Les modes de transports du futur se veulent être fluides, rapides et non polluants, comme le ET3 : The Evacuated Tube Transport. Ce moyen de transport hybride, que l'on ne verra pas avant 2070, sera silencieux, plus rapide qu'un jet, sécurisé et low cost. Un projet très ressemblant à l'Hyperloop.
Les résultats de son étude ne sont finalement pas si favorables aux solutions respectueuses de l'environnement : 37% des jeunes interrogés vont étudier en véhicule motorisé, tandis que 22% recourent aux transports en commun, 19% optent pour le covoiturage, 16% privilégient la marche et 6% seulement emploient leur vélo.
En ville, priorité aux bus, métros et tramways. Pour les longs déplacements, vous laisserez votre voiture et opterez pour les trains ou les avions. Les déplacements en bateaux seront peut-être privilégiés dans quelques années pour passer d'un continent à l'autre.
En 2100, nous vivrons toujours sur la planète Terre. Nous mangerons des légumes, des fruits et de la viande, un peu de tout ce qu'on mande aujourd'hui : en 2020. Nous nous déplacerons à pied, en bus, en voiture etc... Les voitures pourront voler.
Actuellement, de nouveaux modes de transport terrestres, maritimes et aériens sont en phase de prototypage. Voitures sans chauffeurs ou même volantes, trains à très haute vitesse, taxis totalement autonomes… Les transports de 2050 n'ont pas fini de nous surprendre.
Les villes devront être autonomes en matière d'énergie. Des immeubles pourront être capables de générer de l'électricité grâce à des éoliennes et des panneaux solaires intégrés. Des architectes imaginent même des espaces verts sur les toits comme des jardins ou même des fermes.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
Des modes de transport autonomes d'ici 2030
Annoncé depuis des années par de nombreux constructeurs automobiles (Tesla, Toyota) et d'autres sociétés réputées (Google, Uber), la voiture autonome sera le premier transport de demain, assurément.
Au total, la voiture de demain, construite selon un nouveau modèle, sera à la fois électrique, autonome et connectée. Elle fournira des bénéfices pluriels à l'ensemble de la société : moins de pollution, plus de sécurité, plus de temps libre et de services.
Des véhicules électriques intelligents
Plusieurs expérimentations sont actuellement menées à Nantes, à Vincennes, à Lyon avec de petites navettes électriques sans conducteur. Limitant la pollution en ville, connectées et autonomes, elles pourraient révolutionner les transports en commun de demain.
Selon les données de l'ADEME, le train est le mode de locomotion le plus écolo et moyen de transport le moins polluant! En effet, le TGV équivaut à environ 14 g de CO2 par kilomètre. Il a notamment une faible consommation d'énergie, permet d'éviter le stress des embouteillages et la fatigue lors d'un long voyage.
Les Français se déplacent aussi à pied, à vélo, en deux-roues motorisés ou en transport en commun. Pour les trajets longs, on utilise les véhicules privés, l'avion, le train ou les cars. Pour les trajets courts, on utilise le vélo, le bus de ville, la marche à pied.
Chaque jour, nous nous déplaçons pour aller à l'école, aller travailler, faire les courses ou encore pour nos loisirs. La voiture est le moyen de transport le plus utilisé en France. Les déplacements pendulaires*, surtout dans les grandes villes, provoquent un engorgement des routes.
En France, la voiture reste le mode de transport le plus utilisé au quotidien.
De quoi chatouiller le nez effilé du TGV M, ou « TGV du futur », qui sera mis en service en 2024 par la SNCF et devrait rouler à 320 km/h en vitesse de pointe (soit la même qu'aujourd'hui). Pour ce projet, les ingénieurs de la compagnie ferroviaire privilégient les économies en énergie à la vitesse proprement dite.
En outre, selon le rapport publié récemment par l'organisation EPM, 96% des nouveaux véhicules dans le monde seront dotés d'une connectivité intégrée, soit une multiplication par deux en 10 ans. La voiture de 2030 permettra la multiplication des interactions entre l'écosystème digital du véhicule et le vôtre.
En 2100 nous vivrons tous heureux parce qu'il n'y aura plus de maladies. En 2100, nous ne mangerons que des bonnes choses : burger, frites, glaces, gâteaux. Nous nous déplacerons avec des voitures volantes. A l'école, nous aurons tous des ordinateurs pour travailler.
D'ici 30 ans, nous subirons une hausse des températures sans précédent. Le réchauffement climatique aura de nombreuses conséquences, qu'on peut déjà voir aujourd'hui. L'année 2019, par exemple, a comptabilisé 10 mois ininterrompus de températures au-dessus des normales avec des records de chaleur.
Surpopulation ou extinction : en 2030, nous serons 8,5 milliards sur Terre.
Les moyens de transport peuvent inclure les véhicules à propulsion humaine, l'automobile, la moto, le scooter, le bus, le métro, le tramway, le train, le camion, la marche à pied, l'ascenseur, l'hélicoptère, le bateau ou l'avion.
Le vélo est incontestablement le moyen de transport avec le meilleur ratio rapidité/impact écologique en ville. Vous pouvez parcourir 15 km/h en moyenne, contre 14 km/h en voiture. Et puis vous évitez les joies des embouteillages matinaux, des créneaux arrière en double file au doux rythme des klaxons.