Le basilic se doit d'être protégé en hiver. En pleine terre, paillez le sol pour protéger les racines. Si votre basilic est en pot, rentrez-le à l'intérieur lorsque les températures sont basses.
Si vous avez coupé quelques feuilles de votre basilic en pot mais que vous n'avez pas tout utilisé, pensez à les conserver afin qu'elles ne sèchent pas. Placez-les dans un sachet hermétique et mettez-les au réfrigérateur. Vous pouvez également les mettre dans un bac à glaçon et les placer au congélateur.
Pour ce faire, taillez votre plante tout d'abord du haut vers le bas. Ensuite, coupez un tiers de hauteur de la plante, 1 cm au-dessus du nœud. Pour que votre basilic puisse se ramifier, coupez deux à trois nœuds du sol. Dans un second temps, pincez les repousses afin d'étoffer la touffe de feuilles.
Le basilic est une plante très fragile. Il déteste le froid et sa période de végétation est très courte. Il n'aime pas la terre froide du printemps et ne peut donc être planté qu'en mai. A l'automne, les feuilles s'étiolent rapidement dès qu'il fait un peu frisquet, bien avant qu'il ne fasse zéro au thermomètre.
Il fleurit de juin à septembre, en émettant de petits épis blancs qu'il vaut mieux couper pour favoriser la production de feuilles. C'est un grand frileux : il ne résiste pas au gel ; mieux vaut donc le cultiver en pot en intérieur, et le sortir sur la terrasse ou le rebord de la fenêtre lorsqu'il fait doux.
En règle générale, arrosez votre plant de basilic dès que la terre est sèche pour la garder humide. Arrosez le donc environ deux fois par semaine. L'eau doit se verser au pied de la plante et non les feuilles ou la tige ! En visant directement la terre, les racines pourront absorber correctement l'eau.
Prélever une tête avec un minimum de 4 feuilles. Retirer les 2 feuilles du bas. Couper sous l'intersection des anciennes feuilles. Réduire de moitié les feuilles du haut.
Le basilic se doit d'être protégé en hiver. En pleine terre, paillez le sol pour protéger les racines. Si votre basilic est en pot, rentrez-le à l'intérieur lorsque les températures sont basses.
Il n'y a pas vraiment de meilleur moment, pour faire pousser son basilic en intérieur même si en hiver il est difficile de le garder longtemps. On préfère généralement l'utiliser dans les plats d'été. Sa culture se fera donc le plus souvent d'avril à septembre-octobre en extérieur ou en intérieur.
Le basilic préfère une exposition au soleil, à l'abri du vent et du froid. Il aime les terres légères, plutôt sèches, bien drainées, et suffisamment riches. Plantez le basilic de préférence au printemps (avril-mai dans le Midi), après les dernières gelées.
Le sol doit avoir le temps de sécher entre deux arrosages. Si votre terre est argileuse, elle retient l'eau, et le basilic en redoute les excès. En été, limiter à un arrosage tous les 15 jours, voire moins s'il pleut.
Un pot qui ne permet pas aux herbes aromatiques de bénéficier d'assez d'air peut expliquer que votre plant de basilic meurt. De même, si le sol sur lequel vous avez posé votre pot est trop frais (voire gèle en hiver), ou au contraire, le sol est trop chaud, cela endommage le basilic en fragilisant ses racines.
Le basilic vivace est un basilic pérenne dans son milieu d'origine (Afrique), mais n'est pas rustique dans nos régions. On peut toutefois le préserver d'une année sur l'autre, à la condition de lui faire passer l'hiver à l'abri, par exemple dans une serre froide ou une véranda.
Avec des ciseaux, coupez une petite branche de basilic de 8 cm environ et effeuillez-la pour ne laisser que 2-3 feuilles au sommet. Mettez votre bouture de basilic dans un verre d'eau. Placez le verre près d'une fenêtre : en quelques jours, vous verrez apparaître les premières petites racines.
Le basilic perpétuel est certes vivace et très robuste puisqu'il n'est sujet à aucune maladie ni à aucune attaque de parasites mais il est assez peu rustique. Dès que la température descend au-dessous de -5°C, arrachez le basilic en conservant une motte de terre et mettez-le en pot.
Si vous remarquez que les feuilles de votre basilic deviennent marron, c'est que votre herbe aromatique est peut-être touchée par la fusariose, une maladie causée par un champignon et due à un environnement trop humide. Ce dernier entraîne quelques jaunissements et des nécroses beiges à marron clair.
Pour savoir si vous avez trop arrosé votre basilic, il y a quelques signes qui vous permettent de reconnaitre un excès d'eau. Si vous constatez que les feuilles jaunissent voire qu'elles finissent par flétrir et tomber, c'est signe que le basilic ne va pas bien.
Le basilic préfère une exposition au soleil, à l'abri du vent et du froid. Il aime les terres légères, plutôt sèches, bien drainées, et suffisamment riches.
Pour faire repartir un basilic sec, commencez par tailler ses feuilles et couper ses tiges. Ensuite, soignez l'arrosage : apportez de l'eau au moins une fois par jour pour le faire repartir !
Les feuilles de basilic sont incontournables en cuisine italienne, mais lorsqu'une invasion de moucherons sévit, votre plante risque de périr. Les moucherons de terreau ou sciarides sont attirés par la chaleur et l'humidité du substrat. Ils pondent leurs œufs dans la terre humide, pour donner naissance à des larves.
– Troubles digestifs : dyspepsie (indigestion), spasmes, flatulence (ballonnements), mauvaise haleine (en gargarisme), aphtes (en gargarisme), toux ou bronchite (notamment en tisane).
Si votre basilic n'est pas assez hydraté, il vous le fera ressentir ! En effet, cela peut se matérialiser par un sol trop sec par exemple. Si les feuilles de votre plante se flétrissent, ne réfléchissez pas plus, c'est le signe qu'elle a besoin d'eau.
Placez-le dans un endroit lumineux et mi-ensoleillé, sur le balcon ou sur les bords d'une fenêtre par exemple. Le basilic affectionne une terre de plantation légère et bien drainée. Fertilisez également le sol avec du compost ou de l'engrais pour plantes aromatiques, de mai à août.