La première chose à faire lorsque vous avez affaire à un voisin agressif est de rester calme et respectueux. Évitez de réagir de manière agressive, car cela ne fera qu'empirer la situation. Si votre voisin est en colère, essayez de lui parler calmement et d'essayer de trouver une solution ensemble.
Déposer une main courante en cas d'agressivité
Par exemple : "mon voisin ne m'écoute pas", "mon voisin a tous les droits", "mon voisin est bruyant"... Il arrive que certaines situations soient débloquées par les médiateurs et qu'une solution soit trouvée lorsque le conflit repose sur une nuisance.
Il convient de se rendre au poste de police / de gendarmerie le plus proche afin de déposer une plainte contre le(la) voisin(e) indélicat(e). La plainte sera transmise au procureur de la République pour examen. En aucun cas ce dépôt de plainte ne peut être refusé.
La première chose à faire lors d'un différend entre voisins est de rester courtois et d'éviter un ton de reproche. La communication est très importante. Expliquer le problème rencontré calmement, étayé par des arguments et des exemples précis, semblent être la meilleure des stratégies.
"Le premier réflexe doit être de déposer une main courante ou une plainte au commissariat de police", explique Martin Salé-Moniaux, avocat au barreau de Paris. Une fois convoqué par la police, il se peut que ce voisin fasse profil bas et n'importune plus les habitants qui l'entourent.
Toutefois, on peut dire qu'« une personne toxique est une personne qui est, elle-même, dépendante, qui a besoin de se sentir importante face à une personne vulnérable. Très égocentrée, elle ne reconnaît pas qu'elle fait du mal à l'autre », explique la psychanalyste.
Donnez-vous des limites et défendez-les.
Les personnes “trop gentilles” sont souvent la cible des personnes toxiques, car elles ne savent pas poser de limites aux autres. Il faut donc savoir poser les limites en s'affirmant avec force et fermeté, et de préférence AVANT que la limite soit atteinte.
Vous pouvez opter pour une solution assez radicale comme la construction d'un muret, l'installation d'un claustra ou d'une séparation rigide en panneaux de bois. Mais vous pouvez aussi préférer des cloisons amovibles comme un brise-vue, un paravent ou encore un voilage.
Dans le cas où vous devez déposer une plainte, il est important de présenter des preuves : témoignages des autres voisins, courriers envoyés par le harceleur, photos et constat d'huissier en cas de dégradations, etc.
Si l'affaiblissement acoustique des bruits aériens est globalement acceptable, celui des bruits de chocs est lui exécrable. On attend absolument tous les bruits du quotidiens des voisins: bruits de pas, de vaisselles, de portes, de portes de placards, de chaises, tables tirées sur le sol,...
Pour entretenir des relations de bon voisinage, posez des questions à vos voisins mais sans que cela vire à l'interrogatoire et prenez le temps d'écouter leurs réponses avant de poser une autre question. Ainsi, vous laissez de l'espace pour la conversation.
En matière de conflit de voisinage, l'action doit être engagée devant le tribunal judiciaire.
Pour désamorcer une situation conflictuelle avec une personne agressive, utilisez votre capacité d'écoute afin d'initier un dialogue, au-delà des émotions exprimées par l'autre. Cela nécessite une bonne dose d'empathie pour avoir la réaction adéquate sur le moment, sans se laisser envahir par ses propres émotions.
Parlez-en avec eux pour trouver une solution ensemble. Si les problèmes persistent, vous pouvez leur rappeler les règles de bon voisinage par courrier et faire constater l'atteinte à la tranquillité par la mairie, le commissariat ou par un conciliateur de justice.
Proposez à votre voisin de faire appel à un médiateur afin de trouver une solution à l'amiable. Il s'agit de la dernière étape avant d'intenter une action en justice. Envoyez une lettre simple au greffe du tribunal compétent. Ce dernier vous convoquera tous les deux pour trouver un accord.
On pourrait résumer le principe des relations de voisinage par l'idée que « la liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres ». Le proverbe repose sur le respect de la double norme propre à toute bonne relation de voisinage: la reconnaissance de l'autre et la préservation de soi et de son espace.
Le voisinage comme contexte
En outre, le fait d'être partie prenante dans la communauté locale favorise le respect de soi et permet aux gens de se sentir mieux. » Le voisinage comme milieu social peut donc avoir un effet indépendant sur les chances de vie, et cela de diverses manières.
Le plus efficace est de mettre fin aux conversations avec une douceur écœurante ou simplement avec brutalité. Le message est clair : il n'en tirerar aucun plaisir et aucun jeu ne sera joué de votre côté. Les personnes vraiment toxiques pollueront tout le monde autour d'eux, y compris vous si vous les autorisez.
Comportement autoritaire avec votre conjoint/e, excès d'exigence avec vos proches, forte paranoïa, refus d'écouter les autres : sans vous rendre compte, vous avez peut-être développé une personnalité tyrannique.