sont en liaison pivot si, au cours du fonctionnement, le seul mouvement relatif possible est une rotation autour d'un axe. sont en liaison glissière si, au cours du fonctionnement, le seul mouvement relatif possible est une translation le long d'un axe.
Pour réaliser une liaison pivot, et non pas une liaison pivot glissant, il faut disposer d'arrêts axiaux. Le guidage en rotation est obtenu par contact direct entre deux surfaces (cylindriques ou coniques) obtenues généralement par tournage, et d'arrêts qui suppriment les degrés de liberté en translation.
Dans un mécanisme, quand une pièce est en contact avec une autre, il y a entre ces deux pièces une liaison mécanique. Dans ce cas les surfaces de contact sont le plus souvent : planes / cylindriques / sphériques / hélicoïdales / coniques.
La solution constructive qui réalise une liaison pivot est appelée guidage en rotation. Le guidage en rotation est nécessaire dans de nombreux cas (moteurs, roues de véhicules, hélices d'avion ou de turbine…). On appelle arbre le contenu, logement ou alésage le contenant.
la liaison pivot ne laisse subsister entre l'arbre et son palier qu'une liberté de rotation autour d'un axe géométrique: l'axe de rotation. Si de plus l'arbre peut glisser dans son palier suivant cet axe, la liaison est alors une liaison pivot glissant.
La liaison sphérique à doigt dispose de 4 degrés de liaisons. Elle lie les 3 translations et une rotation, laissant libres les 2 autres rotations.
II. Liaison encastrement (ou liaison fixe)
La liaison entre les deux solides est complète ou totale. Il n'y a aucun mouvement relatif possible ou aucun degré de liberté. Exemples : assemblages boulonnés, soudés ou collés.
Nombre d'électrons sur la couche de valence
Afin de déterminer le nombre de liaisons que va former l'atome, il faut déterminer le nombre d'électrons qu'il y a sur la couche de valence (la plus externe). En effet, deux atomes se lient entre eux en mettant en commun les électrons de leurs couches de valence.
Ainsi, une liaison peut être directe ou indirecte, démontable ou indémontable, rigide ou élastique, complète ou partielle.
Les deux types de liaisons les plus élémentaires sont les liaisons ionique ou covalente. Dans la liaison ionique, les atomes transfèrent des électrons les uns aux autres. Les liaisons ioniques requièrent au moins un donneur d'électrons et un accepteur d'électrons.
Le montage en "O" est préféré dans les cas où les bagues extérieures sont montées sérrées, car le réglage du jeu axial se fait sur les bagues intérieures montées "glissantes".
On appelle schéma cinématique minimal celui qui représente un mécanisme avec au plus une liaison mécanique entre deux pièces ou classe d'équivalence. On peut aussi dire que c'est une représentation d'un mécanisme qui met en évidence les possibilités de mouvements relatifs entre les groupes cinématiquement liés.
Dans un engrenage à deux roues ayant un nombre de dents différents, l'axe de la première et l'axe de la deuxième ne tournent pas à la même vitesse. Le rapport entre ces deux vitesses angulaires est appelé rapport d'engrenage ou rapport de transmission.
Une liaison covalente est une paire partagée d'électrons de valence. Elle se forme généralement entre des non-métaux. Une liaison ionique est une attraction électrostatique entre des ions de charge opposée. Elle se forme généralement entre des métaux et des non-métaux.
La liaison mécanique souffre du passage du courant, des failles ou des décharges répétitives et le résultat de la connexion dépend du couple de serrage appliqué par l'installateur.
Le guidage est assuré par l'association de plusieurs douilles à billes afin de réaliser la liaison glissière.
La liaison ponctuelle, génératrice de toutes les autres possède donc 1 degré de liaison.
Pour tracer le schéma cinématique, il faut s'aider du graphe des liaisons en appliquant la méthode suivante. Tracer le repère de référence. Tracer les liaisons en les orientant convenablement par rapport au repère. Finaliser le schéma en reliant les liaisons lorsque nécessaire.
Les degrés de libertés. Quand un solide n'est pas lié à un autre, il possède 6 degrés de liberté : 3 translations : Tx, Ty et Tz et 3 rotations : Rx, Ry et Rz. Une liaison limite les degrés de liberté d'un solide : La liaison glissière.
Une liaison est polarisée si les deux atomes liés possèdent une électronégativité différente. L'atome le plus électronégatif (celui qui possède l'électronégativité la plus grande) attire davantage les deux électrons du doublet liant (ceux qui constituent la liaison covalente) que l'atome le moins électronégatif.
Une liaison est polarisée si les atomes qui y sont engagés ont des électronégativités différentes.
Le mécanisme à vis sans fin et à roue dentée comprend une seule vis sans fin, dont les filets sont en contact avec une ou plusieurs roues dentées. Lors de la rotation de la vis sans fin, les filets de celle-ci s'emboitent dans les dents d'une roue dentée et entrainent celle-ci dans un mouvement de rotation.