Quelques signes présents chez la personne ayant tendance à la victimisation : elle peut avoir tendance à perdre le contrôle de sa vie, à ne pas être capable de se défendre, à laisser les forces extérieures influencer sa vie, ou encore avoir tendance à s'apitoyer.
L'auto-victimisation est un processus psychique ou l'individu se positionne dans une place de victime. Victime de son entourage, victime de sa hiérarchie, de ses collègues… Elle souffre comme jamais auparavant n'a souffert dans ce monde. En effet, ses problèmes sont plus graves et plus urgents que ceux des autres.
Pour une personne avec l'état d'esprit de Victime, aller chercher un conseil, c'est souvent vouloir que quelqu'un d'autre soit responsable à sa place. Elle pourrait avoir envie de nous voir jouer le rôle déresponsabilisant de Sauveur. Demandons-lui plutôt d'identifier une petite action qu'elle pourrait mettre en œuvre.
Aussi la victime :
Ne fait pas confiance à son propre jugement. Croit que le monde se porterait mieux sans elle. N'arrive pas à faire les choses aussi bien que tout le monde. Se comporte comme si tout lui était égal.
Il manipule constamment l'entourage pour le monter contre sa proie et l'isoler. Il se victimise notamment. Il se fait passer pour la victime de sa proie, car il projette sur elle ses caractéristiques : manipulatrice, perverse, folle, méchante, violente, ...etc.
Le psychorigide ne se remet jamais en question... Ce comportement peut glisser vers le type dictateur ou encore manipulateur, ... On détruit l'autre et soi par le biais de tel comportement. Ce sont des personnes qui "victimisent" l'autre.
Une personnalité orgueilleuse aura du mal à reconnaître ses erreurs en se pensant supérieure aux autres, et remettra toujours la faute sur les autres.
Le narcissique blâme toujours sa partenaire ! Il est incapable de prendre ses responsabilités et préfère rejeter la faute sur sa victime de prédilection. Si tu as déjà eu un conflit avec ton partenaire narcissique, tu sais que te disputer avec lui ne sert à rien.
Le pervers narcissique a également tendance à se victimiser pour manipuler, plus particulièrement si on lui reproche quelque chose. Il n'hésite pas à parler de son passé difficile et des souffrances qu'il a endurées pour qu'on le prenne en pitié.
“Le plus souvent, c'est dans l'après-coup que les victimes réalisent ce qui leur est arrivé: le goût que ça laisse. On ne se sent pas bien et tout à coup, on fait une crise d'angoisse… Un viol, c'est un château de cartes qui s'effondre”, analyse Pascal Lapeyre.
Un manque de confiance en soi et d'estime de soi. Par peur d'être abandonnés car ils se sous-estiment, les égocentriques aiment faire croire qu'ils valent plus que les autres en se mettant sans cesse en avant. Des traumatismes psychologiques qui sont survenus dans l'enfance et qui ont bloqué l'évolution de la personne.
Les personnes qui se plaignent tout le temps ont surtout besoin d'attention. Ils peuvent être particulièrement irritants, voire franchement agaçants pour leurs proches. Leur tendance à tout voir en noir semble témoigner d'un irréductible pessimisme et leur constant besoin d'attention peut être difficile à gérer.
Les victimes d'un crime, en plus de devoir vivre avec le fait d'être victimes, doivent faire face à l'insensibilité des autres. C'est ce qu'on appelle la victimisation secondaire : les réactions insensibles, l'indifférence et les jugements de valeur peuvent augmenter la souffrance des victimes.
On a pu voir que les narcissiquessont des personnes obsédées par la publication quasiment constant de leurs réussites, objectifs atteints, vertus apparentes et compétences élevées. Cependant, ce type de personnalité caractérisé par une vision élevé de soi-même n'admet jamais ses propres erreurs.
Il ne se remet jamais en question, mais peut très bien jouer la comédie. Il est vide intérieurement, évoluant uniquement dans l'intellect et le calcul. Il instrumentalise l'autre qui n'est pour lui qu'un objet à exploiter, puis à jeter. Quand il a épuisé sa proie, il en choisit une autre.
Celui qui ne se remet pas en question peut avoir peur de reconnaitre sa propre responsabilité dans un évènement, et le sentiment de culpabilité qui en suit peut du coup l'amener àfuir certaines réalités. Il peut alors à l'extrême adopter un comportement de « victime » et rejeter systématiquement la faute sur l'Autre.
Les personnes psychorigide présentent un certain nombre de comportements : des difficultés à évoluer, peu d'adaptabilité, beaucoup de mal à aller de l'avant, besoin de beaucoup de temps pour prendre des décisions peu importantes.
Cela s'explique par le fait que notre esprit cherche en permanence à déformer la réalité à sa faveur et à se détacher des problèmes. Généralement, ce phénomène émane d'un sentiment inconscient d'insécurité. Accuser l'autre est beaucoup plus facile que de se remettre en question.
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