Une dette de sommeil correspond au nombre d'heures de sommeil qu'il nous manque à la fin de chaque nuit. Autrement dit, il s'agit de la différence entre le nombre idéal et le nombre réel d'heures de sommeil. Ces heures perdues s'accumulent au fil des jours et constituent une dette de sommeil pour notre organisme.
Voici comment résorber une dette de sommeil : Se coucher plus tôt que ce dont on a l'habitude. Veiller à faire des nuits d'environ 8 heures toute la semaine, et pas seulement le weekend. Faire une sieste de 20 minutes, pas plus tous les jours.
Résultat : le manque de sommeil s'accumule avec le temps. Les conséquences sont souvent de la fatigue, une perte de vigilance et d'efficacité, une perturbation de l'horloge circadienne, un décalage difficile à rattraper, une augmentation de la consommation de calories, et des risques pour la santé.
Malheureusement, le sommeil n'est pas comme la banque, de sorte que vous ne pouvez pas cumuler une dette et ensuite essayer de la rembourser plus tard.
Qu'appelle-t-on les régressions du sommeil ? Il existe plusieurs étapes qu'on appelle des régressions du sommeil. Ce sont des périodes de désorganisation et de dégradation assez importante du sommeil qui se manifestent par un changement de rythme pour l'enfant.
D'un enfant à l'autre, les besoins de sommeil peuvent varier de deux à trois heures. Pourquoi ? Mystère. C'est peut-être dû à des facteurs génétiques, car on retrouve souvent les mêmes comportements chez les parents.
Vous constatez que la dette de sommeil s'est installée? Pour la résorber, il convient de multiplier les siestes de jour, surtout si elles sont de courtes durées de même que d'allonger la période de sommeil nocturne, en devançant son coucher le soir de 15 minutes par 2-3 jours.
Pratiquez la cure de repos : pendant une période de trois à sept jours, une à deux fois par an, ajoutez 50 % de durée de sommeil à votre durée nécessaire. par exemple, si vous avez besoin de huit heures de sommeil, dormez douze heures.
À terme, un sommeil insuffisant ou de mauvaise qualité, contribue à une surproduction d'hormones. Ces dernières favorisent l'augmentation de la tension artérielle et du mauvais cholestérol (LDL). Elles perturbent le métabolisme du glucose, ce qui peut conduire à un diabète de type 2, voire à une obésité.
L'insomnie est un manque ou une mauvaise qualité de sommeil qui retentit le lendemain sur les activités diurnes physiques, psychiques et sociales. Les principales causes de l'insomnie chez l'adulte sont le stress, l'anxiété et la dépression.
Les pleurs de décharge sont des pleurs intenses, difficiles à calmer, qui surviennent plutôt le soir, généralement autour de 18 heures. Ces pleurs apparaissent entre la naissance jusqu'à l'âge de 3 ou 4 mois environ, avec un pic généralement compris autour de 6 à 8 semaines.
Généralement, les pleurs de bébé indiquent que celui-ci a peur ou est angoissé. Il peut s'agir soit de terreur nocturne soit d'un cauchemar. Les terreurs nocturnes concernent uniquement les bébés ayant plus de 2 mois et interviennent en toute première partie de la nuit. Ce dernier crie et hurle : il semble terrifié.
Des siestes insuffisantes, un environnement de sommeil non adapté, des conditions d'endormissement qui ne sont pas en adéquation avec les besoins de l'enfant (il lui manque une présence, un biberon ou tout autre chose à laquelle il est habitué pour s'endormir) sont autant de facteurs qui jouent un rôle déterminant dans ...
Insomnie psychophysiologique
On parle aussi d'insomnie chronique. L'idée est que la personne souffre tellement de ne pas dormir qu'elle finit par avoir peur de se coucher et de ne pas réussir à s'endormir : c'est une insomnie qui se nourri elle-même !
Entre 9 et 12 mois, la sieste du soir disparaît la première. Entre 15 et 18 mois, c'est celle du matin qui disparaît. Ne reste plus que la sieste du début d'après-midi qui bénéficie d'un répit jusqu'à 3 à 6 ans, selon les enfants, avant de tomber elle aussi aux oubliettes.
- 8 à 10 mois : angoisse de la séparation. La régression la plus longue et la plus dure, souvent par vague pendant ces 2 mois. - 12 mois : les acquisitions motrices. - 18 mois : angoisse de la séparation (je suis désolée d'apprendre ça aux parents de touts-petits, mais oui, il y en a bien une deuxième !)
La première régression apparaît vers l'âge de 4 mois mais il y en aura d'autres tout au long du développement de votre enfant. À 4 mois, votre bébé est en pleine phase de découverte de son environnement et de ses relations affectives avec ses parents.
A la fin d'un cycle, l'enfant est en sommeil paradoxal. Pour démarrer un nouveau cycle, il doit revenir à une phase de sommeil léger. C'est à ce moment que bébé se réveille. Mais ce réveil nocturne, lorsqu'il dure moins de trois minutes, ne perturbe pas le sommeil de l'enfant.
L'enfant est souvent agité avant de dormir durant les trois premiers mois. Cette situation peut s'expliquer par le fait qu'il est encore en phase d'apprentissage du sommeil. En effet, durant cette période, les bébés s'adaptent progressivement au rythme de veille-sommeil. Ainsi, cette situation est normale.
Pourquoi il ne faut pas réveiller un bébé qui dort
- Il aide aussi à la régulation des émotions et de l'humeur ; un bébé qui dort bien a plus de chances d'être moins grognon ! On considère que jusqu'à ses 4 mois, il n'est pas encouragé de réveiller un bébé qui dort sauf dans des cas bien spécifiques.