- Les fruits et les légumes. - Les aliments riches en oméga 3 : les œufs, les poissons gras ou encore l'huile de colza permettent de réduire la sévérité des symptômes et le risque d'endométriose.
La chirurgie est le seul traitement qui permet d'éliminer complètement les lésions de l'endométriose. Pratiquée lorsque l'endométriose est sévère, la chirurgie peut permettre aux symptômes de disparaître pendant de nombreuses années.
L'endométriose peut entraîner des ballonnements et une difficulté à évacuer les gaz qui peut donner le ventre gonflé. C'est un symptôme que l'on retrouve fréquemment en cas d'endométriose avec atteinte digestive. Le fait d'avoir le ventre gonflé peut également venir de la constipation.
Yoga et endométriose, le duo idéal
Et pour cause : le yoga permet d'améliorer sa souplesse, de renforcer et d'étirer ses muscles, mais aussi d'apprivoiser un peu mieux son stress. Et quand on sait que stress et inflammation sont liés, et que l'endométriose est une maladie inflammatoire… Et bien ça fait plutôt sens !
De plus, du côté de l'inflammation, il faut savoir que cette dernière vient modifier différents mécanismes du corps notamment au niveau insuline-glucose. Cela induit ainsi une modulation de l'appétit et de manière indirecte conduit à une prise de poids.
L'endométriose diminue et disparaît généralement après la ménopause, mais doit tout de même être surveillée surtout quand des traitements hormonaux de substitution sont mis en place. Il existe de rares cas de récidive à la ménopause. Il n'existe pas « une » mais « des » endométrioses.
L'endométriose et les douleurs chroniques
Avant d'atteindre une situation extrême, vous pouvez également envisager par vous -même des thérapeutiques complémentaires au suivi médical, comme l'auto-hypnose, la sophrologie, l'acupuncture, le yoga, les cures thermales.
Beaucoup de personnes pratiquent également la sophrologie, l'hypnose, la kinésithérapie viscérale notamment, l'alimentation anti-inflammatoire, la phytothérapie, la micro-nutrition …. et constatent des bienfaits sur leur quotidien, tant au niveau physique que moral.
La posture finale du Shavasana est aussi un beau moment pour retrouver un état méditatif. Pratiquer régulièrement le yoga entraîne une réduction du stress et de l'anxiété face à la vie en général, mais aussi face à la douleur et à la maladie.
Elles peuvent être aggravées par les rapports sexuels, la défécation ou le fait d'uriner. Elles ne sont pas proportionnelles à la sévérité de l'endométriose : un seul fragment d'endomètre mal placé peut engendrer des douleurs plus intenses que plusieurs fragments.
Le traitement d'une endométriose digestive repose sur un traitement hormonal (pilule en continu ou ménopause artificielle) pour bloquer les règles et ainsi prévenir l'évolution de la maladie, parfois une chirurgie, pour soulager les douleurs et/ou favoriser la fertilité.
Revenons-en à notre sujet : l'endo belly, c'est quoi ? C'est cette sensation de ballonnement, de ventre dur, gonflé et très inconfortable, voire douloureux, que connaissent les femmes atteintes d'endométriose.
L'endobelly est un des symptômes les plus répandus de l'endométriose. Ce phénomène de ventre qui gonfle comme celui d'une femme enceinte provoque douleurs, gêne, difficultés à se mouvoir, fatigue et aérophagie.
Bien souvent, les femmes atteintes d'endométriose souffrent de fatigue chronique. On pourrait expliquer cela simplement : pour gérer une douleur forte, régulière ou constante, invalidante, la femme puise dans ses « réserves ».
L'endométriose n'est pas encore reconnue au plan institutionnel, mais il existe déjà des droits pour les personnes malades et/ou handicapées auxquels les malades peuvent prétendre.
Le symptôme le plus courant de l'endométriose (retrouvé chez 50 à 91% des femmes selon les études) est la douleur, règles douloureuses (dysménorrhée), douleurs pendant les rapports sexuels (dyspareunie), douleurs pelviennes fréquentes, défécation douloureuse, difficulté pour uriner (dysurie), abdominales (ombilicales … ...
"Une douleur au niveau du milieu du dos pendant les règles peut être un signe de souffrance rénale. En effet, dans des cas extrêmes, une endométriose qui s'est étendue peut toucher les uretères (tuyaux qui amènent l'urine du rein vers la vessie) et empêcher l'urine d'aller dans la vessie.
L'endométriose est une maladie inflammatoire chronique, elle persiste jusqu'à la ménopause, parfois au-delà.
Les approches les plus fréquentes sont : La stimulation de l'ovulation ou stimulation ovarienne, pour les endométrioses minimes à légères. L'insémination artificielle. La Fécondation In Vitro (FIV) classique ou avec micro injection de spermatozoïdes directement dans l'ovocyte (ICSI), pour les endométrioses profondes.
La contraception hormonale combinée
Les contraceptifs hormonaux combinés (comme la pilule, le timbre ou l'anneau) constituent un des traitements de l'endométriose les plus utilisés. Ces contraceptifs combinent l'œstrogène et la progestine. Ce traitement réduit les douleurs causées par l'endométriose.
Au long cours, les médecins préfèrent prescrire une pilule contraceptive oestroprogestative. «La simple pilule classique de 2ème génération avec des œstrogènes et des progestatifs a une efficacité remarquable sur les douleurs de la maladie si on la prend en continu», souligne le gynécologue.
Les organes le plus souvent touchés en cas d'endométriose profonde sont : les ovaires. les ligaments utérosacrés. le rectum.