Cliquez droit sur le SSD puis sur « Propriétés ». Allez dans l'onglet « Outils » et cliquez sur « Optimiser ». Dans la colonne « État actuel », vérifiez si le Trim est activé. Si non, vous devez cliquer sur le bouton « Optimiser ».
Il ne faut pas défragmenter un SSD, ça n'a (dans le meilleur des cas) aucun effet. Si vous utilisez un OS récent, c'est automatiquement désactivé. Profitez-en toutefois pour faire activement le ménage dessus, en ouvrant l'Explorateur (Win+E) puis en cliquant sur la section Ce PC.
Vous écrivez des données que vous possédez déjà, qui usent les capacités de réécriture limitée de la NAND, sans en tirer aucun avantage. Ne défragmentez pas votre SSD, car cette opération n'aura aucun effet sur les performances, mais elle réalisera tout de même des cycles d'écriture pour rien.
Le choix peut sembler cornélien entre le SSD et le disque dur. D'abord, le principal bémol d'un SSD est sa durée de vie qui est moindre comparée à un HDD. Les cellules qui stockent les données ont un nombre limité d'écriture, ce qui les rend inutilisables au bout d'un certain temps.
Sur des mémoires 50 nm, les SLC supportent environ 100 000 cycles écriture/effacement. La MLC a une durée de vie entre 3000 et 10 000 cycles par cellule. La TLC est la technologie ayant la plus faible durée de vie avec environ 1 000 cycles d'écriture par cellules.
C'est dont la raison pour laquelle pour un usage domestique, achetez un disque SSD de petite taille est conseillé. Entre 200Go et 500Go pour des usages à la maison. Mais pour une entreprise qui doit traiter des quantités importantes d'informations, il est préférable d'envisager des disques de 2 à 10To.
256 Go est une bonne taille de stockage pour un ordinateur utilisé quotidiennement. Sur 256 Go, il est possible de stocker environ 50 000 photos de smartphone, 60 000 chansons, 30 films en HD ou 15 films en Blu-ray.
Comment savoir si votre disque dur est mort, corrompu ou cassé ? Les symptômes courants suivants peuvent indiquer une défaillance du SSD: Impossibilité de lire ou d'écrire des fichiers sur le disque. L'ordinateur fonctionne trop lentement.
Les SSD constituent un meilleur choix pour l'analyse des données ou les charges de travail liées aux jeux. En revanche, un disque dur (HDD) est un meilleur choix si vous devez faire face à des sauvegardes de données, à des archives de données ou à des charges de travail au débit intensif.
Pour conserver ses meilleures performances, un SSD interne ne doit pas être totalement plein car le contrôleur doit disposer de suffisamment d'espace libre pour enregistrer au mieux les données. Au-delà d'environ 60 % d'occupation, les performances vont commencer à diminuer.
Les SSD stockent les données avec une technologie plus récente que les disques durs. Tout comme les clés USB, mais beaucoup plus rapides, les SSD utilisent de la mémoire flash pour stocker les données, qui sont accessibles numériquement.
Si votre SSD est plein sans raison, cela signifie généralement que la partition système (généralement la partition C) est pleine, et alors vous pouvez étendre la partition C dans Gestion des disques pour résoudre le problème.
L'analyse du disque est très rapide. Si ce pourcentage est supérieur à 10 %, il est conseillé de défragmenter. Cliquez alors sur « Défragmenter le disque ».
Un SSD NVMe travaillera à une vitesse bien plus importante qu'un disque dur classique, et sera également plus rapide qu'un SSD SCSI ou AHCI.
Cliquez sur le menu Démarrer ou sur le bouton Windows. Sélectionnez le Panneau de contrôle, puis Système et sécurité Sous Outils d'administration, cliquez sur Défragmenter votre disque dur.
En effet, du fait de son fonctionnement à base de mémoire flash, le SSD est un support de stockage plus rapide, plus compact, plus solide et moins énergivore que le disque dur mécanique classique (aussi appelé HDD).
Notez alors le Pourcentage de durée de vie. Multipliez ce nombre par le nombre d'heures d'utilisation du SSD : 766 x 98 = 75 068 heures ce qui correspond à 8,5 années non stop. Cette valeur est pour une utilisation 7 jours sur 7, 24h sur 24 du SSD. Il convient donc d'affiner avec l'utilisation réelle du SSD.
Plus vos exigences sont élevées, plus il faudra vous diriger vers un SSD véloce. À ce titre, les connexions SATA tournent en moyenne entre 450 et 600 Mo/s, tandis que les SSD PCIe grimpent entre 600 et 1 700 Mo/s en écriture, et entre 1 400 et 2 500 Mo/s en lecture.
Pour donner un coup de jeune à notre PC, nous avons utilisé un SSD de 240 Go et de la mémoire vive (RAM). Nous recommandons le Crucial BX500 qui a la particularité d'être proposé à un prix très attractif. Pour la RAM, nous avons opté pour Crucial avec une barrette de 4 Go en DDR3 1 600 MHz.
512 Go seront idéaux pour une utilisation professionnelle et personnelle pour pouvoir stocker un maximum de fichiers, de photos, vidéos, etc. Et enfin, les 1 To de capacité de stockage s'adressent, en gros, aux plus geeks d'entre vous qui nécessitent de pouvoir absolument tout stocker dans leur smartphone.
un disque dur de 250 Go peut contenir 50 000 photos, 60 000 chansons, 30 films en HD ou 15 films en Blu-ray ; un disque dur d'1 To peut recevoir 200 000 photos, 250 000 chansons, 120 films en HD ou 60 films en Blu-ray.
La RAM est nettement plus rapide que le plus performant des SSD. Par conséquent, disposer d'une plus grande capacité de RAM pour exécuter des applications et traiter des données à proximité du processeur améliore l'efficacité et la rapidité de l'ordinateur.
Plusieurs sous-familles de mémoire flash NAND (non volatile) sont utilisées au sein des SSD. La SLC (Single layer cell) enregistre un bit par cellule. Les SSD à base de SLC sont les plus rapides et les plus fiables, avec un nombre de cycles d'écriture qui peut approcher les 100 000.