Si vous êtes dans un débat ouvert, lorsqu'une personne souhaite prendre la parole, faites-lui un petit signe et passez-lui le micro lorsque vous jugez le moment venu. Surtout, ne l'oubliez pas, cela ferait mauvais genre ! Ce système permet à tout le monde de s'exprimer.
La clé est donc de s'interroger sur la pertinence de nos propos bien en amont de la discussion, mais pas pour se demander « si on a quelque chose de pertinent à dire » : si le débat nous intéresse, la réponse à cette question est « oui » (ne serait-ce que pour expliquer justement pourquoi le débat nous intéresse !).
Ce que je vous conseille plus généralement, c'est surtout de réagir avec calme, fermeté et bienveillance, même si la personne en face de vous ne fait que vous interrompre. Vous lui montrerez que votre parole a de la valeur et qu'il doit aussi vous écouter. Mais ne prenez pas tout non plus personnellement.
« Arrivez la tête haute, avec le sourire et regardez l'assemblée pour capter son attention », explique Philippe Janiaux. Et si vous ne vous sentez pas à l'aise, mieux vaut le dire. « Il faut éviter de masquer son émotion à tout prix, soyez honnête et dites à votre auditoire que cet exercice n'est pas évident pour vous.
Se faire écouter s'apprend. C'est comme un oral, un examen. Il y a une méthode. L'intéressé doit savoir exactement ce qu'il veut dire, choisir le bon endroit et le bon moment, et donner très vite la parole à l'autre pour créer la nécessaire empathie.
Une logorrhée verbale est un terme de psychologie qui désigne un flot de parole incessant. C'est un symptôme fréquemment rencontré en psychiatrie et en neurologie car il est présent dans différentes maladies comme le trouble bipolaire ou l'aphasie de Wernicke.
Dans un dialogue équilibré, les deux parties interviennent également, mais les narcissiques conversationnels ont tendance à ne parler que d'eux-mêmes, affirme Kate Campbell, thérapeute conjugale et familiale.
Poussez volontairement la voix, sans crier, forcez vous à parler à la limite du supportable pour vous. C'est à ce moment là que vous atteindrez le niveau sonore optimal pour que vos interlocuteurs puissent vous entendre correctement. Une conversation normale tourne autour de 60 décibels.
Pour convaincre, travaillez contre vous-même et soyez pragmatiques: cherchez à défendre votre idée en partant du point de vue de votre adversaire. C'est en substance l'idée défendue par deux chercheurs en sociologie de l'université de Stanford, Robb Willer et Matthew Feinberg, et repérée par le site Quartz.
Menez avec des preuves et évitez les émotions. La manière la plus efficace de gagner un argumentaire est de construire un discours basé sur des preuves. Cela montre que vous êtes bien informé, préparé et impartial.
Parler trop fort peut être un signe de perte d'audition. Les autres signes de perte auditive neurosensorielle comprennent la difficulté à entendre lorsqu'il y a beaucoup de bruits de fond et l'incapacité à comprendre clairement ce que les autres disent.
Parlez-lui, essayez de comprendre son quotidien, réintroduisez doucement du dialogue entre vous (et donc de l'écoute), afin de lui faire comprendre que même si c'est dur, il a la capacité de rebondir et que vous êtes là pour lui.
À FAIRE : Dites aux gens qu'ils comptent.
Avant toute chose, assurez-vous de renforcer votre relation avec la personne. Dire des choses comme : «Avant de dire quoi que ce soit, je veux m'assurer que tu sais que je me soucie de toi» ou «Je veux te respecter et apprécier ton point de vue» .
L'égocentrique monopolise toujours la conversation et n'écoute pas ce que les autres ont à dire car trop centré sur sa personne. L'égocentrique commence souvent ses phrases par “Moi, je”, “Je…”, “Mon…”, “Mes…”, etc. L'égocentrique ne s'intéresse pas aux autres sauf pour savoir ce qu'ils pensent de lui.
Établissez un contact visuel avant de saluer la personne.
Lorsque c'est fait, dites « Bonjour, comment allez-vous ? » ou quelque chose de semblablement amical. Restez dans le ton. Si tout le monde dit « Salut » au lieu de « Bonjour », dites « Salut ».
Il y a d'abord les priorités ; un homme salue une femme en premier. Une seconde règle donne la priorité à l'âge, puis une troisième, qui supplante la précédente, à la hiérarchie. Seule la personne saluée donne la main ou non.
Excellence Monsieur le Président de la République, Mesdames et Messieurs, L'acquisition de ce scanner s'inscrit dans le processus plus large de modernisation des Administrations économiques et financières.