On dit aussi : « Il s'agit d'une vidéo. » et pas : « Elle s'agit d'une vidéo. » On dit toujours « il s'agit », que la chose décrite soit masculin ou féminin : « Il s'agit d'une vidéo. »
Oui, le verbe s'écrit ici en deux parties : il s'agit , avec une apostrophe. Quelques exemples : il s'agit d'une erreur , il s'agit d'un oubli , il s'agit de Monsieur Ravenel , il s'agit bien de cela .
Il s'agit de (+ nom, pronom ou infinitif) = il est question de. La tournure impersonnelle il s'agit est toujours accompagnée d'un complément introduit par de : il s'agit d'une bonne surprise ; de quoi s'agit-il ? ; « Tant qu'il ne s'était agi que de science » (J.
Le subjonctif « qu'il s'agisse » permet d'énumérer des hypothèses. Il reste au singulier : Qu'il s'agisse d'un adverbe, d'une conjonction ou d'une interjection ne change au rien au fait que ce mot est invariable. Je ne recevrai personne, qu'il s'agisse du président, du pape ou de Dieu lui-même !
1.1) S'AGIR est un verbe pronominal
Ça veut dire qu'il est toujours précédé d'un pronom réfléchi. Ici, ce sera toujours S'.
Il se dit souvent par opposition aux Paroles, aux discours, etc., et signifie Procéder à l'exécution de quelque chose. C'est trop délibérer, il faut agir, agissons, il est temps d'agir, etc. Il sait mieux agir que parler. Il signifie aussi Opérer, produire quelque effet, faire quelque impression.
De manière générale, le subjonctif présent se forme sur le radical de l'indicatif présent auquel il faut ajouter les terminaisons suivantes : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent. Par exemple, pour le verbe aimer : que j'aime, que tu aimes, qu'il/elle/on aime, que nous aimions, que vous aimiez, qu'ils/elles/eux aiment.
On écrit les leurs si la personne ou la chose dont on parle est au pluriel : « Je préfère tes plates-bandes, les leurs sont trop désordonnées ». On peut remplacer le leur par le sien, la leur par la sienne et les leurs par les siens ou les siennes.
Il y a cependant une exception: pour faciliter la prononciation, on ajoute un «s» quand ces formes sont suivies des pronoms adverbiaux «en» et «y». On les lie alors par un trait d'union au verbe. Exemples: «Vas-y», «manges-en».
L'impératif présent se conjugue à trois personnes (tu, nous, vous) et sans pronom précédant le verbe. Au présent, à la 2e personne du singulier, les verbes du 1er groupe se terminent sans s, sauf lorsqu'ils sont suivis de “y” ou “en” : mange ! Manges-en un peu !
agissant, -ante, adj.
Avec l'impératif, il faut prendre garde aux verbes qui sont suivis des pronoms « en » ou « y » : là, l'ajout d'un « s » se justifie, joint au pronom qui le suit par un trait d'union. Ainsi, « pense à le prévenir » devient « penses-y », ou encore « va dans ta chambre » devient « vas-y ».
On met un trait d'union quand le nom vient juste après le démonstratif (ce, cette, ces…) et juste avant le mot là. "Cette femme-là, ces gens-là, ce mois-là"… Mais le trait d'union disparaît quand s'intercale un autre mot, comme ici "ce mois d'octobre là". Un mot de plus, et hop, le trait d'union disparaît !
La virgule permet de séparer des groupes de mots, des pronoms, des subordonnées ou des phrases, qui sont coordonnés. En effet, on place généralement une virgule avant les coordonnants mais, car, or, puis, c'est-à-dire, autrement dit, soit, voire, à savoir, etc.
Avec le temps, les voyelles se sont amüies et il n'est plus resté que /mur/ et /murs/. Malgré qu'il ne soit plus prononcé, le /s/ du pluriel a été gardé afin de distinguer à l'écrit singulier et pluriel.
On utilise la marque 's pour exprimer une relation de possession entre deux choses. Elle s'utilise majoritairement lorsque le possesseur est un être animé (personne, groupe de personnes, animaux) ou un pays.
Au fil des siècles, on a rajouté un -s à l'impératif de tous les verbes, même des verbes en -er, par analogie avec la 2e personne du singulier de l'indicatif présent, puisque ces formes se prononcent de la même façon et que le -s est perçu comme la marque de cette personne.
Il existe quatre temps du subjonctif : présent, passé, imparfait et plus-que-parfait.
Le subjonctif s'emploie dans la subordonnée si le verbe de la principale exprime le doute, l'improbabilité, la volonté, le désir, la défense, la nécessité, la possibilité, l'impossibilité ou un sentiment. Je doute que vous arriviez à temps. Il est peu probable que je puisse y aller.
Par exemple, pour le verbe boire, au présent de l'indicatif, on a NOUS BUVONS. c) Finalement, tu mets les terminaisons qui sont : e, es, e, ions, iez, ent. Donc, on dira : Il faut que je boive, que tu boives, qu'il boive, qu'elle boive, qu'on boive, que nous buvions, que vous buviez, qu'ils boivent, qu'elles boivent.
Locution conjonctive
Dans l'éventualité où ; à supposer que.
Façon d'agir, souvent blâmable, pour arriver à un but ; menée, manœuvre (surtout pluriel) : Ses agissements ont abouti à l'écarter de la présidence.
Définition de sagement adverbe
D'une manière sage, avisée.