Pour reconnaître un complément circonstanciel, on pose les questions « quand ? », « pendant combien de temps ? », « où ? », « comment ? », « dans quel but ? », « pour quelle raison ? », etc.
Ils précisent les circonstances dans lesquelles se déroule l'action exprimée par le verbe. Une même phrase peut comporter plusieurs compléments circonstanciels : Il est arrivé à Paris (CC de lieu) ce matin (CC de temps) par le train (CC de moyen) pour affaires (CC de but).
Selon les grammairiens, la liste des compléments circonstanciels diffère, mais ceux qui sont le plus couramment représentés sont les compléments circonstanciels de temps, de lieu, de manière, de moyen, de cause, de conséquence, de but, d'accompagnement, de comparaison, d'opposition, de concession et de condition.
Pour trouver le COD, la bonne question à se poser est QUOI ? ou QUI ? juste après un verbe. On obtient ainsi une phrase composé de la manière suivante : sujet + verbe + quoi ou sujet + verbe +qui.
📕 Définition. Un complément circonstanciel –aussi appelé CC– est un complément de phrase. En gros, il précise le contexte dans lequel l'action est menée par le verbe.
Dans une phrase simple, le complément circonstanciel d'opposition ou de concession peut être un groupe nominal prépositionnel introduit par : "malgré", "en dépit de", "excepté", "avec", "sans". Émilie n'est pas partie en dépit des supplications de son mari.
→ L'opposition permet de confronter deux faits ou deux arguments indépendants, qui ne se contredisent pas ou dont l'un n'empêche pas l'autre. Exemple : Alors que tout le monde est levé, il dort encore. → La concession intervient entre deux idées étroitement liées et opposées, dont l'une devrait empêcher l'autre.
La condition peut être exprimée par une proposition subordonnée circonstancielle. Introduite par si, à partir du moment où, elle est à l'indicatif. Introduite par à condition que, en supposant que, à moins que, pourvu que, elle est au subjonctif. → Tu le verras ce soir, à condition qu'il vienne.
Une cause présente la raison de quelque chose, c'est un élément qui en produit un autre, c'est un fait qui en entraîne un autre, etc. Une conséquence explique ce qui arrive (l'effet), c'est le résultat de quelque chose (les répercussions).
La cause est un fait qui entraîne un autre fait. Exemple : Je m'arrête, car je suis fatiguée. Je m'arrête : pourquoi ? Parce que je suis fatiguée.
Les mots tels que parce que, car, puisque expriment la cause, la raison d'un fait ou d'une action. Cela permet de répondre aux questions : Pourquoi ?, Pour quelle raison ? Parce que et car sont les plus courants.
Pour résoudre ce petit problème, examinons d'abord deux types de propositions causales, l'un amené par car (coordination), l'autre par parce que (subordination) : " Peu de chose nous divertit et nous destourne ; car peu de chose nous tient " (Montaigne, Essais, II, 4) ; " Peu de chose nous console parce que peu de ...
Il existe différents compléments circonstanciels. Le CC de cause répond à la question pour quelle raison ? Le CC de but répond à la question pour quoi faire ? Le CC de lieu répond à la question où ?
La subordonnée circonstancielle de cause indique la raison pour laquelle s'accomplit l'ac- tion : Le poisson rouge est mort parce qu'on a oublié de le nourrir. Subordonnants : comme, du moment que, d'autant plus que, parce que, puisque, sous pré- texte que, etc.
parce que, puisque, comme, vu que, attendu que, du moment que, sous prétexte que sont suivies de l'indicatif. Conjonctions de subordination qui marquent la conséquence: de telle sorte que, de telle manière que, au point que, si bien que sont suivies de l'indicatif.
-> Un adverbe : tant - tellement, en effet. Ex. : La rivière est sortie de son lit tellement il a plu. -> La conjonction de subordination : comme, puisque, parce que , étant donné que, d'autant plus que / d'autant moins que, vu que, sous prétexte que, etc.
Afin d'appliquer le Cinq Pourquoi, il faut : Identifier le problème, puis se demander « Pourquoi cela est-il arrivé ? », puis demander « Pourquoi cela est-il arrivé ? » aux causes cinq fois.
Le diagramme des relations permet de trouver les causes imbriquées les unes dans les autres. Souvent, les problèmes sont bien plus complexes que ce que l'on pense et il peut y avoir des facteurs multiples à prendre en compte. Ce diagramme permet donc de mettre en évidence les causes profondes en interrelations.
Le conditionnel est principalement utilisé pour exprimer une condition, une hypothèse, une formule de politesse ou un souhait. Condition : Si j'avais le temps, je lirais une bibliothèque entière ! Hypothèse : Les pertes s'élèveraient à des milliards d'euros.
Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].) 2. Synonyme de implication.
« Si tu pouvais, tu irais la voir » : pour donner une information non confirmée, faire des hypothèses ou exprimer un souhait, on utilise le conditionnel présent. Le conditionnel présent peut servir à : - donner une information incertaine ou non confirmée. Les journalistes l'utilisent souvent.