait que la lumière est capable de se propager sans matière, et les forces de gravitation qui permettent aux planètes de se déplacer n'ont pas non plus besoin d'un support matériel pour agir à distance.
L'atmosphère protège la vie sur Terre en filtrant le rayonnement solaire ultraviolet, en réchauffant la surface par la rétention de chaleur (effet de serre) et en réduisant partiellement les écarts de température entre le jour et la nuit.
En ce qui concerne la pression, il s'agit de la pression atmosphérique qui est de l'ordre de 1 bar (environ 1 013 hPa). Il est possible d'envisager à ce niveau une discussion sur les conditions autorisant la vie sur Terre avec la relation entre distance au Soleil, température et présence d'eau liquide.
Cette course à l'espace culmine en 1969 avec les premiers humains posant le pied sur la Lune lors de la mission Apollo 11 emportant Neil Armstrong et Buzz Aldrin. Dix autres astronautes de la NASA foulent ensuite le sol lunaire jusqu'à Apollo 17 en 1972.
L'atmosphère de Mars, en majorité composée de dioxyde de carbone (96 %), d'argon (1,93 %) et de diazote (1,89 %), contient des traces de dioxygène, d'eau, et de méthane.
Habituellement dans l'espace, les astronautes mangent des plats lyophilisés. La lyophilisation est un principe de déshydratation d'un produit par le froid. Elle a d'ailleurs été développée par et pour la NASA.