L'eau de pluie que vous récupérez doit avoir uniquement ruisselé sur une toiture qui n'est pas accessible (sauf pour assurer son entretien et sa maintenance). Le stockage de l'eau doit être fait dans une cuve hors-sol ou enterrée. Aucun produit anti-gel ne doit être appliqué dans la cuve de stockage.
Le récupérateur d'eau de pluie permet de stocker les eaux pluviales. La capacité d'un récupérateur peut aller de 200 à 10000 litres selon les modèles. La pluie qui tombe sur le toit de la maison est canalisée par les gouttières, qui sont directement reliées à la cuve grâce à un collecteur d'eau.
Pour récupérer des litres d'eau même sans gouttière, il est possible d'installer des bâches au niveau du toit pour récupérer l'eau de ruissellement. Il suffit de placer une bâche en dessous de la gouttière et de la fixer avec des pinces. L'eau récoltée peut ensuite être utilisée pour arroser les plantes du jardin.
Installer des gouttières : une obligation légale ? L'article 681 du Code civil vous interdit de déverser vos eaux de pluie directement sur le terrain de votre voisin. Si votre habitation se trouve en milieu de terrain, vous êtes donc libre d'installer ou non une gouttière.
L'autonomie en eau
Une cuve en béton est à privilégier, avec un toit en tuile de terre cuite plutôt qu'en zinc ou bardeaux de bois. La toiture végétalisée permet également de retenir une grande partie des eaux de pluie, de 50 à 80 %.
La technique la plus répandue consiste à filtrer l'eau à travers un tissu ou un morceau de serviette microfibre puis de la faire bouillir. L'ébullition est le meilleur moyen d'éliminer rapidement la plupart des micro-organismes, bactéries et virus mais elle n'élimine pas les polluants chimiques.
S'il n'y a pas de réseau proche et que, sur demande de dérogation, un PC est obtenu, il sera possible de creuser un puits et s'y approvisionner. Il sera nécessaire de le faire légalement. Il suffit de déclarer la construction d'un puits ou d'un forage et, bien sûr, d'en obtenir l'autorisation.
Vous ne devez donc pas la boire, ni l'utiliser pour cuisiner ou laver la vaisselle. En effet, l'eau de pluie peut présenter une contamination chimique, notamment après ruissellement sur une surface contaminée. Elle peut également présenter une contamination bactérienne ou parasitaire si elle est stockée dans une cuve.
Recouvrez le récupérateur d'eau de pluie avec un couvercle et s'il n'en est pas muni, installez-en un qui soit opaque idéalement pour que la lumière ne favorise pas le développement d'algues. Sinon, mettez au moins un grillage de type moustiquaire pour éviter la prolifération de larves de moustiques.
Il n'existe aucune contrainte légale liée à l'installation d'un récupérateur d'eau de pluie. Vous êtes parfaitement libre de l'installer à l'endroit de votre choix, de préférence à proximité d'une toiture, ou d'un réseau de gouttières.
Principe du récupérateur d'eau de pluie
La cuve, enterrée ou non, est alimentée en eau de pluie par un tuyau qui la relie aux gouttières du toit. L'accès à la cuve est protégé par un filtre. Celui-ci permet de retenir les feuilles, les insectes et tous les détritus verts qui pourraient contaminer l'eau.
Pour rendre plus claire de l'eau sale, on peut la faire passer à travers un ou plusieurs filtres : c'est la filtration. 2. Lorsqu'on laisse reposer de l'eau sale et après avoir retiré les débris qui flottent, certains constituants se déposent au fond et l'eau s'éclaircit : c'est la décantation.
En dehors de la « bonne vieille » eau de Javel (du chlore, impropre à la consommation et mauvais pour l'environnement), il existe des moyens plus subtils de désinfecter l'eau de puits. La filtration à 10 microns, la stérilisation par UV, le recours à un osmoseur avec stérilisation UV font partie des solutions.
Les perles de céramique
Elles permettent d'assainir l'eau et d'améliorer son goût en supprimant le chlore, le calcaire et les résidus éventuels. Comment les utiliser ? Il suffit de plonger les perles dans une carafe d'eau durant 30 minutes. 15 perles permettent de filtrer 1 litre d'eau.
Pour fabriquer des molécules d'eau, nous devons d'abord avoir les atomes d'oxygène et d'hydrogène, mais l'eau ne se forme pas simplement en les mélangeant, les atomes doivent fusionner, les orbitales électroniques de chaque atome doivent devenir interconnectées, et pour ce faire nous devons ont une explosion soudaine d ...
Il est pourtant facile de lui redonner vie, par exemple : en la faisant couler comme une cascade dans une carafe ou un verre afin de l'oxygéner, en créant des tourbillons à sa surface et en profondeur à l'aide d'une baguette, en y ajoutant quelques gouttes de citron, une goutte d'huile ou de vinaigre bio.
La machine aspire de l'air dans un système qui refroidit une série de plaques sur lesquelles l'humidité de l'air se condense et se transforme en eau qui s'écoule dans un réservoir. “Ce n'est rien de plus qu'une machine à faire de la pluie”, résume-t-il.
L'ensemble des eaux pluviales collectées par les gouttières et les drains est acheminé jusqu'à ce puits d'infiltration (ou puits percolant) éloigné de l'habitation. Ainsi, l'eau retourne au sol sans risquer d'endommager les fondations de la maison.
Oui, le fait de recevoir les eaux de ruissellement qui s'écoulent naturellement du terrain voisin est une obligation. Cette obligation s'applique uniquement aux eaux de pluie et non pas aux eaux usées. (par exemple, eaux issues des WC). Votre voisin ne peut donc pas déverser ses eaux usées sur votre terrain.
L'article 681 du Code civil dit que « tout propriétaire doit établir des toits de manière que les eaux pluviales s'écoulent sur son terrain ou sur la voie publique ; il ne peut les faire verser sur le fonds de son voisin. » Autrement dit, l'eau de pluie doit être canalisée sur votre terrain grâce à des gouttières.
Deux possibilités pour accéder alors à l'eau : aller la chercher directement dans la nappe phréatique (6m à 10m en dessous du sol) ou bien plus en profondeur encore. Pour être sûr qu'une source est bien accessible depuis son terrain, mieux vaut demander l'avis d'un professionnel : sourcier ou puisatier.