L'avare est pathologiquement incapable de dépenser de l'argent ce qui le distingue de la personne économe qui fait attention à la gestion de son argent, mais accepte de le dépenser à bon escient. Ainsi, l'avarice relève de l'obsession et de l'addiction.
L'homme radin est celui qui fera une fixation sur le fait de ne jamais dépenser de l'argent. Il fera en sorte d'éviter toutes les dépenses. Pas pour faire des économies, mais surtout par peur de le regretter par la suite. Il fermera les yeux sur certaines dépenses qu'il jugera inutiles ou même sans valeurs.
Les manipulateurs savent repérer les failles de l'autre et appuyer là où ça fait mal pour mieux profiter de la personne. Ils blessent intentionnellement en jouant sur les faiblesses et ses émotions négatives, par exemple, la peur, le stress, etc.
(Personne) avare, souvent avec mesquinerie. Synon. chiche, grigou, grippe-sou, ladre (vieilli ou littér.), radin (fam.), rapiat (fam.)
"Cela peut s'expliquer par l'éducation, l'environnement, la peur du manque, mais aussi la représentation de l'argent pour eux. Souvent les gens radins ne comprennent pas que l'argent est seulement un véhicule qui permet d'avancer. Pour eux c'est une sécurité, garder leur argent les sécurise", précise Pascal Anger.
avare adj. et n. Qui se plaît à accumuler l'argent en restreignant ses dépenses.
Avare. Chiche. Il n'a jamais d'argent à donner. Mauvais payeur.
Partager l'information. Même si votre conjoint est dépensier, il ne doit pas pour autant être exclu de toutes les décisions concernant l'argent, dans votre foyer. Partagez les informations avec lui, expliquez-lui tout ce que vous avez mis en place pour lutter contre les dépenses inutiles.
Si votre homme n'est que légèrement égoïste, une simple discussion pourra vous aider à mettre un terme au problème. Confrontez-le sur ce sujet, calmement. Mettez-le face à ses responsabilités, au partage des tâches. Interrogez-le sur ses valeurs sur ce sujet.
En psychologie, l'avarice reflète souvent une angoisse du manque. L'avare se réconforte avec son argent et ses biens. De plus, il exerce une certaine manipulation envers l'autre, puisqu'il décide de garder ou de donner.
Ils cherchent dans l'argent ce qu'ils ne trouvent pas dans leurs rapports sociaux", avec un sentiment de malaise parmi leurs semblables.
Une personne cupide peut ressentir un sentiment d'avarice envers l'argent, le sexe, le pouvoir, la nourriture, l'attention des autres, la connaissance… Elle peut se sentir cupide de presque n'importe quoi. Ce peut être envers quelque chose de concret comme envers quelque chose d'abstrait, de réel ou de symbolique.
L'imagination en berne
Car l'addiction à l'argent entraîne souvent une autre modification psychologique, visible chez Harpagon : une atrophie de l'imagination. L'avare, selon Rogues de Fursac, souffre d'un défaut d'imagination, dont il est la plupart du temps victime depuis son enfance.
Synonyme : avare, thésauriseur. – Familier : grigou, grippe-sou, radin, rapiat, rat. – Littéraire : harpagon, ladre, lésineur.
La radinerie n'est pas une maladie à proprement parler. Voilà une bonne… et une mauvaise nouvelle ! Car, si elle n'est pas contagieuse, elle est en revanche quasi incurable. De plus, si vous vivez avec un radin, il est d'autant plus difficile d'ignorer ce phénomène.
Avarice, fait de compter ses sous, de manquer de générosité, de ne pas faire de cadeaux.
Vous vous voyez toujours chez l'un ou chez l'autre, ou si parfois vous sortez, c'est uniquement à deux, et jamais dans des endroits qu'il fréquente habituellement et où tout le monde le connaît. Il ne te présente personne, ni ses amis, ni ses collègues, ni encore moins sa famille.
En vous mentant (souvent par omission), votre conjoint cherche seulement à se simplifier la vie ! Il vous trompe sur des sujets essentiels (il n'est pas libre, il boit, il est criblé de dettes…), s'enferre dans ses âneries, promet de changer, recommence, fait l'étonné, nie… bref, c'est un menteur pathologique.
Il se croit au-dessus des lois et n'éprouve ni culpabilité, n'a aucune morale, aucun sens des interdits et ment malgré l'évidence. Il est dans le déni de l'autre qui ne peut être qu'une partie de lui-même indifférenciée, dans le déni de sa propre souffrance comme de celle de l'autre.