Peut-on vraiment être allergique à l'iode ? L'allergie à l'iode n'existe pas. Il s'agit en fait d'un abus de langage, fréquemment employé pour désigner des allergies bien réelles, comme l'allergie aux fruits de mer, aux produits de contraste iodés ou aux antiseptiques iodés.
Ca n'existe pas. Contrairement à une idée reçue, l'allergie à l'iode n'existe pas.
La réaction allergique peut se manifester par différents symptômes (rhinite, crise d'asthme, éruption…) et peut être grave notamment en cas de choc anaphylactique (manifestation d'hypersensibilité immédiate) avec un risque potentiellement vital, nécessitant une prise en charge en urgence.
Les réactions sont de type urticaire, angioedème, bronchospasme, hypotension ou choc anaphylactique. Les réactions sévères, rares, surviennent quelques minutes après l'injection et nécessitent de la part des équipes d'imagerie un diagnostic et une prise en charge rapides.
Un intervalle de 3 jours minimum doit, si possible, être respecté entre deux examens avec un produit de contraste à base d'iode. Boire beaucoup d'eau avant et après l'examen (durant 2 jours) permettra à vos reins d'éliminer plus rapidement les produits injectés.
UTILISATION DES PRODUITS DE CONTRASTE EN IMAGERIE MEDICALE
Il sera pratiqué avec votre consentement. Vous avez en effet la liberté de l'accepter ou de le refuser. Pour réaliser cet examen le radiologue peut être amené à utiliser un produit de contraste.
Utiliser un pré-traitement à base de cortisone et d'anti-histaminique : ce prétraitement est efficace pour prévenir la majorité des réactions, mais il est moins efficace pour prévenir la récidive de réactions très sévères.
Buvez beaucoup de liquides. Cela vous aidera à éliminer l'iode radioactif plus rapidement. Urinez aussi souvent que possible. Les hommes devraient s'asseoir pour uriner.
Ces produits ont été associés à une multiplication par deux du risque d'hyperthyroïdie, définie de façon large par un dosage de la thyrotropine au-dessus des valeurs normales de référence du test.
Quelles sont les principales sources alimentaires d'apport en iode ? Les principales sources alimentaires d'iode sont les algues, le sel iodé, les poissons marins, les mollusques et les crustacés, ainsi que le jaune d'œuf et le lait en fonction de l'alimentation des animaux.
Les allergènes à l'origine de chocs anaphylactiques les plus fréquents sont des aliments, les venins d'hyménoptères, des médicaments et le latex. Les aliments (ou trophallergènes) sont les premiers responsables de l'anaphylaxie (60% des cas). Toute protéine alimentaire est un allergène potentiel.
Au scanner, il s'agit de produit de contraste iodé. L'injection intraveineuse de produit de contraste iodé est soumise à des précautions en cas : d'insuffisance rénale sévère. d'antécédent de réaction allergique sévère au produit de contraste iodé
Des examens d'imagerie, comme une échographie ou une scintigraphie thyroïdienne, peuvent être effectués pour mesurer la glande thyroïde et évaluer toute anomalie.
nausées pendant quelques secondes voire, plus rarement, vomissements ; formation d'un petit hématome dû à la piqûre intraveineuse (sans gravité, il se résorbe spontanément en quelques jours) ; fuite du produit sous la peau, au niveau de la veine, sous l'effet de la pression liée à l'injection.
– La piqûre peut provoquer la formation d'un petit hématome sans gravité, qui se résorbera spontanément en quelques jours. – Lors de l'injection, sous l'effet de la pression, il peut se produire une fuite du produit sous la peau, au niveau de la veine.
– Mélasse et cassonade. – Soya et ses dérivés : graines de soya, protéines de soya, farine de soya, tofu.
Le sel marin ne contient presque pas d'iode, contrairement à l'eau de mer dont il est tiré. La raison en est simple: l'iode s'évapore à la fabrication.
Hypothyroïdie, aliments interdits :
Soit, entre autres, les légumes crucifères (chou, choux de Bruxelles, chou-fleur, brocolis, radis, navets, raifort…), la patate douce, le manioc, les pousses de bambou, le soja et produits dérivés.
La sensation et/ou douleur liées à l'injection d'un produit de contraste par voie veineuse est similaire à celle d'une piqûre lors d'une prise de sang. Le fait de ressentir une sensation de chaleur au moment de l'injection du produit de contraste (notamment pour les PCI) est tout à fait normal.
En dehors des médicaments anti-diabétiques signalés ci dessus avant les examens comportant une injection (UIV, scanners, IRM..), et de certains anti-coagulants (aspirine, Kardégic, Plavix, Préviscan...)
Elle peut être plus sévère et nécessiter un traitement. Une altération de la fonction rénale ; c'est pourquoi on vous demande de faire un bilan sanguin pour évaluer le bon fonctionnement de vos reins avant le scanner (dosage de créatinémie et clairance de créatinine), et de bien vous boire avant et après.
Le scanner, un examen plébiscité pour sa rapidité
D'ailleurs l'Institut national du cancer précise que « les doses de rayons utilisées sont faibles pendant l'examen et n'entraînent donc pas d'effets indésirables sur votre santé ».
Le plus souvent, le scanner ne nécessite pas de préparation spécifique. Le médecin prescrit parfois un produit de contraste à base d'iode qui doit être injecté dans une veine pour mieux visualiser certaines structures anatomiques ou lésions.
N'hésitez pas à bien vous hydrater (1 à 1,5 L après l'examen). Boire de l'eau à composante salée et bicarbonatée reste la meilleure solution éliminer le produit de contraste.