Premier conseil : soyez authentique. Il ne s'agit pas de raconter une histoire fictionnelle mais de raconter qui vous êtes vraiment, de mettre en récit votre parcours. Si vous racontez des histoires dans le sens “je manipule”, ça peut se retourner vite contre vous.
Salut, je me présente. Mon nom est Marie Liane, j'ai 15 ans, je suis née en 2000, le 30 mars et j'ai une vie très différente que vous. J'ai un trouble d'apprentissage (TA), c'est-à-dire que j'apprends différemment des choses, j'apprends d'une autre façon qu'autres personnes.
Soignez l'écriture de la première phrase
L'écriture de la première phrase doit être un concentré du récit, et donc le refléter au maximum. La combinaison idéale serait une phrase simple et dynamique, qui incluerait quelques éléments de contexte, de suspense et/ou de caractérisation du héros.
10 conseils pour raconter une histoire
Identifier et clarifier l'objectif de l'histoire. Construire une trame narrative en conséquence. Déterminer les rôles marqués et marquants. Fixer les points d'entrée et de sortie de chaque rôle dans l'histoire.
Qu'est-ce qu'une bonne histoire ? Inventer et raconter une bonne histoire n'est pas qu'un don que les fées accordent à certains humains. C'est avant tout respecter les bonnes pratiques, les conventions qui donneront une forme identifiable, familière et accueillante à l'écoute.
Il est fortement recommandé de commencer le récit par une introduction. Celle-ci va nous permettre de « planter le décor » : nous informer du lieu et de l'endroit où se passe l'action, nous présenter le personnage central, nous donner le ton général du récit. Exemple : C'était l'hiver, nous étions en 1948.
Ecrire sur soi, c'est quoi ? C'est prendre le temps de s'isoler avec soi-même et de laisser émerger ce qui vient. Armé d'une feuille et d'un crayon, c'est reformuler ce que nous avons vécu, senti, avant de le coucher sur le papier. C'est une manière de le digérer.
Les raisons qui poussent à s'engager dans un projet autobiographique sont diverses et variées : parler de soi pour soi-même ou pour autrui, se connaître, comprendre sa personnalité, revenir sur son itinéraire personnel, témoigner d'une expérience particulière, s'expliquer, expliquer ses choix de vie, ses choix ...
En attendant, retenez simplement une chose : qu'il soit attachant ou non, un bon personnage est une figure qui s'intègre au récit et aux règles qu'il sous-tend, sans le déformer ou donner l'impression qu'il n'est qu'un outil incarné de l'auteur.
Ce qu'il faut retenir
Pour qu'un personnage soit considéré comme bon et bien écrit, il faut qu'il soit adapté à l'intrigue. Ce qui implique de doser finement : son niveau de complexité, ce qu'il représente.
La meilleure introduction pour un personnage tend à décrire ce qui est vu (l'apparence physique du personnage) ainsi qu'une information quelque peu intrigante concernant leur personnalité ou leur situation. Bien sûr, vous n'êtes pas obligé de donner l'âge de votre protagoniste mais c'est généralement admis.
Le roman d'aventure se caractérise donc par la présence d'un personnage principal souvent jeune, courageux, curieux et intelligent. Un héros digne de ce nom, en somme. Le décor de ses aventures est dangereux, mystérieux et exotique, satisfaisant le désir d'évasion du héros et du lecteur.
Il s'agit de dire ce qui se passe ; ce que l'on voit est la description, et ce que l'on entend sont les dialogues. La narration peut se faire selon plusieurs points de vue : La focalisation interne : le lecteur découvre la scène comme s'il la vivait à la place du personnage : "Tom reposa son café. Il était trop chaud.
Une histoire qui intéresse et capte l'attention du lecteur permet souvent de donner de la valeur à un roman. En effet, l'histoire est la charpente du roman, son ossature. Elle constitue un fil directeur qui guide le lecteur du début jusqu'à la fin de sa lecture.
Pour rédiger un récit imaginaire, il faut non seulement connaître les règles de la grammaire de la phrase, mais aussi maîtriser celles de la grammaire du texte. De plus, la mobilisation de stratégies propres à la production de ce type de texte est primordiale.
l'élément modificateur ; les péripéties ; l'élément rééquilibrant ; la situation finale.
Essayez de raconter l'histoire comme si vous la racontiez à un grand ami. Ne soyez pas trop formel ou guindé. Il est important de donner l'impression d'être sûr de l'histoire que vous racontez. Appropriez-vous-en et faites en sorte qu'elle paraisse crédible pour votre auditeur.