Pour poser une addition, on écrit les nombres à additionner en colonnes, comme dans un tableau de numération. Pour effectuer une addition, on fait les additions colonne après colonne en commençant par celle de droite. Il ne faut pas oublier les retenues.
Additionner, c'est le fait d'ajouter des éléments pour obtenir une somme (un total). L'addition en mathématiques est la traduction de ce fait traduit avec des chiffres. C'est-à-dire, de façon abstraite.
Le résultat d'une addition est appelé une somme, et les nombres que l'on additionne, les termes.
Donnez à l'enfant deux petits groupes d'objets : un groupe de deux cubes et un autre de trois cubes. Demandez-lui de compter le nombre de cubes dans chaque groupe. Ensuite, demandez-lui de rassembler les deux groupes et de compter le nombre total de cubes. Dites-lui qu'il vient en fait d'« ajouter » ces deux groupes.
Il existe deux grands types d'additions polaires, l'addition électrophile et l'addition nucléophile, et une de type d'addition apolaire, l'addition radicalaire.
1489 : Le mathématicien allemand Johann Widmann d'Eger introduit les signes + et - pour exprimer l'addition et la soustraction.
Les nombres qui composent l'addition se nomment les termes. La somme désigne le résultat de cette opération.
Additions en ligne
Quand il y a deux chiffres, les unités sont toujours à droite et les dizaines toujours à gauche. Pour faire ce calcul en ligne, il suffit donc de mettre ensemble les unités, de les additionner et ensuite de mettre ensemble les dizaines. Là aussi, il faut les additionner.
Le symbole Σ (sigma) s'utilise pour désigner de manière générale la somme de plusieurs termes.
Les signes plus (+) et moins (−) sont utilisés pour représenter les opérations d'addition et de soustraction dans une forme aujourd'hui reconnue internationalement. Ils peuvent avoir d'autres significations analogues, reconnues de manière généralement plus locale.
Pour décomposer un nombre, on donne la valeur de chaque chiffre du nombre. Il y a plusieurs types de décomposition : la décomposition « additive » ( = utilisation de l'addition) 33545 = 30 000 + 3 000 + 500 + 40 + 5.
L'addition est une opération qui consiste à ajouter des nombres (les termes) les uns aux autres. Le signe de l'addition est le « + ».
Vers 6 ou 7 ans, l'apprentissage des tables d'addition à l'école permet aussi de récupérer directement dans la mémoire à long terme des opérations déjà effectuées (Gimbert, 2016).
Pour effectuer une addition avec retenue, il faut séparer les dizaines et les unités. On commence par additionner les unités entre elles. Si la somme des unités est supérieure à 10, on « retient » le chiffre des dizaines et on l'ajoute au total des dizaines. On applique la même méthode pour les rangs supérieurs.
Pour compléter une table d'addition, on ajoute le premier nombre de la ligne verticale (ici 0) aux nombres de la ligne horizontale. 0 + 0 = 0 donc dans la case où se croisent les deux 0 (case rose), on écrit 0 et ainsi de suite.
Pour poser une addition avec des nombres décimaux, on applique les mêmes règles que pour les nombres entiers. On aligne, les unités avec les unités, les dizaines avec les dizaines… On aligne les chiffres de la partie décimale : dixièmes avec dixièmes, centièmes avec centièmes…
Définition : Le résultat d'une addition s'appelle une somme et les nombres que l'on additionne entre eux sont les termes de la somme.
Le résultat d'une division s'appelle un quotient. Les nombres que l'on divisent s'appellent le dividende et le diviseur.
C'est une somme car : on commence le calcul par la multiplication, elle est prioritaire : 3 × 4 = 12 ; on effectue l'addition : 2 + 12 = 14.
C'est pourquoi, pour une femme, payer l'addition est une fierté, un signe de réussite sociale et professionnelle. En plus de faire passer un message, je suis galant versus je suis indépendante, régler la note est également une forme de rapport de force ou de domination.
On plaçait alors des cailloux dans ces colonnes pour former des nombres, «puis en faisant glisser les cailloux les uns contre les autres, on obtenait le résultat de l'addition». C'est ainsi qu'est né l'abaque (du nom de la plaque de pierre utilisée), une machine qui est en fait le lointain ancêtre de nos calculettes.