Pour aller plus vite en vélo, tu peux essayer d'être plus aérodynamique. Tu peux y arriver en réduisant la résistance de l'air ou la traînée. Par exemple, place la partie supérieure de ton corps plus bas, près de ta bicyclette. Comme ça, tu auras moins de particules d'air à repousser au fur et à mesure que tu avances.
Les pneus sont le seul élément du vélo en contact avec le sol et est aussi celui qui le ralentit, à part les freins. Si vous voulez gagner quelques km/h supplémentaires, augmentez légèrement la pression de vos pneus. Vous perdrez de la traction et de l'adhérence, mais en revanche, vous gagnerez en fluidité de pédalage.
Commencez chaque poussée de puissance en tournant à une cadence et une vitesse très basses. Passez à la vitesse supérieure (par exemple, 50 x 11) et, en position assise, pédalez aussi fort que possible jusqu'à ce que vous atteigniez 80 tr/min. Cela devrait prendre environ 15 secondes.
Veillez à ce que l'alignement de votre hanche, de votre genou et votre cheville durant la rotation reste toujours droit pour un maximum d'efficacité, plus de confort et moins de fatigue, La petite bosse située sous votre métatarse devra se placer au-dessus de l'axe de la pédale.
Pas trop forte, ni trop faible. Pour vérifier si elle est adéquate, il suffit d'une pression du pouce sur le pneu. Si le pouce s'enfonce de plus d'1 centimètre, c'est que le pneu n'est pas assez gonflé et qu'il vous faut une pompe à vélo.
Un autre outil de comparaison : pendant le Tour de France, les cyclistes produisent en moyenne entre 220 et 320 watts par étape (soit pendant trois à cinq heures). Un cycliste amateur peut difficilement tenir plus d'une heure à cette puissance.
L'importance de la position pour gagner des watts
Celle-ci est exponentielle à mesure que le cycliste roule vite. On estime qu'elle est multipliée par 8 à chaque fois que le cycliste double sa vitesse. Elle est donc 8 fois plus importante à 40 km/h qu'à 20 km/h.
Un 39×24 est un petit braquet, pour passer des côtes assis en tournant les jambes par exemple … Plus le braquet est grand, plus la distance parcourue en un tour de pédalier est importante. Ainsi un plateau de 53 et un pignon de 11 dents permet en un tour de pédalier de faire 10m10.
En général, les experts recommandent de faire comme les pros, soit pédaler à environ 90-100 révolutions par minute (rpm) sur le plat, à 95-105 rpm quand les conditions sont rapides (faux plat descendant, vent de dos) et à 75-85 rpm dans les montées.
ÉVITER LA FATIGUE À VÉLO
Adoptez une fréquence de pédalage de 60 tours par minute, en utilisant des braquets souples pour conserver cette vitesse de jambes. Cette cadence exige un effort modéré tout en vous assurant une bonne vitesse de croisière.
Pour aller plus vite en vélo, tu peux essayer d'être plus aérodynamique. Tu peux y arriver en réduisant la résistance de l'air ou la traînée. Par exemple, place la partie supérieure de ton corps plus bas, près de ta bicyclette. Comme ça, tu auras moins de particules d'air à repousser au fur et à mesure que tu avances.
On peut même pousser le bouchon plus loin en roulant avec un vélo plongeant et une tenue de contre-la-montre, pour améliorer encore la vitesse, et toujours à dépense d'énergie équivalente. La position sur la machine est aussi prépondérante, entre une posture relevée et celle mains en bas.
Sur une heure :
entre 5,7 et 6,4 W/kg : professionnel de très haut niveau. entre 4,7 et 5,3 W/kg : amateur de très bon niveau. entre 3,5 et 4,1 W/kg : amateur moyen. entre 2,4 et 3,1 W/kg : cycliste occasionnel.
Un adulte en bonne santé physique peut couramment produire de 50 à 150 watts pour une heure d'exercice vigoureux. En un quart de travail de 8 heures, un ouvrier moyen, en bonne santé, bien nourri et motivé peut maintenir une puissance d'environ 75 watts.
La première règle pour prendre du muscle et améliorer sa puissance physique est d'augmenter progressivement les charges. Long terme et patience sont vos meilleurs alliés ! Et la surcharge progressive est à la base même de la musculation.
Par exemple, le poids idéal de Lorentz s'établit à 68 kg pour 1,74 mètres ; les cyclistes de haut niveau qui font cette taille pèsent 3 à 5 kg de moins.
Pour un cycliste de 70 kg, avec un vélo de 8 kg et un équipement de 1,5 kg (chaussures, casque, vêtements, lunettes), une perte de 1 kg ne fait économiser que 1,26 % du poids total. Dans une pente de 8 % à 15 km/h, 1 kg de moins représente une économie approximative de 4,5 watts, soit un gain de 40 secondes pour 15 km.
La vitesse moyenne à vélo chez les professionnels se situe généralement dans une fourchette comprise entre 40 et 45 km/h. Sur des distances qui dépassent régulièrement les 200 kilomètres. L'effet «peloton» explique pour partie ces moyennes stratosphériques.
Tous les véhicules qui peuvent dépasser le 25 km/h doivent avoir une carte grise et une plaque d'immatriculation comme le précise l'Article R317-8 du Code de la Route. Pour obtenir cette carte grise, le certificat de conformité est souvent demandé. Il faudra alors mettre une plaque d'immatriculation sur les EDPM.
Entre 45 et 80 km par jour : c'est ce que l'on considère comme une journée normale en voyage. Globalement, c'est le rythme que l'on va avoir sur une piste roulante ou sur route avec un dénivelé correct (en dessous de 600m). Avec une certaine flexibilité selon la météo par exemple.