De surveiller l'alimentation : des rations dont la quantité est contrôlée, de bonne qualité, donnés à heures assez régulièrement permet de prévenir les coliques. Fractionnez son alimentation en plusieurs petits repas par jour. De limiter la quantité d'amidon par repas à 500g pour un cheval de 500kg.
Les “bouchons”, aussi appelés “impactions”, sont une cause courante de coliques chez le cheval. Ils sont souvent liés à une absorption trop rapide ou trop importante d'aliments, ou un manque d'abreuvement. Les déplacements des intestins sont souvent une conséquence des impactions.
Un cheval qui présente de l'abattement, reste plus couché que la normale, refuse de manger, se regarde les flancs, gratte, se roule de façon violente et/ou répétée, présente des signes couramment évocateurs de colique. En règle générale, l'intensité des symptômes est proportionnelle à l'intensité de la douleur.
Volvulus du gros côlon
Le gros côlon peut également se tordre; c'est l'un des types de torsion intestinale les plus courants chez les chevaux. Le volvulus du gros côlon survient le plus souvent chez les juments poulinières, pendant ou juste après le poulinage. Il s'agit de l'une des formes les plus fatales de colique.
Traitement des coliques intestinales
Vous pouvez prendre des médicaments anti-douleur le temps que vos symptômes se calment. Les anti-spasmodiques, du type Spasfon° ou Debridat°, se révèlent aussi utiles en traitement des coliques intestinales des adultes.
Dans bien des cas, l'injection de spasmolytiques permet de soulager les douleurs. Mais lorsque l'animal n'y répond pas ou seulement pour une courte durée, cela peut être le signe d'une forme plus grave. Dans ces cas, il est généralement préférable de référer le cheval dans une clinique vétérinaire.
Le gros ventre s'explique par de nombreux facteurs comme la présence de vers, la présence de fourrage dans ses intestins, une mauvaise digestion ou encore un manque d'exercice.
Ce ballonnement est lié à un excès de production de gaz (fermentation digestive), c'est le cas quand le cheval aura mangé une herbe jeune en quantité trop abondante, mais cela peut être aussi dû à une diminution du péristaltisme intestinal: cheval qui mange du sable ou cheval qui ne prend pas assez d'exercice.
Quand vermifuger votre cheval ? La vermifugation est indispensable une fois par an, avant la saison de pâturage, c'est-à-dire au début du printemps. Ensuite, le traitement est à effectuer plusieurs fois par an seulement si votre cheval est parasité.
S'il est au pré et a irrégulièrement du foin, et qui plus est si ce foin est de mauvaise qualité, et bien il passe des phases où il a le ventre vide (donc nécessairement de l'air) à un ventre rempli/gonflé une fois qu'on lui met de la nourriture.
Les symptômes de fourbure sont relativement caractéristiques avec une démarche raide, une attitude campée, des difficultés à tourner court en particulier sur sol dur, une chaleur des pieds et une augmentation du pouls digital (pulsations palpables à la base du boulet).
Règles de prévention pour réduire le risque de fourbure
évitez le surpoids de votre cheval, particulièrement pour les races “robustes” faites-lui faire régulièrement de l'exercice. évitez les changements d'alimentation rapide, mais installez au contraire une transition lente et progressive.
Ce qu'il faut retenir :
Un cheval de 500 kg devrait être nourri avec un fourrage de 7,5 à 10kg en augmentant de 20% pour un jeune cheval en croissance. Pour les chevaux soupçonnés d'avoir des ulcères, il est recommandé de faire diagnostiquer le problème par un vétérinaire et de traiter.
Dosage : Mélanger 3 mesures (45gr) 1 à 2 fois par jour pendant 3 à 10 jours jusqu'à retrouver un transit optimum. A mélanger dans la ration en l'hydratant, le mieux étant de laisser tremper les graines dans de l'eau pendant 15 à 30 minutes avant de les incorporer dans la ration.
Dans le cas d'un ulcère, le cheval va être plus agressif et présenter des troubles de l'alimentation spécifiques. Par exemple, manger de la terre ou du crottin, comme pour se faire lui-même une sorte de pansement.
La cause n'est pas toujours claire, mais peut conduire à une carence en minéraux ou en sels. Ç'est aussi possible que le cheval ait trop peu de fourrage, qu'il commence à manger du sable simplement par ennui, ou que quelque chose ne va pas.
Le tic à l'appui : Il s'agit d'un tic où le cheval attrape des objets fixes (porte de box, mangeoire, etc.) avec ses incisives et tire en arrière tout en contractant les muscles de son encolure. Cela provoque un bruit caractéristique, ressemblant à un rot, provoqué par le passage de l'air dans l'œsophage du cheval.
Bonjour: non il ne fait pas grossir: c'est l'essentiel de son alimentation, plein de fibre. Foin a volonté est une bonne devise.
Une des solutions consiste à utiliser un panier (parfois appelé par extension muselière). Cela permet au cheval de respirer normalement et de boire, mais pas de manger. Pour certains, il peut un peu grappiller, mais cela ne va pas bien loin.
Beaucoup de propriétaires se plaignent que leurs chevaux deviennent ronds dès qu'ils sont mis à l'herbe. Cette réalité correspond à la fois à une augmentation du volume du tube digestif et à un engraissement.
Les signes d'appel qui font suspecter la présence d'ulcères gastriques sont généralement un mauvais état général avec amaigrissement et poil piqué, un appétit capricieux, des crottins mous, parfois des signes de coliques sourdes principalement après les repas ou en période de stress comme pendant un transport ou une ...
La piroplasmose est due à l'infection du cheval par deux protozoaires parasites, Theileria equi ou Babesia caballi. Il faut un vecteur pour transmettre les parasites, une tique. La transmission s'effectue par l'intermédiaire de 3 genres de tiques dures : Dermacentor, Rhipicephalus et Hyalomma.
Coup de sang chez le cheval (myosite)
Le syndrome du coup de sang, également appelé rhabdomyolyse à l'exercice, ou encore « myosite » se définit comme une maladie musculaire très douloureuse suite à un exercice physique. Elle correspond plus ou moins à des crampes musculaires chez l'homme, intenses et généralisées.