Dès la naissance, le bébé surdoué ouvre grand ses yeux et regarde tout ce qui se passe autour de lui avec attention. Son regard scrutateur est pétillant, ouvert et très expressif. Il fixe dans les yeux, avec une intensité qui déconcerte parfois les parents. Il est en état d'alerte permanente, rien ne lui échappe.
Lorsqu'un enfant possède un quotient intellectuel (QI) supérieur à 125 points, il est considéré comme précoce. C'est le cas d'un enfant par classe environ, quel que soit le niveau scolaire. On parle de précocité, mais également de haut potentiel ou encore d'enfant surdoué.
Un des tests les plus pratiqués est le test de David Wechsler appelé le WIPPSI-R pour les 3-6 ans ou le WISC pour les 6-16 ans, divisés eux-mêmes en groupes de "subtests". Les enfants sont testés sur leur compréhension verbale, leur raisonnement perceptif, leur mémoire immédiate ou leurs compétences neuro-visuelles.
"On peut donc identifier un HPI chez un enfant à partir de 2 ans et demi même si cela reste une démarche déconseillée par les psychologues à ces âges précoces, à moins qu'il y ait une souffrance, un enjeu scolaire (saut de classe...), ou un enjeu diagnostique (participer au diagnostic d'un trouble du spectre autistique ...
Bébé agite ses bras et ses jambes de manière saccadée, il a les poings fermés et grimace : il se sent inquiet. Il a besoin d'être pris dans vos bras ou encore d'être étroitement enveloppé dans une couverture.
Des problèmes de sommeil – par exemple un bébé qui se réveille dès qu'on le pose et en pleurant – peuvent cacher un problème de digestion : cela peut être le signe qu'il souffre de reflux. Aussi, pensez à bien lui faire faire le rot, surtout si vous lui donnez un biberon.
Quand faut-il intervenir ? Dans les premiers mois de la vie, les pleurs d'un enfant doivent être soulagés le plus rapidement possible, car ils témoignent généralement d'un état d'insécurité émotionnelle. À cet âge-là, les enfants n'utilisent pas les pleurs comme un moyen de pression sur leurs parents.
D'après une étude du département de psychologie de l'université de Notre-Dame aux États-Unis, laisser un bébé pleurer sans chercher à le consoler aurait des conséquences négatives pour sa santé et pourrait entraîner des problèmes d'anxiété à l'âge adulte.
En effet, à cet âge, le cerveau de l'enfant n'est pas assez développé pour qu'il en soit capable. S'il pleure pour être pris, c'est qu'il a besoin d'être rassuré. Ainsi, en le prenant, vous n'êtes pas en train de « céder », vous êtes plutôt en train de lui montrer qu'il peut compter sur vous : vous le sécurisez.
C'est tout à fait normal et ça n'a aucun lien avec la dentition. En ce qui concerne la salive, que le bébé arrive à sécréter en plus grande quantité, il est très probable que ce soit parce que, en ayant le poing dans la bouche, il n'avale pas et elle lui sort de la bouche.
Ce sont les premier « gestes » intentionnels de bébé. Vers 2/3 mois la main s'ouvre facilement et bébé est capable de la refermer sur des objets, mais s'il ébauche vers 3 mois ½ un mouvement vers objet qui lui est tendu il ne parvient pas le toucher seul.
Lorsqu'un bébé se balance d'avant en arrière, cela peut signifier différentes choses. Cela peut être le signe que votre enfant se sent vraiment d'humeur à jouer ou peut indiquer qu'il essaie de gagner suffisamment de force dans les jambes et les bras pour ramper efficacement là où il le souhaite.
Après un traumatisme, une chute ou un choc. Énervement, tonicité excessive: le bébé se raidit et se cambre régulièrement, il n'est pas à l'aise dans les bras ou dans le lit.
Effectivement, le syndrome de KiSS est un blocage de la jonction crânio-cervicale, c'est à dire de la première articulation entre la base du crâne et la première vertèbre cervicale. Cette dysfonction articulaire a pour conséquence, une adaptation posturale de l'ensemble du corps.
Un bébé hypertonique, toujours en mouvement
Un BABI est en général un bébé hypertonique, ses muscles sont souvent tendus, il est souvent contracté et gigote énormément… C'est un bébé qui va refuser d'être emmailloté par exemple.
Il ne sourit pas, ou très peu (3 mois). Il semble avoir le regard vague ou fuyant, qui ne suit pas ni ne fixe. Il semble avoir un défaut de la posture (bébé trop mou ou trop raide) et vocalise peu.
En fait, votre bébé ferme les poings tout simplement parce qu'il n'a que peu de marge de manœuvre d'un point de vue neurophysiologique : il s'agit juste d'une position réflexe, qu'il garde souvent jusqu'à l'âge de 2 ans.
En effet, cette position a l'avantage de diminuer le risque du SMSN (Syndrome de Mort Subite du Nourrisson). Cependant, dès l'âge de 6 mois, le risque de SMSN est moins présent. Vous pouvez donc laisser le nourrisson se retourner sur les côtés ou se mettre sur le ventre.
Généralement, un nourrisson commence à se retourner tout seul entre son 4ème et son 6ème mois (en moyenne) ; pour y parvenir, bébé doit avoir acquis suffisamment de tonus musculaire. Bien sûr, chaque enfant grandit et progresse à son rythme : certains auront besoin d'un peu plus de temps que d'autres.
Bébé aime observer ses mains, les faire tourner dans un sens et dans l'autre pour le plaisir de les voir bouger. C'est le moment de lui chanter « Ainsi font, font, font les petites ma rionnettes …. » De la même façon, il aime bien faire passer un cube d'une main dans l'autre.
Pourquoi? Pour que votre bébé développe l'habileté de tendre la main et de toucher ce qu'il voit. Pour qu'il se familiarise avec le nom des différentes parties du visage. Le fait d'entendre les mots « oeil », « nez » ou « main » le prépare au moment, où dans un an ou deux, il commencera à prononcer ces mots.
Les câlins sont indispensables au bon développement sensoriel et cognitif de bébé. Le sens du toucher (avec les bisous, les câlins) stimule notamment les hormones du bien-être et de la croissance. Quant à son petit cerveau, il a besoin de vos bras pour développer les bonnes connexions.
A la naissance, le nourrisson rampe instinctivement vers le sein de sa mère. Son odeur, sa peau, il sait déjà tout d'elle. C'est le début d'une relation intense et magique où chacun a un besoin vital de l'autre.
Non, un enfant ne risque pas de « s'habituer aux bras ». Contrairement aux idées reçues, un enfant ne risque pas de « s'habituer aux bras », c'est à dire de réclamer davantage les bras de l'adulte si celui-ci le prend plus souvent dans les bras.