Bien souvent, il n'y a pas une seule décision parfaite, mais plusieurs choix qui ont tous des avantages et des inconvénients/risques. Alors, si vous avez de la difficulté à prendre une décision, imaginez-en plusieurs : Pour chacune des décisions envisagées, indiquez les conséquences positives et négatives.
1/ vous prenez la décision seul
Si vous êtes « fixé », immobilisé par l'action de l'adversaire, vous diminuez vos chances de vous en sortir. Il n'y a qu'une règle au combat, « mouvement et feu ». Autrement dit, favoriser l'action plutôt que l'inaction.
Selon la psychologue Josée Jacques, l'indécision est souvent le signe d'un manque de confiance ou d'estime de soi qui fait remettre en question son propre jugement. «Ces gens sont très sensibles à l'opinion des autres et ont besoin d'être rassurés quant à leurs choix.
L'anxiété et le stress ont des effets indésirables qui peuvent court-circuiter la réalisation d'un grand nombre de tâches. Ces émotions peuvent même convertir les tâches quotidiennes les plus simples en véritable chemin de croix. Et cela inclue bien évidemment la responsabilité de prendre des décisions.
Votre décision doit être ancrée sur des mobiles solides et sains pour être tenue. Prenez garde à vos choix. Chaque choix, petit ou grand, simple ou significatif, doit vous rapprocher du but de votre décision.
Prier pour avoir une confirmation. Après avoir fait notre choix, nous prions le Seigneur pour savoir si la décision est correcte. Si c'est le cas, le Saint-Esprit la confirmera en nous donnant un sentiment de paix et d'assurance (voir D&A 6:22, 23).
Faites confiance à votre instinct
Lorsque l'on est indécis ou bloqué face à un choix, c'est généralement parce-que nous ne sommes pas en phase avec nous-même. Face au fatidique 'Je ne sais pas', nous devons prendre le temps de nous écouter, fermez les yeux et écouter votre intuition.
"Concrètement, avant de vous lancer dans des démarches pour chercher une école, il faut commencer par vous demander comment vous fonctionnez, quelles sont vos motivations dans la vie, vos réalisations concrètes et ce qui vous donne envie d'avancer ou de vous investir dans un travail ou un projet...
La déception et les regrets sont souvent en relation avec l'incapacité d'atteindre certains objectifs. Le fait de changer votre façon de penser à vos objectifs et réalisations peut vous aider à mieux faire face aux regrets et à accepter l'instant présent.
Pour notre experte, les regrets s'expliquent aussi du fait qu'un couple, ce n'est pas que de l'amour. C'est aussi un confort de vie, des amis, une famille. "Quand on quitte l'autre, on n'anticipe pas toujours cet aspect car on se centre sur l'absence de sentiments.
Elle consiste à peser le pour et le contre, à bien évaluer les conséquences. Ça, c'est quand on a un peu de temps (pas au café devant la face médusée du serveur, en somme). On fait deux colonnes, où on met les arguments positifs et négatifs, on regarde de quel côté pèse notre balance et le tour est joué. Next !
Une bonne décision, c'est surtout une méthode. Du coup, si ce n'est pas le résultat qui détermine la qualité d'une initiative, qu'est-ce-que c'est ? C'est tout simplement la façon dont on est arrivés à telle ou telle conclusion. C'est à dire, la méthode, le process qui ont mené à cette décision.
La prise de décision est un processus cognitif complexe, différent de la réaction instinctive et immédiate, visant à la sélection d'un type d'action parmi différentes alternatives. Ce processus repose théoriquement sur des critères de choix et sur une analyse des enjeux et des options, et conduit à un choix final.
Rester à l'écoute des ses sensations et de ses émotions
Si vous ressentez davantage de joie et d'enthousiasme à l'idée de suivre l'option A que l'option B, si au contraire, vous ressentez de la tristesse, de l'hésitation, un sentiment de malaise, ces émotions sont une bonne indication sur la décision à prendre.
Ensuite, Pourquoi je n'assume pas ? “Cette attitude témoigne d'une fragilité narcissique, d'un manque de confiance. La structure psychologique de la personne n'est pas assez solide”, complète la psychologue Veronica Olivieri-Daniel.
Choisit une option raisonnable sans fournir d'explication. Choisit une option raisonnable et propose une explication simple. Choisit une option raisonnable et explique, dans ses propres mots, pourquoi cette option est la meilleure.
Choisir, c'est être libre
Il ne faut donc jamais oublier que nous avons toujours la liberté de choisir notre vie, même dans les situations les plus critiques. Nous pouvons nous enfuir, nous pouvons composer avec une nouvelle réalité ou trouver la force de ne pas capituler.