Une liaison hydrogène peut s'établir entre un atome d'hydrogène lié par covalence à un atome A très électronégatif -- comme le fluor (F), l'oxygène (O) ou l'azote (N) -- et un atome B très électronégatif porteur d'un doublet non liant.
Les liaisons hydrogène ne se forment généralement qu'entre des molécules qui contiennent au moins un atome très électronégatif lié par covalence à un atome d'hydrogène. L'atome très électronégatif est presque toujours un atome d'azote, d'oxygène ou de fluor.
Une liaison hydrogene est de basse intensité (20 fois plus faible que celle de la liaison covalente classique). Elle lie les molécules en engageant un atome d'hydrogène.
Les liaisons de Van der Waals peuvent s'établir entre les molécules d'un corps lorsque ces dernières sont polaires. Ces molécules sont caractérisées par un moment dipolaire non nul qui résulte de l'addition des moments dipolaires associés aux différentes liaisons polarisées.
La liaison hydrogène est une liaison chimique non covalente de type dipôle-dipôle entre 2 molécules ou entre 2 groupements d'une molécule. Nature de la liaison : Elle consiste essentiellement dans l'interaction entre deux molécules : 1 molécule possédant un atome donneur d'électrons (O, N, F)
On peut déterminer si une liaison est covalente polaire ou covalente non polaire en calculant l'électronégativité. L'électronégativité est une mesure de la force d'attraction pour attirer les électrons dans une liaison chimique. Chaque élément possède une électronégativité spécifique.
Toutes les molécules possédant des groupes carbonyles (C=O) polaires peuvent également se lier par liaisons hydrogène aux molécules d'eau. Mais la petite molécule d'eau est capable d'établir jusqu'à quatre de ces liaisons.
Il existe trois principaux types de liaisons chimiques: les liaisons covalentes, qui se forment spécifiquement entre les éléments non métalliques, les liaisons ioniques, qui se forment entre un métal et un non-métal, et les liaisons métalliques qui se forment entre métaux.
LIAISONS CHIMIQUES Liaison hydrogène
et qui, pour une part importante, sont responsables des associations entre les diverses bases fondamentales entrant dans l'édification des acides nucléiques ainsi qu'entre les protéines pour constituer les tissus vivants (cf. biologie-La biologie moléculaire, protéines).
Si deux atomes partagent une seule liaison covalente, on parle de simple liaison. Si deux atomes partagent deux liaisons covalentes, on parle de double liaison, s'ils partagent trois liaisons covalentes, on parle de triple liaison. Les liaisons doubles sont plus stables et fortes que les liaisons simples.
Une liaison covalente est une liaison dans laquelle deux électrons de valence sont partagés entre deux non-métaux. Dans ce type de liaison, il doit y avoir une différence d'électronégativité inférieure à 1,7 sur l'échelle de Pauling.
Condition 1
L'une des molécules doit comporter un atome d'hydrogène porté par atome suffisamment électronegatif. Si la liaison hydrogène – atome est polarisée, donc si l'électronégativité de ce dernier est au moins de 2,60, alors on peut considérer cette condition est respectee.
Lorsque la différence d'électronégativité entre deux éléments est supérieure à 1,8, la liaison entre ces deux éléments est généralement ionique. Lorsque la différence d'électronégativité est inférieure à 1,8, la liaison a plutôt tendance à être covalente.
Structure de la glace
Dans la structure cristalline de l'eau, chaque atome d'hydrogène se lie à un atome d'oxygène d'une molécule voisine pendant que ce même atome accepte une liaison hydrogène avec des H, liés de façon covalente à deux molécules d'eau distinctes.
Liaisons polaires : Une liaison covalente est polaire, si la différence des électronégativités des deux atomes formant la liaison n'est pas nulle . L'atome le plus électronégatif d'une liaison polaire attire plutôt vers lui les électrons de la liaison covalente.
De tous les éléments chimiques, l'hydrogène est le plus léger car il possède la structure atomique la plus simple : son noyau se compose d'un unique proton et son atome ne compte qu'un électron. Il tient donc la première place dans la classification périodique de Mendeleïev.
Il est bien plus rapide de jeter un peu de zinc ou de magnésium dans une solution d'acide chlorhydrique dilué ou d'acide sulfurique dilué. Il se produit un dégagement instantané de gaz hydrogène.
1) Pourquoi les liaisons hydrogène ne se forment pas entre les molécules de méthane et les molécules d'eau ? Les électronégativités des atomes C et H sont très proches, on dit que cette molécule est apolaire, donc elle ne fait pas de liaison hydrogène avec l''eau.
La liaison est interdite devant les noms d'origine étrangère commençant par la semi-voyelle (aussi appelée semi-consonne) [j] (ces noms commencent généralement par la lettre y) ainsi que devant oui, ouistiti, whisky et devant un, huit, huitième, onze et onzième.
Jusqu'à cette récente découverte, on distinguait trois types de liaisons chimiques : la liaison covalente, la liaison ionique et la liaison hydrogène. La liaison covalente est la plus forte ; c'est une liaison assurée par un partage d'électrons.
1. Liaison covalente (liaison forte) : deux atomes mettent en commun les électrons de la couche électronique la plus extrême. Elle peut être polaire (lorsque l'attirance des électrons est inégale entre les deux atomes) ou non polaire (lorsque les deux atomes tirent avec une force semblable).
Les liaisons de van der Waals n'entrent pas dans le cadre des liaisons chimiques, en ce sens que les électrons restent liés à leurs atomes (ou molécules) respectifs (les termes d'échanges restent négligeables).
Les ions hydrogène sont responsables de l'acidité d'une solution : lorsqu'ils sont plus nombreux que les ions hydroxyde la solution est acide. Inversement les ions hydroxyde sont responsables du caractère basique (basicité) d'une solution: lorsqu'ils sont plus nombreux que les ions hydrogène la solution est basique.
Les interactions non covalentes peuvent être classées en différentes catégories, telles que les effets électrostatiques, les effets π, les forces de van der Waals et les effets hydrophobes.